Rechercher dans le site
668 résultats trouvés avec une recherche vide
- The Age of Disclosure, le documentaire qui dévoile des secrets sur les ovnis
par Lisa Gateau pour PREMIERE. Dan Farah souhaite révéler au grand public des dissimulations vieilles de 80 ans. C’est une question qu’on s’est tous posée au moins une fois : sommes-nous seuls dans l’univers ? Si Dan Farah tente de convaincre dans son documentaire The Age of Disclosure (l’âge de la divulgation) que les ovnis sont bien à prendre au sérieux, il souhaite avant tout éveiller les consciences sur les différentes dissimulations mises en place par le gouvernement des États-Unis. Le documentaire, présenté en première mondiale au Festival South by Southwest (SXSW), fait parler de lui dans les médias américains. Il est le résultat de trois années d’enquête menées par Dan Farah (producteur de Ready Player One ), à base d’interviews de plusieurs personnalités impliquées dans la recherche d’ovni , aussi appelé PAN (Phénomène Aérospatial Non-identifié). Le résultat de The Age of Disclosure repose sur 34 témoignages de membres du gouvernement, de l’armée et des services de renseignement américains. Selon eux, cela ferait 80 ans que l’Etat dissimule des informations de la plus haute importance à propos de formes de vie, mais aussi de technologies non-humaines. Le réalisateur explique à Variety que le but de ce documentaire est avant tout de créer une ressource pour sensibiliser la population a des “faits de base” : “Le fait que nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Le fait que des technologies d’origine non humaine ont été récupérées. Le fait que d’autres nations récupèrent également cette technologie et que nous sommes dans une course pour la rétro-ingénierie de celle-ci.” Selon lui, c’est majoritairement pour cette raison qu’autant d'informations à propos des PAN sont dissimulées depuis le début des recherches scientifiques sur le sujet. “Si ces informations existent, pourquoi ne nous en parlent-ils pas ?” , se questionne Farah, avant d’ajouter : “Et puis j’ai appris la réponse : il y a plein de bonnes choses qui pourraient en découler, mais cette technologie pourrait aussi être utilisée par des acteurs malveillants pour causer des destructions importantes”. Dans la bande-annonce, on aperçoit notamment les dirigeants chinois et russes , présentés comme des adversaires pour cette course à l’étude des ovnis . Une grande partie des découvertes étant toujours classées secrètes, le documentaire est réduit à ne pouvoir dévoiler que ce qui est légalement possible. Dan Farah aspire donc à expliquer au grand public les informations accessibles , mais peu relayées. Le réalisateur affirme que plusieurs personnalités ont préféré ne pas témoigner : “Certains politiciens de haut rang avaient peur de l’impact que cela pourrait avoir sur leur réputation ou sur leur carrière. Et certains responsables du renseignement croyaient légitimement que leur vie serait en danger s’ils participaient au film. Après de longues conversations avec leurs proches, ils ont décidé que cela n’en valait simplement pas la peine. Cela m’a ouvert les yeux. Plus on creuse le terrier du lapin, plus on se rend compte que cette dissimulation de la vérité qui dure depuis 80 ans a été renforcée par des menaces.” Les deux principales voix de The Age of Disclosure sont Jay Stratton , un ancien directeur du groupe de travail gouvernemental sur les UAP - les PAN en anglais - et Lue Elizondo , ancien employé du Bureau du sous-secrétaire à la Défense pour le Renseignement. Tous deux ont passé plusieurs années à tenter d’en découvrir plus sur ces objets non-humains et considèrent le manque d’information sur le sujet comme une “menace pour la sécurité nationale” . L’homme serait alors trop mal préparé à des événements capables de changer "la trajectoire de l’humanité" . The Age of Disclosure se vend comme une véritable bombe, faisant éclater au grand jour la vérité à propos des ovnis , objets plus tellement pris au sérieux par le grand public. Ce documentaire est-il de la simple science-fiction ou réalité ? Pour le découvrir il faudra attendre une date de sortie en France. Le film ne devrait pas tarder à être diffusé aux Etats-Unis.
- Bienvenue à notre nouvelle enquêteur
Jean-Marc M. Enquêteur de terrain – Département 40 (Landes) Être enquêteur MUFON n’est jamais une finalité ; c’est le début d’une aventure exigeante, qui demande du temps, de l’abnégation et une détermination tranquille. C’est dans cet esprit de travail, rigoureux et solidaire, que nous avons le plaisir d’accueillir Jean-Marc M. SON Parcours Jean-Marc est un professionnel de santé expérimenté , aujourd’hui à la (semi) retraite. Son parcours lui a donné : • une forte discipline méthodologique • une compréhension fine des situations humaines sensibles • un sens de l’écoute structuré et respectueux • une capacité d’analyse calme et posée Ce background fait de lui un enquêteur particulièrement fiable dans l’accompagnement des témoins. Sa posture en tant qu’enquêteur MUFON Jean-Marc privilégie : • la neutralité • la précision • la vérification systématique • la confidentialité absolue • la rigueur protocolaire • le respect du témoin avant tout Il s’inscrit parfaitement dans la philosophie MUFON : enquêter, comprendre, documenter. Couverture régionale Basé dans les Landes, il renforce la présence MUFON dans tout le sud-ouest, une zone étendue où les cas sont parfois difficiles à couvr ir rapidement. Sa disponibilit é et sa mobilité sont un vrai atout pour notre réseau international. Intégration MUFON Jean-Marc agit sous supervision directe du directeur national Eric Barrouillet et du directeur des enquêtes,Laurent Galtier et il s’insère dans la chaîne internationale d’enquête avec loyauté et sérieux. Son arrivée renforce la cohérence, la stabilité et la qualité du travail de terrain. En savoir plus sur les enquêteurs du MUFON France : https://www.amazon.fr/OVNIS-Enqu%C3%AAtes-t%C3%A9moignages-MUFON-France/dp/B0CKL1D68X
- Le vice-président Vance promet de « découvrir le fond » des phénomènes OVNI
Washington, D.C., 10 novembre 2025 – Note de la rédaction : L’article ci-dessous est paru pour la première fois à Newsbreak.com le 3/11/25 par l’écrivain Chris Melore. Le vice-président JD Vance a rejoint la liste des hauts responsables gouvernementaux souhaitant des réponses sur les OVNI et les extraterrestres. Dans une interview récente, le vice-président a redoublé d’engagement sur sa promesse de « découvrir » l’existence de la vie extraterrestre . Vance s’est volontiers déclaré « fou des OVNI » et s’est engagé à prendre du temps pendant son mandat pour examiner les preuves auxquelles il avait accès concernant la vie provenant d’autres planètes. Ses propos sont venus près de trois mois après qu’il ait dit aux animateurs du Ruthless Podcast qu’il était « obsédé par toute cette histoire d’OVNIs ». À l’époque, Vance avait déclaré qu’il prévoyait d’utiliser ce temps de congé pendant la pause d’août au Congrès pour faire une « plongée approfondie » dans les dossiers du gouvernement sur ce que l’armée appelle désormais des phénomènes anormaux non identifiés (UAP). Cependant, le vice-président a modifié son calendrier pour élucider le mystère extraterrestre, disant à Miranda Devine que cela prendra du temps, mais qu’il compte savoir si les OVNI existent avant la prochaine élection . « Je ne peux pas me permettre d’être tellement occupé que je passe les trois prochaines années sans aller au fond de la situation », a déclaré Vance. Le vice-président a ajouté qu’il n’était pas le seul membre de l’administration Trump à chercher des réponses sur les OVNIs, notant que le secrétaire d’État Marco Rubio et la directrice du renseignement national T ulsi Gabbard souhaitent également en savoir plus. 'Marco est en fait très intéressé par ça aussi. On en a un peu parlé. Nous en avons parlé à l’époque du Sénat. Donc oui, il y a certainement un intérêt là-dedans », a déclaré Vance lors du podcast Pod Force One . Cependant, le vice-président a ajouté que ce qu’il pourrait considérer comme un ange ou un démon pourrait être interprété comme un extraterrestre par d’autres. Vance a dit qu’il croyait fermement qu’il existait des phénomènes que les humains ne pouvaient tout simplement pas expliquer, mais qu’il était plus ouvert à d’autres possibilités, comme une présence divine. Le vice-président, qui a été élevé dans la foi évangélique et s’est converti au catholicisme en 2019, a expliqué qu’il croyait en des forces spirituelles agissant dans le monde physique, ce qui pourrait être confondu avec des rencontres extraterrestres. « Est-ce des extraterrestres ou notre ange gardien, ou une force pas si gardienne qui ne se soucie pas de nous, ou qui nous souhaite en fait du mal ? Je ne connais pas la réponse à cette question », admit Vance. La députée de Floride Anna Paulina Luna a repris certaines croyances de la vice-présidente, reliant des événements bibliques à des rapports plus récents d’observations extraterrestres. Luna, qui est présidente du Comité de surveillance de la Chambre sur la divulgation des OVNIs, a déclaré que de nombreux témoins ont décrit ce qu’ils considéraient comme des êtres « interdimensionnels » ayant des similitudes avec des anges dans la Bible. « Ensuite, on regarde des textes qui ont été retirés de la Bible, comme le livre d’Énoch, qui traitent en réalité spécifiquement des technologies données à l’humanité ou d’entités non d’origine humaine », a déclaré Luna dans le podcast PBD la semaine dernière . En août, Gabbard a déclaré à Pod Force One qu’elle croyait à l’existence à la fois des OVNI et des extraterrestres, mais a noté que son rôle dans la communauté du renseignement l’empêchait d’en dire plus . « Nous continuons à chercher la vérité et à la partager avec le peuple américain », a déclaré le chef du renseignement. Cependant, Gabbard a ajouté qu’elle avait encore des questions concernant les mystérieuses vagues d’OVNIs qui ont envahi la côte Est des États-Unis en 2024 et n’était pas convaincue qu’il s’agissait de drones inoffensifs. Malgré la croyance croissante en la vie extraterrestre, aucune preuve physique vérifiable, telle que des artefacts ou des images claires de ces engins, n’a été présentée publiquement pour confirmer l’existence d’extraterrestres". Les sceptiques ont fait valoir que le fait de s’appuyer sur des rapports anecdotiques de militaires et de civils et le manque de données scientifiques examinées par des pairs jettent un doute important sur les affirmations faites lors des récentes audiences du Congrès sur les UAP. Cependant, le nouveau documentaire « The Age of Disclosure », mettant en vedette Luna et Rubio, doit sortir le 21 novembre, qui allègue que le gouvernement américain a dissimulé des informations concernant les OVNI et les extraterrestres à la fois au public et à la Maison Blanche. « Même les présidents ont agi sur la base du besoin de savoir, mais cela commence à devenir incontrôlable », affirme Rubio dans le nouveau film.
- Des chercheurs mettent en lumière une coïncidence troublante entre essais nucléaires et PAN
Leurs dates semblent aussi coïncider avec celles des mystérieux phénomènes transitoires. Valisoa Rasolofo · 30 octobre 2025 - Source : Scientific Reports Quatre expositions de la région du ciel de 3 × 3 minutes d’arc centrée sur le triple transitoire identifié en juillet 1952. En haut à gauche : image rouge de l’observatoire Palomar du 19 juillet 1952 à 8 h 52 (TU) montrant le triple transitoire juste au-dessus du centre. En haut à droite : image bleue de l’observatoire Palomar de la même région, prise immédiatement après avec un temps d’exposition de 10 minutes, sans trace du triple transitoire. En bas à gauche et à droite : images rouge (à gauche) et bleue (à droite) de l’observatoire Palomar prises deux mois plus tard (14 septembre 1952), montrant la disparition du transitoire. © Stephen Bruehl et al. I] Vous pourriez aussi aimer ce contenu partenaire En analysant les photographies historiques prises entre 1949 et 1957 par l’observatoire Palomar, des chercheurs ont découvert que les mystérieux phénomènes transitoires qui y apparaissent semblent coïncider avec les essais nucléaires de l’époque ainsi qu’avec les signalements de phénomènes aériens non identifiés (PAN). Alors que ces derniers nourrissent depuis des décennies les théories les plus fantaisistes, leur lien potentiel avec les essais nucléaires pourrait enfin offrir une piste de compréhension et démystifier le phénomène. Les objets ou phénomènes transitoires apparaissent sur les détecteurs et les photographies astronomiques comme des étoiles, mais disparaissent lorsque la même région du ciel est photographiée ultérieurement. Certains de ces phénomènes ont été capturés avant même le lancement du premier satellite artificiel, Spoutnik, le 4 octobre 1957. Ils apparaissent parfois à plusieurs sur une même image et présentent des caractéristiques difficiles à expliquer par des causes conventionnelles, telles que les sursauts gamma . Leur origine demeurant inconnue, de nombreuses hypothèses ont été avancées. Certaines évoquent de petits fragments d’astéroïdes ou des défauts sur les plaques photographiques, mais aucune n’a jusqu’à présent été confirmée. Cette incertitude a conduit certains astronomes à les considérer comme des phénomènes aériens non identifiés (PAN) ou objets volants non identifiés (OVNI). Les PAN sont si insaisissables que des hypothèses d’origine extraterrestre ont été évoquées. De plus, le fait qu’ils semblent entourés de secrets excessifs de la part d’organismes gouvernementaux américains n’a fait qu’alimenter davantage le mystère. Essais nucléaires : une hypothèse plausible pour les transitoires ? De nombreux témoignages suggèrent qu’ils pourraient être liés aux essais nucléaires. Cette hypothèse s’appuie sur plusieurs éléments. L’un d’eux est qu’au moins 124 essais nucléaires aériens ont été menés par les États-Unis, l’Union soviétique et le Royaume-Uni entre 1951 et 1957, période durant laquelle de nombreux PAN ont été photographiés par l’observatoire Palomar, en Californie. Dans certaines conditions, le rayonnement nucléaire peut produire un flash visible appelé « rayonnement Tcherenkov ». Ce flash pourrait être perceptible dans l’atmosphère lorsque les atomes interagissent avec des particules à haute énergie. Selon certaines sources, des rapports ont mentionné la présence de boules de feu lumineuses dans le ciel peu de temps après des essais nucléaires réalisés au-dessus de zones où d’importantes retombées radioactives étaient attendues. Cependant, la corrélation potentielle entre ces phénomènes et les PAN n’avait jusqu’ici pas fait l’objet d’une analyse statistique. Des chercheurs du projet Vanishing and Appearing Sources during a Century of Observations (VASCO) ont exploré ce lien dans une nouvelle étude publiée récemment dans la revue Scientific Reports . « Sur la base de ces observations, nous émettons l’hypothèse que certains phénomènes transitoires pourraient représenter un effet atmosphérique non identifié des essais nucléaires », ont-ils écrit. 45 % de probabilité de transitoires 24 heures après un essai nucléaire Le programme VASCO analyse les archives numérisées de relevés astronomiques historiques et modernes afin d’enquêter sur les phénomènes transitoires. Pour cette étude, les chercheurs ont examiné les photographies prises par l’observatoire Palomar entre 1949 et 1957. Ils ont compilé un ensemble de données couvrant 2 718 jours afin de comparer les dates des observations de phénomènes transitoires avec celles des essais nucléaires. « Nous avons effectué un test préliminaire des hypothèses spéculatives ci-dessus à l’aide d’une base de données que nous avons créée, contenant plus de 100 000 objets transitoires identifiés dans les images du relevé de l’observatoire Palomar », expliquent les chercheurs. Chacun des transitoires n’apparaît ni sur les images prises peu de temps avant la date à laquelle l’observatoire les a capturés, ni sur celles d’après. Mis à part la date des essais nucléaires, celles des signalements de PAN extraites d’une base de données exhaustive ont également été prises en compte. « Bien que nous anticipions un bruit important dans les données d’observation des PAN (par exemple, en raison d’erreurs de témoins) et potentiellement aussi dans les données transitoires (erreurs d’identification liées à la poussière, au rayonnement cosmique, etc.), nous pensions qu’il était essentiel de soumettre ces hypothèses à un test empirique direct afin d’évaluer de manière préliminaire les associations possibles entre les transitoires observés, les essais nucléaires et les observations de PAN », indique l’équipe. Les résultats ont révélé une corrélation statistiquement significative entre les phénomènes transitoires, les essais nucléaires et les signalements de PAN. La probabilité d’observer des phénomènes transitoires augmentait de 45 % dans les 24 heures suivant un essai nucléaire, et l’activité transitoire totale augmentait de 8,5 % pour chaque observation supplémentaire de PAN. Ces données ne permettent toutefois pas d’établir la cause exacte des phénomènes transitoires ni la véritable nature des PAN, précisent les chercheurs. Ces derniers suggèrent que certains phénomènes transitoires pourraient résulter d’un effet atmosphérique encore mal compris lié aux essais nucléaires. Il est également possible que les retombées des essais aient contaminé directement les plaques photographiques astronomiques, provoquant ainsi les taches opaques caractéristiques sur les films sensibles aux rayons X. Bien que la nature des PAN et des transitoires reste un mystère, ces résultats permettent d’écarter certaines pistes et de mieux orienter les recherches futures. « Nos résultats apportent un soutien empirique supplémentaire à la validité du phénomène PAN et à son lien potentiel avec les activités liées aux armes nucléaires, en fournissant des données allant au-delà des témoignages oculaires », concluent les chercheurs.
- Nos Statistiques – Octobre 2025
Tour d'horizon du mois d'octobre ; les États-Unis, toujours en tête Avec 247 signalements , les États-Unis confirment leur place de leader mondial , malgré une panne partielle du CMS , qui a restreint le dépôt de témoignages. La Californie (24) , la Floride (22) et le Texas (17) forment le trio de tête, suivis par la Pennsylvanie , le Michigan et le Missouri .L’activité reste répartie sur tout le territoire , des grandes zones urbaines aux régions rurales, preuve que le ciel américain demeure l’un des plus scrutés de la planète . 🇫🇷 Zone MUFON France : un mois solide malgré la panne Avec 8 signalements pour la seule France , le réseau MUFON France maintient une dynamique encourageante. Ces cas incluent à la fois des témoignages récents et des observations plus anciennes enfin déposées par leurs auteurs.Si l’on ajoute les pays de la zone sous responsabilité française ( Espagne, Irlande, République tchèque, Bulgarie, Pologne, etc. ), on atteint près d’une vingtaine de signalements , ce qui représente une stabilité remarquable au regard du contexte technique mondial. 🌐 Autres foyers d’observation Canada : 13 cas, stable. Royaume-Uni : 8 cas, équivalent à la France. Europe de l’Est et du Nord : Pologne, Bulgarie, République tchèque, Autriche, Allemagne et Danemark (1 cas chacun). Amérique du Sud : Argentine (3), Brésil (2), Chili (1), Pérou (1). Asie et Océanie : Inde (2), Indonésie (2), Australie (2). Île de la Réunion : 1 observation isolée, rare dans cette région. Les formes observées – Octobre 2025 Les témoignages d’octobre dessinent un ciel dominé par les cercles (43) et les sphères (40) , suivis des formes indéterminées (26) et autres (24) .Les objets triangulaires (20) et en forme d’étoile (21) restent fréquents, tandis que les ovales (18) , disques (14) et cigares (12) perpétuent les classiques de l’ufologie.Les formes rares – Tic Tac , diamant , cône ou Saturn-like – rappellent quant à elles la diversité et parfois la perplexité des descriptions rapportées. Faits marquants (octobre 2025) 11 cas d’ atterrissages / stationnaires / décollages rapportés 20 entités observées 305 cas ERT (abduction) enregistrés À savoir Tous les témoignages mentionnés ci-dessus ont été enregistrés dans le CMS (Case Management System) du MUFON, où ils feront l’objet d’une analyse et d’une enquête approfondie par les enquêteurs agréés. Leur présence dans ces statistiques ne signifie en aucun cas qu’il s’agit de faits avérés ou confirmés .Chaque dossier suit une procédure de vérification rigoureuse , et seuls 3 à 5 % des cas étudiés sont généralement classés comme inexpliqués après enquête et validation par la direction du MUFON. Le mystère ne s’arrête pas ici. Retrouvez dans CONTACTS ! des enquêtes fouillées, des récits d’expérienceurs et les dernières avancées sur le phénomène UFO. Abonnez-vous et rejoignez ceux qui cherchent à comprendre.
- 3i/ATLAS… Qu'est-ce que c'est VRAIMENT ?
Par Marc D'Antonio, analyste photo en chef du MUFON Nous avons tous entendu et vu ces prétendues images de l'objet interstellaire connu sous le nom de 3i/ATLAS… Certaines images (toutes créées par l'IA et empruntées à la série télévisée Star Trek) prétendent être les « dernières images publiées », etc. Il est temps de démystifier toutes les faussetés que certains créent pour obtenir des clics. Cet article est la déclaration définitive de notre compréhension de 3i/ATLAS. Tout d'abord, le télescope le plus puissant jamais construit par notre civilisation est en orbite à 1,6 million de kilomètres de la Terre, à un point de LaGrange (comme une place de parking dans l'espace) et a photographié 3i/ATLAS… Voici ces images jointes à cet article ci-dessous. Remarquez qu'il ne ressemble pas à un « vaisseau extraterrestre ». Remarquez qu'il ne ressemble pas au Tueur de Planètes de l'épisode « La Machine du Jugement Dernier » de Star Trek. Non… Il ressemble TOUJOURS à une masse sans aucun détail, comme on pourrait s'y attendre pour un petit objet. Alors, qu'est-ce que c'est ? Quelle est sa taille ? Avec les dernières informations, il semble maintenant plus grand que prévu… Il s'agit d'une comète interstellaire qui approche le long du plan de notre système solaire. Les estimations actuelles sont floues en raison du dégazage de matériaux bloquant tout noyau visible. Nous savons qu'elle pourrait être plus grande qu'Oumuamua et la comète Borisov, les deux seuls objets interstellaires précédents. Sa taille peut être aussi petite que 0,3 km, mais aussi grande que 46 km… Il n'est donc pas facile de déterminer la taille d'un objet entouré d'un nuage de gaz et de poussières dégazés… Une fois qu'il se rapproche un peu, nous pouvons faire une meilleure estimation. Les estimations actuelles la situent plus près de la limite supérieure de la taille hypothétique. Cette taille plus grande que prévu pourrait s'expliquer par diverses raisons, notamment par son origine dans notre disque galactique, une zone connue pour ses régions poussiéreuses et glacées qui pourraient, sur des milliards d'années, permettre à une comète d'acquérir davantage de matière et d'atteindre une taille importante. Quel est son chemin ? Il est important de comprendre que le Système solaire est incliné d'environ 60 à 62 degrés par rapport à notre plan galactique. Cela signifie que le Soleil est approximativement centré sur notre disque galactique et qu'il orbite autour de cette galaxie, le plan planétaire formant cet angle de plus de 60 degrés. Ainsi, tout objet entrant dans notre Système solaire peut provenir du disque galactique, compte tenu de l'orientation du plan de la galaxie qui le traverse. L'illustration illustre cette disposition. De quoi est-il fait ? En observant son spectre lumineux, nous pouvons identifier différentes molécules et atomes dans la « chevelure », composée de poussière et de gaz qui nous cachent le noyau. L'objet présente une très grande abondance de dioxyde de carbone (CO₂), de glace d'eau, de vapeur d'eau et de monoxyde de carbone (CO). Enfin, on y trouve également du sulfure de carbonyle (COS), un atome de carbone composé d'un atome d'oxygène et d'un atome de soufre, similaire à la molécule de dioxyde de carbone où un atome d'oxygène est remplacé par un atome de soufre. Les derniers résultats montrent également la présence de cyanogène, composé d'un atome de carbone et d'azote liés par une seconde paire d'atomes identiques. Il s'agit donc de C₂N₂ . Ce composé, associé au carbone, produit une lueur verte que nous voyons maintenant. L'objet possède également une petite queue. Rien de tout cela n'est inattendu pour une comète, et tout est inattendu pour un vaisseau spatial. Il existe peut-être un noyau composé de composants et d'une chimie similaires, ainsi qu'un noyau rocheux, comme c'est le cas pour de nombreuses comètes. Quel est son âge ? Il est très, très vieux. Cet objet est entré dans le Système solaire et provient de l'épais disque d'étoiles, de gaz et de poussière de la Voie lactée. Cela signifie qu'il pourrait avoir au moins 7 MILLIARDS d'années. À titre de comparaison, le Soleil a 4,6 milliards d'années. Cet objet pourrait donc avoir 1,5 fois l'âge de notre Système solaire. Quelle est sa vitesse ? C'est sa vitesse qui nous permet de savoir qu'il est interstellaire… Si cet objet venait de bien au-delà du nuage d'objets cométaires glacés connu sous le nom de nuage d'Oort, sa vitesse serait supérieure à celle que n'importe quel objet du nuage d'Oort pourrait atteindre en tombant dans le Système solaire interne. Et c'est ce que nous observons : il se déplace à 220 000 km/h (environ 61 km/s), soit une vitesse bien supérieure à celle d'un objet tombant du lointain nuage d'Oort. Quelle est sa trajectoire ? Comme il arrive le long du disque épais galactique, il est plus ou moins aligné avec le plan de notre système solaire. Cela signifie qu'il a une chance de croiser certaines de nos planètes. Actuellement, Mars (déjà dépassée), Vénus et Jupiter sont les trois planètes qu'il va survoler lors de son passage, puis continuer hors du système solaire et retourner dans l'espace interstellaire. Sa vitesse rapide signifie qu'il ne sera pas lié gravitationnellement au Soleil. Les planètes se déplacent sur des orbites approximativement circulaires autour du Soleil et d'autres objets se déplacent sur des orbites elliptiques autour de lui. Cet objet suit une trajectoire qui l'amènera à entrer et à sortir de notre système solaire et c'est ce qu'on appelle une trajectoire « hyperbolique ». Quelle sera sa proximité la plus proche avec les planètes ? Mars Mars a observé cet objet au plus près le 3 octobre 2025, soit quelques jours seulement avant la rédaction de cet article. Mars est d'ailleurs la première planète de notre système solaire à observer cet objet au plus près. Cette distance était en réalité de 29 millions de kilomètres. Vénus Vénus verra cet objet à son point le plus proche de la planète le 3 novembre 2025. Lorsqu'il passera devant Vénus, il sera à 60 millions de kilomètres de la planète. Terre Cet objet ne s'approchera jamais plus près qu'à environ 270 millions de kilomètres, soit un peu moins que la distance de Mars. 3i/ATLAS ne s'approchera qu'à environ 210 millions de kilomètres du Soleil, soit 1,4 unité astronomique. Ce passage au plus près aura lieu le 19 décembre 2025. Jupiter Lors de son approche finale, 3i/ATLAS passera au plus près de la géante jovienne le 16 mars 2026. Aucune planète, pas même la Terre, ne verra cet objet de « près », alors ne croyez pas les absurdités d'Internet destinées à attirer les clics. Voilà ! La vérité sur 3i/ATLAS. Pas de balivernes, pas de sensationnalisme, et surtout, pas de fausses images pour semer la confusion et tenter de s'approprier un récit pour attirer les clics. Admirez les VRAIES images du visiteur interstellaire. Voici les images de 3i/ATLAS. Celle avec le petit cadre rouge est une image prise avec notre télescope SkyTour LiveStream Benson Arizona. L'autre est l'image de James Webb. Pour en savoir plus sur l'astronomie, rejoignez notre chaîne SkyTour LiveStream sur YouTube et d'autres réseaux sociaux ! Les photos sont gratuites et gratuites ! Et vous pourriez même apprendre à admirer le magnifique ciel nocturne grâce à notre diffusion en direct et en temps réel. Retrouvez-nous ici : www.youtube.com/@STLS et sur www.skytourlive.org
- analyse video "the hellfire uap strike"
Le 9 septembre 2025, la dernière audience du Congrès américain sur les PAN au Capitole a mis en vedette quatre témoins directs, le journaliste d'investigation George Knapp et une vidéo récemment déclassifiée. À des fins de discussion, cette vidéo a été intitulée de manière informelle « The Hellfire UAP Strike » (L'attaque PAN Hellfire). Le symbole apparaissant sur la vidéo elle-même, LRD LASE DES, est un acronyme normal utilisé pour désigner les cibles Hellfire Il s'agissait de la sixième d'une série d'audiences du Congrès sur les UAP. Les audiences précédentes, étayées par des vidéos, des témoignages de militaires et des lanceurs d'alerte des services de renseignement, visaient à favoriser la transparence, la responsabilité et l'éducation du public sur le sujet des UAP. Toutes les vidéos diffusées publiquement devaient être préalablement déclassifiées, un processus géré par l'ancien département de la Guerre (DOW), anciennement le (DOD). Au sein du DOW, le Bureau de résolution des anomalies tous domaines (AARO) détient le pouvoir de déclassifier les données analysées sur les PAN. L'AARO a déclassifié et diffusé la vidéo de la frappe Hellfire UAP afin qu'elle soit accessible au public. Hellfire UAP Strike (2024) – Déclassifié et rendu public en septembre 2025 ; aurait été filmé au large des côtes du Yémen le 30 octobre 2024. Vérification d'experts du MUFON de la vidéo présentée. Les membres de l'équipe d'analyse photographique du MUFON, dont Marc Dantonio, Dennis Freyermuth et Greg Cisko, ont proposé des évaluations préliminaires. Marc Dantonio a souligné trois observations majeures : 1. L'objet semblait avoir été touché par un missile sans déclencher d'explosion, ce qui suggère une cible « molle ». 2. L'objet s'est fragmenté en plusieurs morceaux plus petits qui ont commencé à tomber. 3. La vitesse apparente de l'objet n'a pas pu être déterminée sans connaître la vitesse de l'avion. Dantonio a émis l'hypothèse que la cible aurait pu être un ballon plutôt qu'un UAP. Selon lui, le passage du missile sans détonation, le schéma de fragmentation et l'illusion de mouvement en arrière-plan causée par la vitesse de l'avion corroborent cette interprétation. Dennis Freyermuth a exprimé son scepticisme quant à l'authenticité de la vidéo, soulignant qu'elle semblait avoir été recadrée et montée. Il a évoqué la possibilité d'un test militaire classifié ou d'un détournement délibéré. Freyermuth a également émis l'hypothèse que le missile pourrait être la variante AGM-114 R9X « Ninja », qui utilise des lames à la place d'explosifs pour des frappes de précision. Greg Cisko a produit deux analyses de l'événement sur YouTube. Son examen image par image a conclu que le missile avait touché l'objet, qui avait alors libéré trois objets secondaires D. Cisko a également noté une apparente « surtension » dans l'UAP alors qu'il tournait pour faire face au missile entrant, un comportement rappelant la rencontre « Tic Tac » du commandant David Fravor en 2004, où l'objet aurait imité les mouvements de son avion. Cisko a fait référence à des rapports faisant état d'UAP en détresse éjectant des capsules, y compris des parallèles avec Roswell. Contexte technique Le drone de suivi était apparemment un MQ-9 Reaper, largement utilisé pour la surveillance, la reconnaissance et les frappes de précision. Avec une envergure de 20 mètres, une vitesse maximale de 480 km/h et un plafond opérationnel de 15 000 mètres, il peut transporter des missiles Hellfire. En raison de la limite de vitesse du Reaper, l'objet qu'il suivait se déplaçait probablement à moins de 300 mph, soit beaucoup plus lentement que ce qui est généralement considéré comme un UAP « observable » (aucune manœuvre brusque, aucun déplacement trans-médial ou aucune accélération extrême n'ont été observés). Certains ont émis l'hypothèse que l'orbe était recouvert d'un revêtement résistant aux chocs ou qu'il avait poursuivi son vol après le tir du missile, mais ces affirmations restent non vérifiées. La vidéo diffusée par l'AARO s'arrête avant que les images suivantes ne soient montrées, empêchant ainsi une analyse complète. Hypothèse du ballon Les recherches sur les ballons à haute altitude révèlent que beaucoup d'entre eux peuvent atteindre des vitesses comprises entre 60 et 125 mph, en fonction de l'altitude et des couches de vent. Les ballons avancés peuvent exploiter les courants atmosphériques pour ajuster leur vitesse et leur direction. Il existe également des systèmes expérimentaux « rockoon » (hybride fusée-ballon) de la NASA. Ces ballons sont utilisés dans le cadre d'expériences militaires. L'orbe dans la vidéo Hellfire ressemble à un ballon par sa forme et son comportement. Après l'impact, l'objet principal semble dégonflé. La résistance au vent, l'arrimage ou les inclinaisons structurelles pourraient expliquer ses mouvements. Cela corrobore la théorie du ballon de Marc Dantonio. Conclusion : un appel à la transparence La vidéo Hellfire UAP Strike qui a été diffusée est recadrée, montée et invérifiable. Son récit repose largement sur des interprétations anecdotiques, et sans les images complètes et non modifiées, les analystes ne peuvent pas confirmer son authenticité. La publication de l'AARO ne répond pas aux normes d'une divulgation authentique. Tant que la vidéo originale et non modifiée n'aura pas été publiée pour être analysée de manière indépendante par des groupes tels que le MUFON, le public devra se contenter de spéculations plutôt que de preuves. Dans l'état actuel des choses, la vidéo Hellfire UAP Strike ne représente qu'un « rien du tout », un artefact fortement médiatisé présenté comme une divulgation, mais n'offrant aucune preuve vérifiable d'une technologie non terrestre. Plus important encore, cette analyse et cette évaluation de la vidéo traitent d'un sujet controversé. La conclusion présentée ici n'est pas la seule interprétation possible ; cependant, elle est basée sur les faits et les preuves disponibles révélés dans cette publication déclassifiée. Les évaluations et les conclusions rapportées sont susceptibles d'être mises à jour si de nouvelles preuves suggèrent un tel changement. Regardez la vidéo d'analyse du MUFON sur YouTube à l'adresse suivante : https://youtu.be/PAKeje-LuKQ
- Statistiques MUFON – Septembre 2025 : 491 signalements dans le monde
Avec 491 signalements d’OVNI recensés dans le monde en septembre 2025, le MUFON poursuit sa mission de collecte et d’analyse des témoignages. Si les États-Unis dominent largement (373 cas), la zone MUFON France confirme sa stabilité avec 30 cas , soit un niveau identique à celui du mois d’août et en hausse par rapport à juillet (22). Cette répartition montre une activité régulière : la France se maintient à 10 signalements, tandis que la Suisse (4), le Portugal (3), l’Espagne (3), la Hongrie (3), les Pays-Bas (2), la Finlande (2), l’Irlande (2) et la Belgique (1) complètent le panorama. L’ensemble confirme que l’Europe sous responsabilité MUFON France reste un territoire actif et constant dans la collecte de témoignages. En dehors de la zone MUFON France, l’Europe affiche 26 cas en septembre 2025 , dominés très largement par le Royaume-Uni (18) . L’Allemagne (4), l’Italie (2) et la Norvège (2) contribuent modestement. Ces chiffres soulignent un contraste : d’un côté la stabilité de la zone MUFON France (30 cas), de l’autre une concentration britannique. 🔎 NOTE / Chaque observation est saisie dans le CMS ( Case Management System ), puis confiée aux enquêteurs régionaux avant validation par la direction. Seule une faible proportion (3 à 5 %) sera classée comme inexpliquée après enquête, mais chaque témoignage contribue à enrichir le puzzle mondial des mystères aériens. TABLEAU : ZONE MUFON FRANCE Voici un visuel qui permet d'apprécier les lieux d'observations en septembre : Synthèse des signalements OVNI aux États-Unis – Septembre 2025 Au cours du mois de septembre 2025, les États-Unis demeurent le principal foyer mondial d’observations d’OVNI, avec une répartition notablement hétérogène selon les États. Sur l’ensemble du territoire, les États de la côte ouest et du Midwest concentrent une part significative des signalements , tandis que les zones rurales et périphériques présentent une activité plus diffuse. États les plus actifs Californie (44 cas) : conserve sa première place, confirmant son rôle de foyer récurrent de signalements, notamment dans les régions côtières et urbaines à forte densité de population. Michigan (24) : progression marquée, ce qui le place au deuxième rang, témoignant d’un possible regain d’activité dans les Grands Lacs. Floride (19) et Texas (18) suivent de près, illustrant l’importance des États du Sud et leur rôle constant dans la dynamique ufologique américaine. New York (16) et Washington (14) complètent le peloton de tête, traduisant une concentration d’observations sur les deux façades du pays. Moyenne activité Un noyau intermédiaire d’États présente entre 7 et 12 signalements : Arizona (12), Missouri (11), Ohio (11), Pennsylvanie (11), Tennessee (10), Indiana (10), suivis par la Géorgie, l’Arkansas, l’Oklahoma et le Colorado (9 chacun). Ce groupe hétérogène reflète une distribution géographique étendue, allant des Appalaches au Midwest, jusqu’aux Rocheuses. Activité modérée Les États comme la Caroline du Nord et le New Jersey (8 chacun) , ou le Connecticut, le Minnesota, le Nouveau-Mexique et la Caroline du Sud (7 chacun) , confirment que le phénomène ne se limite pas aux zones densément peuplées, mais s’ancre aussi dans des régions à profil démographique ou géographique varié. Faible activité La majorité des autres États rapportent entre 1 et 6 cas : Alabama, Utah, Idaho, Maryland (6), Kansas, Nevada, Massachusetts (5), et plusieurs États avec seulement 3 ou 4 signalements (Wisconsin, Oregon, Virginie, Iowa, Rhode Island, Virginie-Occidentale, Mississippi, Dakota du Nord, Nebraska, Vermont, Illinois, Maine, Louisiane, Delaware). Enfin, Kentucky, Alaska, Montana et Hawaï n’ont signalé qu’ un seul cas chacun . Conclusion Cette distribution suggère une double polarisation : d’un côté les foyers chroniques (Californie, Floride, Texas, Michigan), de l’autre un ensemble d’États rapportant un faible nombre mais contribuant à une couverture nationale quasi-complète. L’analyse géographique met en évidence l’importance des zones côtières et des régions de transition (Grands Lacs, Sud-Est, corridor Atlantique), tandis que les zones de faible densité (Alaska, Montana, Hawaï) demeurent en marge. Les formes des objets observés – Septembre 20 En septembre 2025, les signalements d’OVNI révèlent une palette morphologique contrastée. Les formes sphériques (75) et circulaires (60) dominent largement, confirmant l’image persistante des “boules de lumière” et des “soucoupes volantes”. Viennent ensuite une forte proportion de triangles (34) et d’objets en forme d’étoile (33), traduisant la montée des observations angulaires. Les ovales (30), disques (16), cylindres (14) et boomerangs (13) s’inscrivent dans les motifs “classiques” de l’ufologie moderne, tandis que des catégories plus rares apparaissent (Tic Tac, œuf, chevron, Saturn-like). Enfin, une part non négligeable des témoins reste incertaine : 50 “Other” et 38 “Unknown”, preuve de la difficulté à décrire l’insoli Cette diversité illustre une double tendance : la récurrence d’archétypes bien établis (sphère, disque, triangle) et la persistance d’un vaste champ d’indéterminé, où chaque témoin tente de nommer l’inclassable. Fait marquant : 17 cas d’atterrissages / stationnaires / décollages ont été rapportés, et 38 entités observées. N’oubliez pas de vous abonner à notre magazine numérique trimestriel Contacts , qui vous réserve pour cet automne une sélection d’articles exclusifs, d’enquêtes approfondies et de mises au point sur le phénomène UFO.
- Août, mois des veilleurs de ciel : plongée dans le CMS du MUFON
Août 2025 confirme son statut de mois phare pour les veilleurs du ciel. Avec 513 signalements d’OVNI recensés à travers le monde par le MUFON, le mois d’août reste fidèle à sa réputation : celui des nuits longues, des soirées claires et des témoignages qui affluent. Les États-Unis dominent toujours avec 379 observations, mais c’est le Royaume-Uni qui surprend en doublant presque son nombre de cas (24 contre 13 en juillet). La zone MUFON France , qui couvre l’Hexagone mais aussi une large partie du continent européen hors Allemagne et Italie, enregistre 30 signalements , dont 10 pour la France seule (+2). Ce chiffre confirme la vitalité du réseau francophone et européen, porté par les veillées estivales et la vigilance des observateurs. L’Europe, entre stabilité méditerranéenne et regain nordique, montre que le phénomène OVNI ne connaît pas de frontières ni de trêve estivale. Août 2025 ne signe pas une flambée soudaine, mais un pic saisonnier attendu , chaque observation venant nourrir le puzzle mondial des mystères aériens. Coup de projecteur sur le Royaume-Uni L' Écosse en tête 3 observations confirmées (Cupar, Perth & Kinross, Peat Inn). Rapporté à sa population, c’est une concentration notable, confirmant l’Écosse comme un foyer régulier d’observations, notamment en zones rurales ou littorales. Worcestershire (2 cas) Abberley et Worcester : deux signalements rapprochés dans une zone peu dense, ce qui attire l’attention. Sud-Est anglais actif Brighton et Reading : deux observations dans une région densément peuplée, souvent riche en témoignages d’OVNI. Présence diffuse partout ailleurs Signalements uniques répartis en West Midlands (Cannock) , Yorkshire (Sheffield) , Essex (Abbess Beauchamp) , Hertfordshire , Buckinghamshire , etc. L’Irlande du Nord (Carrickfergus) et le Pays de Galles (St David’s, Connahs Quay) sont représentés. ZONE MUFON FRANCE* : 30 observations recensées Août 2025 : le mois d’observation par excellence Alors que le MUFON mondial enregistre 513 signalements en août (contre 499 en juillet), la zone MUFON France ( incluant plusieurs pays européens ) signe une progression nette avec 30 cas recensés . C’est une hausse de +36 % par rapport à juillet, confirmant que le mois d’août reste un temps fort de veille ufologique, où nuits claires et curiosité collective se conjuguent. La France reste en tête du classement avec 10 observations (+2), suivie par la Suisse et le Portugal (3 chacune), qui confirment leur stabilité. Mais ce sont surtout la Pologne et la Russie , chacune créditée de 2 signalements , qui marquent ce mois-ci l’élargissement et la diversité du réseau. Les Pays-Bas (2) et la Martinique (1) viennent ajouter une note cosmopolite, preuve que MUFON France surveille un ciel qui dépasse largement les frontières hexagonales. L’Europe de l’Est (Hongrie, Roumanie, Croatie, Grèce) reste stable avec 6 cas cumulés , tandis que Belgique et Martinique se distinguent par des signalements isolés, mais précieux. Dans un contexte mondial dominé par les États-Unis (379 observations), la zone MUFON France incarne plus que jamais une vigie européenne et francophone incontournable . Impact par rapport à juillet Juillet (zone MUFON France) ≈ 22 cas → Août 30 cas +8 cas, soit ~+36 % sur la zone. La France reste en tête (+2 vs juillet). L’ajout Pologne (2) et Russie (2) explique l’essentiel de l’écart. Pays Juillet Août Évolution France 8 10 +2 Suisse 3 3 = Portugal 3 3 = Pays-Bas 1 2 +1 Pologne 0 (non mentionnée) 2 +2 Russie (FR) 0 (non mentionnée) 2 +2 Hongrie 2 2 = Roumanie 2 2 = Croatie 1 1 = Grèce 1 1 = Belgique 1 1 = Martinique 0 (non mentionnée) 1 +1 résumé des cas américains pour aout 2025 : La Californie, New York et Pennsylvanie concentrent le cœur des signalements . Les zones rurales du Midwest et des Rocheuses forment des hotspots discrets mais constants . Août 2025 est un mois d’observation intense sur tout le territoire américain. Le plus remarquable ce mois-ci c'est qu’il y a eu 15 atterrissages, stationnaires ou décollages signalés et 33 entités observées. Le nombre de cas d’enlèvement (ERT) a été de 513. Pour consulter vous-même les données du CMS, rends-toi sur www.mufon.com et clique sur « UFO Case Files » pour : voir facilement les 20 dernières observations , effectuer une recherche personnalisée dans la base CMS par date et/ou lieu , En conclusion, rappelons que tous les cas entrés dans le CMS font l’objet d’une enquête approfondie menée par les enquêteurs du MUFON. Seule une minorité de 3 à 5 % des signalements sera certainement classée comme “inconnue” après vérification minutieuse, validation par les enquêteurs et confirmation par la direction. Ce processus rigoureux garantit que chaque observation retenue comme inexpliquée repose sur des données vérifiées et solides. NOTE : Qu’est-ce que le CMS du MUFON ? Le CMS (pour Case Management System ) est la base de données centrale du MUFON . C’est l’outil officiel où sont enregistrés tous les signalements d’observation d’OVNI. Chaque témoin peut saisir directement son rapport via un formulaire en ligne. Les enquêteurs MUFON reçoivent chaque nouveau cas, le prennent en charge, enquêtent et complètent le dossier. Une fois l’enquête terminée, la direction MUFON valide l’affaire. Seuls 3 à 5 % des cas sont finalement classés comme “inconnus” après vérifications. En résumé, le CMS est le cœur numérique du réseau MUFON, garantissant la traçabilité, la transparence et la rigueur dans le traitement des signalements OVNI.
- Combien d' OVNIs survolent la France et le monde ? Bilan des cas recensés de juillet
Rapport d’observations – Zone MUFON France : Juin & Juillet 2025 Chaque mois, le MUFON collecte et analyse les signalements ( avant enquêtes ) d’objets volants non identifiés (OVNIs) à travers le monde. En tant que leader de la branche européenne, MUFON France suit avec une attention particulière les cas en provenance des pays dont elle a la charge, soit une quarantaine d’États couvrant la quasi-totalité du continent européen – de la France à l’Ukraine, de la Croatie à l’Islande. ( Excepté : Royaume-Uni, de l'Allemagne, de l'Italie, de la Norvège, du Danemark et de l'Irlande ) Sur les mois de juin et juillet 2025 , notre zone géographique a enregistré respectivement 17 puis 22 cas . Une hausse discrète mais significative, qui témoigne d’un regain d’activité en cette période estivale. Ces signalements proviennent notamment de France , mais aussi d’ Espagne , de Pologne , de Roumanie , ou encore de Slovaquie . En France , les 8 cas signalés en juillet confirment une dynamique d’observation stable. Certaines régions semblent plus actives que d’autres, et des formes récurrentes (sphériques, lumineuses, silencieuses) reviennent régulièrement dans les descriptions. Ces données, bien qu’encore fragmentaires, permettent d’identifier des tendances saisonnières, géographiques et morphologiques . Elles contribuent également à la mise en réseau de phénomènes similaires observés dans différents pays européens, parfois à quelques jours d’intervalle. Ce graphique illustre la part relative des cas signalés dans chaque pays européen rattaché à MUFON France sur les deux derniers mois d’analyse (juin et juillet 2025 combinés) . France (28,8 %) : Premier pays en nombre de signalements, avec 15 cas recensés, répartis sur l’ensemble du territoire. Espagne (11,5 %) : Forte progression en juillet, avec un total de 6 cas. Croatie (7,7 %) : Pays notablement actif en juillet, avec 3 cas supplémentaires. Pologne, Autriche, Slovaquie, Belgique, Turquie (3,8 % chacun) : Pays à activité stable ou en augmentation. Roumanie, Hongrie, Bulgarie (1,9 à 3,8 %) : Présence constante sur les deux mois. Pays-Bas, Grèce, Russie, République tchèque, Finlande (1,9 %) : Signalements isolés en juillet, mais qui viennent enrichir le panorama régional. Azerbaïdjan, Malte, Portugal (1,9 % chacun) : Activité uniquement en juin. Ces données montrent une dispersion géographique croissante , avec plusieurs nouveaux pays apparaissant sur la carte des signalements. Le camembert permet ainsi de visualiser la densité relative des témoignages , et d’identifier des foyers d’intérêt pour l’analyse Analyse des signalements hors zone MUFON France Le mois de juillet 2025 a été marqué par une forte concentration d’observations d’OVNIs à l’échelle mondiale , avec un total de 499 signalements enregistrés par le MUFON via son CMS (Case Management System). Parmi ceux-ci, 22 proviennent de la zone MUFON France , tandis que les 478 autres relèvent du reste du monde. Sans surprise, les États-Unis dominent très largement les statistiques avec 374 cas à eux seuls , soit près de 75 % des signalements globaux . Ce chiffre reflète à la fois la densité de population, la culture d’observation, et la visibilité du MUFON dans ce pays. La Californie , historiquement très active, reste en tête des États contributeurs. À l’international, le Royaume-Uni se distingue avec 13 cas , en progression par rapport à juin. Ce regain d’activité est notable, en particulier en Angleterre et en Écosse, où plusieurs témoins ont rapporté des objets lumineux silencieux à basse altitude. Le Canada enregistre également 25 cas , tous concentrés en juillet. Les régions du Québec, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique figurent souvent parmi les zones d’observation récurrentes. L’ Australie , quant à elle, totalise 9 observations en juillet. Ces signalements, souvent en zone rurale ou semi-urbaine, décrivent des formes sphériques ou triangulaires, parfois associées à des phénomènes lumineux colorés. Enfin, le Brésil et le Mexique continuent de faire entendre leur voix avec plusieurs cas rapportés chacun, notamment en milieu urbain, autour de grandes agglomérations comme São Paulo ou Mexico City. Ce panorama mondial met en lumière la répartition inégale mais significative des signalements , avec des poches d’activité récurrentes. Il démontre aussi l’importance croissante des canaux de collecte en ligne pour structurer et cartographier le phénomène à l’échelle planétaire. ufologique. La répartition des formes d’objets rapportées dans le monde en juillet Cercle (Circle) : 20 % Sphère (Sphere) : 15,6 % Ovale (Oval) : 10,2 % Formes inconnues ou non précisées : ~16 % combinées (Unknown + N/A + Other) Ce graphique met en lumière la prééminence des formes géométriques simples , souvent associées à des observations nocturnes. Données complémentaires – Juillet 2025 Fait notable ce mois-ci : 12 cas d’atterrissage, de vol stationnaire ou de décollage ont été rapportés, ainsi que 21 observations d’entités ! A noter : toutes les observations enregistrées chaque mois dans le CMS font l’objet d’un suivi. Chaque signalement est sujet à une enquête rigoureuse, menée par les enquêteurs certifiés du MUFON. En France, une dizaine d’enquêteurs actifs sont mobilisés pour traiter les cas rapportés, selon un protocole strict. Dans la zone MUFON France élargie, seuls les enquêteurs ayant atteint le niveau CAG (Certified Advanced Grade) sont habilités à intervenir hors de l’Hexagone. Pour les cas d’enlèvement, cas supposément liés à des abductions ou à des contacts avec des entités non humaines, c’est l’équipe spécialisée ERT (Experiencer Resource Team) qui est seule habilitée à assurer le soutien, l’écoute et l’accompagnement des expérienceurs. Pour les cas impliquant des traces au sol (type crop circles) ou des mutilations animales suspectes, c’est la STAR Team France qui prend le relais. Cette équipe, composée d’enquêteurs aguerris et formés au travail de terrain, est spécifiquement habilitée à intervenir dans les environnements sensibles ou présentant des indices physiques. Pour consulter directement les données du CMS ( Case Management System ), rendez-vous sur www.mufon.com et cliquez sur l’onglet "UFO Case Files" . Vous pourrez : Visualiser facilement les 20 derniers signalements ; Effectuer une recherche personnalisée par date et/ou localisation ; Vous connecter à CMS pour accéder à des informations encore plus détaillées sur les cas OVNI dans votre région… et dans le monde entier. Pour toutes observations contactez le bureau du MUFON : temoignage@mufonfrance.fr SOIRÉE SURVEILLANCE DU CIEL SAMEDI 9 AOUT , INFORMEZ-VOUS SUR LES PAGES MUFON
- L’Allemagne s’engage dans la reconnaissance des OVNI/UAP
Toulouse, 18 juil. 2025) : Le Collectif d’Intervenants sur le Phénomène OVNIs (CIPO France) prend acte avec le plus vif intérêt de l’annonce récente d’un partenariat entre l’Université de Wurtzbourg, en Bavière, et l’ (LBA, pour Luftfahrt-Bundesamt ), visant à créer une plateforme de signalement réservée aux phénomènes aériens non identifiés (UAP) et dédiée aux pilotes civils et commerciaux allemands. Ce pas concret, annoncé le 14 juillet 2025 par le Centre de recherche interdisciplinaire pour les études extraterrestres à l'université de Wuerzburg (IFEX), marque une avancée historique significative dans la mise en place d’une écoute rationnelle, structurée et scientifique de témoignages d’acteurs de première ligne : les professionnels du secteur aérien. En instaurant un protocole universitaire ouvert, documenté et sans a priori, l’Allemagne inscrit désormais — à la suite de la France et des Pays-Bas — l’étude des UAP dans le champ public européen, avec une reconnaissance professionnelle, institutionnelle et aéronautique. Les membres du CIPO saluent cette initiative pionnière, qui répond à un besoin exprimé depuis des décennies par des pilotes, personnel navigant et contrôleurs aériens contraints au silence et au déni. Vers une science ouverte des anomalies aériennes À l’heure où le ciel devient un espace saturé de drones, de systèmes autonomes, de satellites privés et militaires, il est impératif de distinguer les anomalies naturelles ou humaines… de ce qui défie nos cadres de référence. L’étude des UAP — dits PAN ( Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés ) selon la terminologie française — ne relève plus de la science-fiction, mais de la sécurité aérienne, de la rationalité scientifique, et peut-être, d’une révision lente mais inévitable de nos paradigmes. La démarche de l’Office Fédéral Allemand de l’Aviation et de l’IFEX à l’Université de Wurtzbourg démontre qu’il est désormais possible de parler des UAP sans en rougir, sans céder au sensationnalisme et sans ridiculiser les témoins. Un appel à une coopération européenne En tant que collectif transdisciplinaire réunissant scientifiques, pilotes, ingénieurs, journalistes, artistes et chercheurs indépendants, le CIPO France se tient prêt à collaborer avec les autorités allemandes, ainsi qu’avec les partenaires européens intéressés par une approche rigoureuse et non dogmatique du phénomène UAP. Nous invitons le CNES/GEIPAN, la DGAC, les agences aéronautiques européennes et les institutions scientifiques à envisager une plateforme européenne de coordination et d’analyse des signalements UAP, afin de mutualiser données, expertises et observations sur tout le continent. Ovnis et Aviation : quand les pilotes témoignent Depuis l’aube de l’aviation, les pilotes rapportent des observations aériennes inexpliquées qui défient les connaissances humaines. Pilotes privés, d’avions de ligne ou aux commandes d’avions de chasse ou de bombardiers, les pilotes sont, depuis les débuts de l’aviation au XIXe siècle jusqu’aux événements les plus récents, des témoins essentiels de l’observation d’OVNI et de UAP. Ces professionnels hautement qualifiés sont entraînés à observer et à analyser les conditions aériennes. Contrairement aux témoins lambda, leur sens de la perception et leur expertise rendent leur parole particulièrement crédible, rappelle Franck Maurin, membre fondateur du CIPO France et auteur de Ovnis et Aviation, Quand les pilotes témoignent (JMG Éditions, 2025), paru au printemps dernier. Leurs observations sont également particulièrement précieuses pour la recherche. « En soumettant un rapport, vous contribuez à une meilleure compréhension du phénomène et aidez à combler les lacunes existantes en matière de données », écrit l’IFEX sur sa page dédiée au recueil des observations des pilotes. Pour en savoir plus : L’annonce du partenariat entre l’IFEX et l’OFAA, 14 juillet 2025 https://idw-online.de/en/news855404 La page de signalement des UAP de l’IFEX https://www.uni-wuerzburg.de/en/ifex/research-projects/uap-reporting-center-for-pilots/uap-reporting-form-for-pilots Le livre Ovnis et Aviation , de Franck Maurin (JMG Éditions, 2025) https://parasciences.net/ovnis-et-aviation-quand-les-pilotes-temoignent Le CIPO France : « Le ciel n’est plus vide » Les personnalités du CIPO France invitent à redécouvrir et à cultiver l’art d’observer, d’écouter, et d’interroger ce qui nous dépasse sans nous aliéner. Découvrir le CIPO France, sa charte, ses membres 📍 Site officiel : www.cipofrance.com 📧 Contact : ccipofrance@gmail.com📱 Suivez-nous sur Facebook / YouTube : @cipofrance
- Analyse du Bureau International des ovnis sur de mysterieux signaux
Oklahoma City, OK, 2025 JUIN : un communiqué de presse confirme une découverte révolutionnaire : Une signature de fréquence répétitive et structurée de 5,04 Hz détectée dans deux observations distinctes d'UAP, enregistrées dans des conditions totalement différentes, par des témoins sans lien de parenté, dans des lieux différents. Le signal a été confirmé sur les canaux visuels et sonores par une analyse en couches du signal et du modèle en deux endroits et à deux moments différents. Le premier événement s'est produit au-dessus du Golfe du Mexique en décembre 2024 . Le second, enregistré à Daytona Beach en mars 2025, a révélé la même fréquence de signature. Ce qui est significatif, ce n'est pas seulement la récurrence, c'est la précision. Si les pics de fréquence isolés ne sont pas rares dans les séquences anormales, la correspondance exacte de cette impulsion dans les deux événements élimine la possibilité d'une coïncidence. Les données révèlent plutôt une émission intentionnelle et structurée, potentiellement liée au contrôle, à la propulsion ou à la transmission. La structure et la configuration du signal ne correspondent pas à une interférence naturelle. Un comportement structuré des fréquences indiquant une modulation interne. Un comportement synchronisé des émissions, suggère un contrôle intentionnel. Une synchronisation de la luminosité et du mouvement est observée parallèlement à l'activité du signal. Des profils de signaux et de mouvements croisés excluent les sources terrestres connues, notamment les drones commerciaux, les aéronefs et les balises maritimes. Des émissions à basse fréquence inf à 20 hertz ont été enregistrées dans les 2 cas. Cette fréquence n'est pas aléatoire, elle est structurée, reproductible et désormais confirmée par de multiples événements UAP indépendants. Selon Melissa Madrigal, directrice de recherche au Bureau international des ovnis, "ce que nous observons fait partie d'un système qui semble fonctionner avec une précision intentionnelle. C'est un signal qui mérite d'être suivi. Ces cas jettent les bases de futures recherches sur les UAP liés à la fréquence et pousse les investigations au-delà des images anecdotiques vers des phénomènes mesurables, basés sur des signaux". Historique du Cas : Mexique 2024 Gulf of Mexico UAP - Case Analysis (Tautfest Sighting – 23 December 2024) Gulf of Mexico. L'événement a commencé lorsque le témoin a observé une lumière aérienne lointaine au dessus de l’océan et présentant une illumination irrégulière décrite comme « pulsante ». Elle a commencé à filmer immédiatement, appelant sa fille à pour qu'elle soit témoin de l'événement. Les deux observatrices ont noté une impulsion semblable à une fusée éclairante, suivie de phases stationnaires et ternes prolongées. Bien qu’elle ait d'abord supposé qu'il pouvait s'agir d'une bouée ou d'une balise marine, son comportement ne correspondait à aucun feu de navigation connu basé sur le temps ou à aucun système embarqué sur l'eau. Analyse de la vidéo. ( cf lien) L'objet conserve un profil auto-éclairé tout au long de l'enregistrement. Sa lueur semble provenir de l'intérieur et non de la réflexion. La luminosité est cohérente avec une diffusion de type plasma, sans points lumineux aigus ou points chauds typiquement associés aux sources LED ou à faisceau. Aucun comportement lumineux stroboscopique, clignotant ou standard de l'aviation n'est visible. L'objet ne présente pas de caractéristiques structurelles, de fuselage ou de gréement monté supportant un objet aérien non mécanique ou non standard. L'embrasement capturé au milieu de l'enregistrement montre une expansion de la luminosité plutôt qu'un faisceau directionnel ou un flash, ce qui suggère une décharge d'énergie plutôt qu'un comportement de projecteur. Il n'y a pas de scintillement ni de changement de couleur pendant la fusée, ce qui la distingue encore plus des systèmes de signalisation lumineux courants ou des fusées éclairantes marines. L'émission de la lumière reste stable quel que soit le mouvement de la caméra ou les changements d'éclairage ambiant, ce qui indique qu'il s'agit d'une véritable source de lumière 3D et non d'un reflet de lentille ou d'un reflet Constats et hypothèses 1. Objet aérien stationnaire présentant une émission lumineuse dirigée 2. L'absence de mouvement de l'objet, associée à une brève éruption, suggère la possibilité d'un UAP en vol stationnaire utilisant une rafale d'énergie dirigée, potentiellement pour la signalisation, le balayage ou la décharge. 3. Signature de propulsion à base de plasma ou électromagnétique. La lueur constante et le modèle de diffusion lisse sont compatibles avec le comportement du plasma, plutôt qu'avec le scintillement des LED ou les structures lumineuses mécaniques,ce qui pourrait indiquer un système de propulsion ou de lévitation à base d'énergie. 4. Comportement d'émission ou de stabilisation d'énergie par champ Le vol stationnaire de longue durée de l'objet, sans dérive, implique un éventuel système de confinement de champ ou une forme de stabilisation électromagnétique qui lui permet de rester suspendu dans l'espace sans support ni mouvement visible. 5. Il ne s'agit pas d'une bouée, d'une fusée éclairante ou d'une balise marine. Bien que le témoin se soit raisonnablement demandé si l'objet pouvait être une bouée ou une balise, plusieurs facteurs vont à l'encontre de cette hypothèse: Pas de mât visible, de dispositif de flottaison ou de mouvement de vague, pas de scintillement ou de cycle rythmique typique des lumières maritimes programmées, pas de descente, de traînée ou de combustion comme dans le cas des fusées éclairantes L'objet semble élevé au-dessus de l'horizon, et non pas posé directement sur l'eau. 6. La signature chromatique de l'objet, un noyau central blanc avec un halo vert-jaune, n'est pas compatible avec les corps célestes ou les systèmes d'éclairage marins/navals standards. Sa faible saturation et son fort profil de luminosité suggèrent une source lumineuse surexposée à haute énergie, potentiellement indicative d'une émission à base de plasma, d'une lueur d'air ionisée ou d'un système de dispersion d'énergie contrôlée . 7. Émission à base de plasma 8. Lueur d'air ionisé 9. Système de dispersion d'énergie contrôlée 10. Satellites - Liés au mouvement orbital ; incapables de faire des sauts horizontaux soudains. 11. Avions commerciaux - Ils dépendent d'un guidage progressif et de la vitesse ; ils sont incapables de se déplacer brusquement dans l'air. 12. Drones (civils/militaires) - Nécessitent une hélice ou une inclinaison du rotor ; les changements soudains entraîneraient une compensation de la rotation, une inclinaison du corps ou un bruit de moteur. 13. F-22 Raptor / F-35 Lightning II - Bien qu'agiles, ces aéronefs ne peuvent pas rester en vol stationnaire ou se déplacer sans générer de poussée ou de signatures acoustiques. 14. Avions furtifs (par exemple, F-117 Nighthawk, B-2 Spirit, SR-71 Blackbird) - Ces avions ont été conçus à l'adresse pour échapper aux radars et se déplacer à grande vitesse sur de longues distances, et non pour se repositionner brusquement. Aucun ne peut faire du vol stationnaire et tous produisent des signatures sonores et thermiques, dont aucune n'a été observée ici 15. Projets classifiés - Aucune information publiquement reconnue ou divulguée sur le site ne décrit une plate-forme capable d'effectuer un déplacement silencieux et instantané sans surfaces de contrôle ni échappement de propulsion. La forme constante, même pendant les moments de fluctuation de la luminosité, soutient l'hypothèse d'une source lumineuse stable et non aléatoire, peut-être une source utilisant le champ pour le confinement ou la modulation plutôt qu'un boîtier mécanique. Combinées à l'absence de scintillement, de structure ou de clignotement, ces découvertes soulèvent de sérieuses questions quant à l'origine et à la fonction de la production d'énergie de l'objet, suggérant qu'elle est à la fois artificielle et délibérément contrôlée. Le changement brusque observé est caractéristique de plusieurs événements UAP vérifiés, y compris la rencontre avec le Nimitz en 2004, où les objets défient les lois connues de l'inertie, de l'accélération et de la propulsion. Cela renforce la conclusion que le mouvement observé ne peut être réalisé par aucun aéronef connu qu'il soit civil, militaire ou classifié. Interprétation des données La signature infrarouge de l'objet montre des signes de production d'énergie active, incompatible avec une réflexion naturelle ou des sources de chaleur environnementales. Le noyau central cohérent et la lueur environnante ressemblent aux profils thermiques observés dans les rencontres militaires vérifiées UAP, telles que : L'incident « Gimbal » (2015) - où un objet présentait une forte signature thermique verrouillée sans propulsion visible a montré un comportement infrarouge irrégulier ne correspondant à aucun aéronef connu. Ces cas soutiennent l'idée que ce que nous voyons ici peut représenter une propulsion sur le terrain ou une émission de plasma contenue, plutôt qu'une production de chaleur conventionnelle. Le changement d'intensité d'une image à l'autre suggère une modulation ou une pulsation, qui a également été observée dans des cas de radar naval et d'anomalies de sonar sous-marin impliquant des objets aériens et submergés non identifiés. Conclusion: La structure des fréquences est cohérente avec les systèmes de stabilisation et de propulsion conçus, en particulier ceux qui : utilisent un confinement électromagnétique modulent les rafales d'énergie du plasma s'engagent dans un contrôle d'orientation non aérodynamique Il ne s'agit pas simplement d'impulsions aléatoires, elles reflètent une conception délibérée, une régulation par rétroaction, et potentiellement une propulsion de champ avancée dépassant les technologies aérospatiales connues. Des signatures spectrales similaires, en particulier la dominance des émissions vert-bleu avec des bandes rouges supprimées, ont été enregistrées dans d'autres points chauds de l'UAP bien étudiés, La vallée de Hessdalen (Norvège) : Surveillée depuis les années 1980, avec des données collectées par des scientifiques, des ingénieurs et des équipes de recherche soutenues par l'université . Les lumières observées ici émettent fréquemment dans le spectre vert/cyan et présentent des mouvements stationnaires ou intelligents. Les mesures du spectre ont été publiées dans des revues scientifiques et font toujours l'objet d'une recherche active sur le site Skinwalker Ranch (Utah, États-Unis) : Enquête menée dans le cadre de programmes gouvernementaux, notamment le programme AAWSAP (Advanced Aerospace Weapon System Applications Program), financé par le ministère américain de la défense. Les chercheurs sur le terrain ont enregistré des lumières pulsées à spectre froid, souvent de type, accompagné d'interférences électromagnétiques et d'anomalies aériennes. Bien que toutes les données ne soient pas publiques, cette localisation a été incluse dans les briefings officiels de la DIA. Ces parallèles étayent l'hypothèse selon laquelle l'objet en question présente des caractéristiques compatibles avec une activité UAP persistante et intelligemment contrôlée observée dans plusieurs régions et décennies. Hypothèse sur le mécanisme de contrôle Pulses as Stabilization Bursts : À l'instar des systèmes de contrôle de la réaction (RCS) utilisés dans les engins spatiaux, les émissions peuvent agir comme de courtes impulsions contrôlées qui aident à maintenir l'altitude, à contrecarrer les forces environnementales ou à repositionner l'engin. Rôle du plasma ou de la propulsion électromagnétique : Le halo verdâtre et le comportement spectral impliquent l'ionisation, une caractéristique du plasma basé sur la poussée ou le blindage énergétique. Ces émissions peuvent ajuster la polarité de la charge, la pression du champ ou l'équilibre aérodynamique. Influence directionnelle : Contrairement aux réflexions (par exemple, des satellites), le modèle d'émission de l'objet change de directions, de luminosité et de position, suggérant que les impulsions sont générées en interne et liées à contrôle actif. Technologies connexes : Des systèmes d'émission pulsée similaires sont utilisés dans : les modules RCS à gaz froid de SpaceX les systèmes de contrôle des propulseurs ioniques les ascenseurs électrohydrodynamiques utilisant le vent ionique pulsé Hypothèses de propulsion et comparaison technique: Principales conclusions L'objet émet des rafales de lumière contrôlées et ciblées, ce qui correspond à des concepts tels que Propulseurs à réaction Stabilisation basée sur le champ Ou peut-être modulation du champ de gravité Aucune traînée d'échappement visible ou signature de moteur n'est présente, ce qui suggère un système de propulsion non combustible. Le halo verdâtre observé peut représenter un champ de plasma, souvent associé à des effets d'ionisation à haute énergie dans d'autres rencontres avec l'UAP. Hypothèses de propulsion utilisée 1. Propulsion électromagnétique ou à base de plasma Peut-être une forme avancée de propulseur à effet Hall, mais capable de fonctionner dans l'atmosphère, peut utiliser des impulsions de gaz ionisé ou de plasma pour maintenir la stabilité ou la direction, sans surfaces de contrôle aérodynamiques 2. Gravité artificielle ou manipulation inertielle Les éclairs peuvent représenter des événements de stabilisation du champ autour d'une zone de gravité localisée ou de modulation de l'inertie. Cela correspond aux comportements d'accélération soudaine et de changement de direction rapportés dans les rencontres UAP du DoD (par exemple, Gimbal, Tic Tac) 3. Contrôle du champ électrostatique/magnétique L'objet peut être entouré d'un champ EM chargé, pulsant en synchronisation avec les demandes de mouvement. Cela expliquerait à la fois les effets de halo visuel et le caractère non aléatoire de l'effet de halo. Interprétation finale Si ces sursauts sont fonctionnels comme le suggèrent les données, ils révèlent un système de propulsion/contrôle technologiquement avancé, probablement au-delà de l'ingénierie aérospatiale conventionnelle Que ce soit par : stabilisation par électroplasma manœuvre par champ ou modulation gravitationnelle Cet objet démontre un degré de contrôle actif et intelligent compatible avec les données de haut niveau de l'UAP et les concepts théoriques de propulsion aérospatiale. Compiled by: Melissa Madrigal Director of Research, IUFOB - Founder of MadiSphere Research June 2025











