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- Il a été 29 ans chef du programme spatial de sécurité israélien: “Les extraterrestres existent!“
Quelle mouche pique les anciens ministres ou gradés du monde entier à affirmer que les extraterrestres existent bel et bien ! Après Paul Heyller ancien ministre canadien qui déclara en 2005, puis en 2015 (voir lien bas de page) que les extraterrestres de plusieurs races existent, c'est du côté improbable d’Israël (on ne s'amuse pas avec ce genre de propos au pays du MOSSAD) que l'annonce vient de tomber en salle de presse. Celle-ci a fait le tour du monde des rédactions aussitôt absorbé par l'information, noyée dans les tracas du quotidien, cette annonce n'a pas été faite pour amuser un certain auditoire. Le journal du Dimanche va même jusqu'à se poser la question : Et si, les monolithes qui sortent de terre dans le monde entier, n'étaient pas là par hasard ? même si manufacturés par l'homme. Le mystère s'épaissit donc ! Une chose est certaine, nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Janny Charrueau FOU! By David Israel de : JewishPress.com Le professeur Haim Eshed a dirigé de 1981 à 2010 le programme spatial de sécurité d'Israël et a reçu au fil des ans le prix de la sécurité d'Israël à trois reprises, dont deux fois pour des inventions technologiques confidentielles. Donc, s'il est devenu fou, et cette possibilité est toujours ouverte, cela a dû se produire au cours de la dernière décennie. Et la raison pour laquelle nous pensons que le bon professeur a peut-être perdu la boule est liée à une interview qu'il a donnée à 7 Days, l'édition du Shabbat du Yedioth Aharonoth, le journal payant le plus diffusé en Israël, dans laquelle il dit : "Les extraterrestres ont demandé de ne pas annoncer qu'ils sont ici, l'humanité n'est pas encore prête". Le professeur Eshed a dit à Yedioth, entre autres choses, que les aliens ont demandé à ne pas annoncer qu'ils sont ici, que l'humanité n'est pas encore prête : Les OVNI ont demandé de ne pas publier qu'ils sont ici, l'humanité n'est pas encore prête. Trump était sur le point de révéler, mais les extraterrestres de la Fédération Galactique disent Attendez, laissez les gens se calmer d'abord. Ils ne veulent pas déclencher une hystérie de masse. Ils veulent d'abord nous rendre sains d'esprit et compréhensifs. “Ils attendent que l'humanité évolue et atteigne un stade où nous comprendrons généralement ce que sont l'espace et les vaisseaux spatiaux. Il y a un accord entre le gouvernement américain et les extraterrestres. Ils ont signé un contrat avec nous pour faire des expériences ici. Eux aussi font des recherches et essaient de comprendre tout le tissu de l'univers, et ils veulent que nous les aidions. Il y a une base souterraine dans les profondeurs de Mars, où se trouvent leurs représentants, ainsi que nos astronautes américains. Si j'étais arrivé à ce que je dis aujourd'hui il y a cinq ans, j'aurais été hospitalisé. Partout où je suis allé avec ça dans le milieu universitaire, on m'a dit : l'homme a perdu la tête. Aujourd'hui, ils parlent déjà différemment. Je n'ai rien à perdre. J'ai reçu mes diplômes et mes prix, je suis respecté dans les universités à l'étranger, où la tendance est également en train de changer.“ Pour ceux d'entre nous qui ont grandi à la suite du vol en distorsion de Zefram Cochrane, dont un vaisseau spatial vulcain a été le témoin et qui a très vite permis à la Terre d'être acceptée par les planètes les plus évoluées de notre galaxie, les enseignements du professeur Eshed sont familiers, voire banals, à une condition importante : nous savons que Cochrane est un personnage fictif (né en 2013 ou 2030, Star Trek n'est pas un univers très organisé). Eshed ne fait peut-être pas une si bonne distinction entre la réalité et la fiction. Eshed, 87 ans, est titulaire d'une licence en ingénierie électronique du Technion, d'un master en recherche de performance et d'un doctorat en ingénierie aéronautique. En 1965, il a occupé des postes de recherche et de développement au sein de l'unité technologique de la division du renseignement de l'armée israélienne. En 1969, il a été envoyé par le service de renseignement militaire des FDI pour étudier en vue de l'obtention d'un doctorat en ingénierie aéronautique aux États-Unis. À son retour, il a été nommé chef du département de recherche et de développement du Corps des renseignements. Il a pris sa retraite avec le grade de lieutenant colonel. Après son service militaire, il a été employé comme professeur à l'Institut de recherche spatiale du Technion. En 1981, il a créé et est devenu le premier directeur du Challenge Program, une unité de l'Administration pour la recherche, le développement des armes et l'infrastructure technologique (Mapat) au sein du ministère de la défense, qui est responsable des projets de satellites. Il a pris sa retraite du ministère de la défense en octobre 2011, après avoir commandé le lancement de 20 satellites israéliens. Tout cela ne signifie pas qu'à 87 ans, le professeur Eshed ne peut pas enfiler une tenue hawaïenne et communiquer avec la base Alien dans les profondeurs de Mars. Son nouveau livre, The Universe Beyond the Horizon - conversations with Professor Haim Eshed, tel qu'enregistré par Hagar Yanai (publié par Yedioth Aharonoth), est disponible en version imprimée à seulement NIS 68.6, avec une version allégée pour un dérisoire NIS 48. Un cadeau idéal pour Chanukah. Credit photo : The Universe Beyond the Horizon – conversations with Professor Haim Eshed. / Courtesy of ybook.co.il Source : https://www.jewishpress.com/news/media/former-head-of-israels-space-program-the-aliens-asked-not-to-be-revealed-humanity-not-yet-ready/2020/12/05/ PAU HELLYER, l'interview fracassant, en français : https://www.theraneo.com/bonaly-video-1204.html?PHPSESSID=0hk8fq994rahifj4dic1pd5np7 IL EST A NOTER QUE BEAUCOUP DE JOURNAUX ont traité cette dernière information israélienne avec ironie!
- L’incident du lac Erié – 1988- cas historique
Extrait du livre de Richard Dolan – « UFOs and the National Security State – The Coverup Exposed – 1973-1991 » : Par Sylvain Matisse « Dans la soirée du 4 Mars 1988 près Eastland, Ohio, non loin de la frontière de la Pennsylvanie, Sheila Baker accompagnée de ses enfants conduisait le long de la rive du lac Érié, la famille rentrait à la maison. À 18h30, leur attention fut attirée par un objet lumineux de grande taille qui restait en suspension au dessus du lac. Il ressemblait presque à un dirigeable. De vives lumières sont apparues de chaque coté de l’objet qui a commencé à se balancer d’un coté à l’autre. La plus vive des lumières clignotait. Une fois à la maison Sheila a persuadé son mari Henry de l’accompagner avec les enfants à la plage. Debout sur le rivage du lac Erié ils ont tous vu l’objet d’apparence métallique de couleur grise. Il était absolument énorme. Henry dira plus tard « qu’il était plus grand qu’un terrain de football, évalué bras tendu. » Ils n’entendaient aucun bruit, cependant la glace du lac émettait des bruits de craquements peut-être dus à une onde de chaleur. Puis l’engin a commencé à se mouvoir lentement, de façon circulaire, au dessus d’une partie du lac en descendant à environ 400 m d’altitude. Se sentant nerveux ils sont rentrés pour observer l’objet de l’intérieur. Ils l’ont vu descendre, il y avait des lumières clignotantes rouges et bleues sur le bord de la surface du dessous. Cinq ou six lumières vives triangulaires de couleur jaune se sont détachées du bord. Elles ont oscillé autour de la masse principale et se sont élancées très rapidement en zigzaguant dans le ciel nocturne. Henry évalua que les petits objets devaient être un peu plus petit qu’un Cessna mono-place et « ont parcouru une étendue d’environ 75 km au dessus de la glace le temps d’un claquement de doigts. » Ils s’approchaient du rivage, faisaient des virages à angle droit et s’élançaient à grande vitesse, plusieurs fois dans la direction de la centrale nucléaire Perry, assez proche. Un voisin des Baker a assisté à tout cela, il a essayé de photographier l’objet mais n’a pas réussi. En réponse à plusieurs appels téléphoniques, les deux gardes-côtes James Powers et John Knaub se sont rendus sur la plage. A leur arrivée, les objets triangulaires s’approchaient d’eux si bien qu’ils ont éteint leurs phares. L’un d’eux fonçait droit sur eux puis a viré à l’est en montant, puis il est descendu se positionner à coté du vaisseau mère. La famille Baker de retour sur la plage, entendait les communications que les gardes-côtes échangeaient avec leur base à Détroit. Ils ont relevé ceci : « ..L’objet semble se poser sur le lac… D’autres objets lui tournent autour. Sachez que ces objets plus petits se déplacent à de très grandes vitesses. Il n’y a aucun bruit de moteur et ils sont très très bas. Ce ne sont pas des planètes. » Au même moment, à 23km de là en direction du sud-est, non loin de la centrale de Perry, Cindy Hale promenait son chien. Celui-ci s’est mis à gémir lorsqu’une lumière triangulaire planait au dessus d’elle. Le triangle a clignoté une séquence lumineuse de différentes couleurs, Cindy a répondu en allumant son briquet. Ça a duré 30 minutes, puis le triangle accéléra et fila sans un bruit. Tim Keck, un autre résident local, regardait les étoiles dans son télescope lorsqu’il a vu un objet lumineux triangulaire. Il avait heureusement son appareil photo à portée de main, un instamatic 110, bon marché, qu’il avait gagné lors d’un jeu. Il obtint une photo de l’objet avant que celui-ci disparaisse silencieusement au delà de l’horizon. Il réussit à capturer une moitié de l’objet avant sa disparition. En raison de la nature de son appareil une partie de l’objet apparut au delà du cadre ordinaire du négatif. Pendant ce temps, au bord du lac, le grand vaisseau était presque posé sur la glace. Henry Baker continuait à écouter Powers et Knaub qui décrivait à leur base : « Vous devez être informés que l’objet projette maintenant des lumières partout sur le lac et les lumières changent de couleur. » La glace craquait si bruyamment que Powers et Knaub devaient crier pour être entendus. Puis les triangles sont réapparus et sont entrés un par un dans le vaisseau-mère. La glace faisait de plus en plus de bruit et toutes les lumières s’éteignirent, la glace cessa de faire du bruit et tout devint silencieux. Trente minutes plus tard, il n’y avait plus trace de l’objet. Les témoins ont supposé qu’il était allé sous la surface. Dans la matinée du 5, on a retrouvé des morceaux de glace inhabituellement grands à l’endroit précis de la disparition de l’objet. Ce jour là, un représentant de la Garde-Côtière a déclaré à la famille Baker que l’armée et la NASA leur avait ordonné de ne pas enquêter plus avant et de ne pas apporter leur coupe-glace sur le lac pour examiner la glace. L’affaire était hors de leurs mains. Il a dit que toutes les informations seraient transférées à la base de Wright-Patterson et une installation à Detroit. Pour sa part Wright-Patterson a refusé de confirmer ou infirmer un quelconque intérêt dans cette affaire. La Garde côtière a rédigé un rapport d’incident le 5 Mars 1988, décrivant l’événement en détail. Le rapport indique qu’un grand objet avait atterri un quart de mile à l’est de la centrale nucléaire, et qu’il avait … « dispersé 3-5 petits objets volants qui tournaient autour de assez rapidement. Ces objets avaient des lumières rouges, vertes et jaunes qui clignotaient par intermittence. Ils avaient également la possibilité de s’arrêter et planer en plein vol.« Dans la nuit du 5 Mars, Sheila Baker a vu ce qu’elle croyait être le même OVNI, planant au-dessus du lac,mais à une altitude plus élevée que la veille. Les gardes-côtes sont arrivés trop tard et n’ont rien vu, ils ont contacté la tour de contrôle de l’aéroport de Willoughby, Ohio. L’opérateur leur a dit que « les deux lumières étaient Vénus et Jupiter, qui se trouvaient presque en alignement. » Quant aux feux clignotants, c’était « des gaz dans l’atmosphère« . Notons que Baker n’avait pas mentionné deux lumières brillantes, mais un objet de grande taille. Les gardes-côtes ont rapidement rédigé un rapport de suivi sur la rencontre initiale, afin d’en terminer avec le dossier. La série des événements fut entièrement discréditée dans le Cleveland Plain Dealer ainsi que dans d’autres journaux. Quelle que soit la cause de l’observation du 5 Mars, attribuer les événements du 4 Mars à Vénus et Jupiter va bien au-delà des limites de la crédibilité. Le MUFON, à son crédit, a continué à enquêter sur l’observation en plaçant une petite annonce à la recherche de témoins. Ce qui apporta des résultats puisque d’autres comme Cindy Hale et Tim Keck ont témoigné. Toutes ces personnes ont décrit l’activité Ovni de cette soirée entre 22h et 22h30. Tous les témoins ont décrit des triangles. Bruce Maccabee a analysé la photo qu’avait prise Keck en concluant que c’était bien l’image d’un objet non identifié. Des années plus tard, Sheila et Henry Baker ont maintenu la description de ce qu’ils avaient vu. Selon le chercheur ufologue Philip Imbrogno de nombreux témoins ont vu des objets triangulaires à proximité de la centrale nucléaire Indian Point dans l’Etat de New-York le 4 mars 1988, la même soirée que les évènements en Ohio. Il n’y a pas eu de suivi et on sait peu de choses sur ces observations. En raison de la qualité des témoins, de la preuve officielle documentée, de la preuve photographique et de la nature intrinsèque de l’événement, l’incident du lac Erié doit être considéré comme un des événements Ovnis les plus convaincants de l’histoire moderne. Toutes les preuves mènent à la conclusion qu’un objet énorme et manoeuvré avec intelligence est descendu sur la glace du lac Erié. Plusieurs triangles lumineux sont sortis de cet objet et se sont déplacés bien au delà de la capacité de n’importe quel avion connu. Ces triangles se sont intéressés à l’usine nucléaires voisine, ils ont interagi avec les témoins qui les ont observés. Les fonctionnaires de la Garde Côtière ont été convaincus de l’importance de la manifestation et les autorités supérieures leur ont demandé de ne pas poursuivre leur enquête. L’affaire a été débunkée avec succès par l’appareil de sécurité nationale et par les médias. » LIEN interview S.B : https://youtu.be/7BP1WI0kP4I Source : Diouf, pour Ovnis-USA http://ovnis-usa.com/2010/10/20/lincident-du-lac-erie-1988/ Le Lac Erié vu de l’Espace : http://www.cieletespacephotos.fr/main.php/v/Terre/AmeriqueNord/704-00210-03high.jpg.html disponible sur le blog : https://investigationsoanisetoceanographiee.com
- Quand un PHÉNOMÈNE MÉTÉOROLOGIQUE EST CONFONDU AVEC L'OVNI
MUFON.com Le satellite de la NOAA, passant à des milliers de kilomètres au-dessus du Michigan, a enregistré un phénomène météorologique d'apparence extraterrestre qui est souvent confondu avec les OVNI et leurs portails. Les météorologues appellent ce phénomène "fallstreak" ou "hole punch clouds", et ils sont souvent créés par des avions, selon un rapport du service d'information et de satellite de la NOAA du 23 novembre. Cependant, les mystérieux trous dans le ciel peuvent avoir une forme si parfaite que les gens alarmés au sol les signalent souvent comme des OVNI, selon Earthsky.org. La vidéo satellite partagée ci-dessous par la NOAA sur Facebook montre que le phénomène s'est produit au-dessus du Michigan le 20 novembre, en commençant par de petites entailles dans la couverture nuageuse puis en s'étendant à des trous géants dans le ciel. crédit Mark Price - Charlotte Observer Selon Une couche de nuages altocumulus est :.. composée de petites gouttelettes d'eau qui sont sous le point de congélation appelées "gouttelettes d'eau surfondues". Si des cristaux de glace peuvent se former dans la couche de gouttelettes surfondues, ils vont croître rapidement et rétrécir ou peut-être même évaporer complètement les gouttelettes. Des études, dont celle d'Andrew Heymsfield et de ses collaborateurs, ont montré que les avions traversant ces couches nuageuses peuvent déclencher la formation de cristaux de glace plus lourds, qui tombent sur la Terre et laissent ensuite un vide circulaire dans la couverture nuageuse. Ils ont conclu que les hélices et les ailes des avions provoquent la formation de ces cristaux de glace initiaux. Il existe des zones de basse pression locale le long des extrémités des ailes et des hélices qui permettent à l'air de se dilater et de se refroidir bien en dessous de la température initiale de la couche nuageuse, formant ainsi des cristaux de glace. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Nous avons décidé d'examiner les principaux aéroports du monde, en particulier ceux qui sont couverts de nuages bas et froids en hiver, et nous avons constaté que la fréquence d'occurrence de ce processus est en fait raisonnablement élevée, de l'ordre de trois à cinq pour cent. En hiver, elle est probablement deux à trois fois plus élevée, soit 10 à 15 %. Source https://earthsky.org/earth/andrew-heymsfield-on-hole-punch-clouds-made-by-jets La nature nous réserve bien des surprises...
- OFNI- OANI- Ces choses qui brisent les « Formules un des mers ! »
Par Sylvain Matisse L’actualité des accidents du Vendée Globe pour cette année 2020, me permet de vous rédiger cet article concernant les OFNI ( Objets Flottants Non-Identifiés) ou ces choses inconnues qui heurtent ou se font heurtées par les skipper. Focus sur les courses populaires à la voile qui ont enregistré de la casse lors de ces compétitions en mer mettant en cause un objet inconnu. Précisions : Les OFNI ( Objets Flottants Non-Identifiés) , sont pour la plupart d’entre eux des débris flottants de plus en plus nombreux, jetés dans la mer par des gens sans scrupules qui prennent les mers et les océans pour des poubelles! La mer et les courants marins emportent parfois loin au large ces ordures et outre la pollution engendrée dans ce milieu , il peut arriver des accidents. Ainsi, des bateaux peuvent heurter ces débris qui occasionneront des dégâts plus ou moins graves sur les embarcations. Ceci dans notre monde actuel est un véritable fléau ! Ceci étant une réalité, il existe cependant d’autres alternatives. Les fonds marins peu profonds possèdent des récifs qui peuvent fendre un navire en deux au même titre que dans les régions polaires des iceberg sont tout aussi dangereux. Ensuite, il y a des éléments aléatoires et plus ou moins hypothétiques. Parmi ces choses il y a la possibilité de heurter des mammifères marins et peut-être des «monstres « dont l’existence n’est pas encore admise par toute la communauté scientifique,à tort selon moi . Et enfin, il y a ces fameux OANI ( Observations Aquatiques Non -Identifiées) qui parfois ne sont « que des sons», mais parfois des structures étranges et d’autres fois des espèces qui semblent surgir de nulle -part et dont l’effet de surprise échappe à tout recensement et de ce fait à toute étude et analyse ! Le but de cet article n’est pas de s’égarer en conjectures plus ou moins censées mais de se pencher sur les faits et la réalité et d’explorer toutes les pistes allant de la plus crédible à l’impensable. Bien évidemment il n’y a pas que les skipper de ces courses qui subissent ce genre d’incidents mais aussi les autres professionnels qui exercent les métiers à bord de navires ou de sous-marins, et les plaisanciers .Ici listons quelques accidents lors des compétitions à la voile de renommé internationale. Voici quelques cas d’incidents: 2016 : Le 20 novembre ,Vincent Riou, sur PRB, est victime d'une collision avec un OFNI. N'ayant pas constaté de dégâts, il poursuit sa route. Le, il découvre que la rotule en plastique liant la quille au bateau est cassée. L'axe de quille frotte contre le support de la rotule. Le 24 novembre,Morgan Lagravière, sur Safran II, est victime d'une collision avec un OFNI. Le bateau «part au tas». Le navigateur réussit à le redresser. Il découvre que son gouvernail est cassé, ce qui le contraint à l'abandon. Le 5 décembre, Famille Mary - Étamine du Lys heurte un OFNI à 470 milles au sud du Cap. Le matin du 06 décembre, à 120 milles au nord-est des îles Crozet ( Sud-Ouest de l’océan Indien intégralement situé sur la plaque antarctique) . Le Bastide-Otio de Kito de Pavant heurte un OFNI, qui rompt la quille et endommage la coque. Une voie d’eau importante se déclare. La quille pend sous le bateau, simplement tenue par son vérin. Son puits est arraché. Dans 40nœuds( 74,08 km/h) de vent et des creux de 5 à 6 mètres, le bateau est arrêté. Pavant demande assistance. Dans mon deuxième livre ouvrage intitulé: OANI Compléments d'investigation Je mentionne deux cas dont celui du skipper Thomas Ruyant qui a connu une mésaventure en décembre 2016 à bord de son monocoque «Le souffle du Nord»,pour le projet imagine, alors qu’il se trouvait au large de la Nouvelle-Zélande, son bateau est entré en collision avec quelque chose qui n’a pas pu être identifié, ce qui a mis un terme prématuré à cette course du Vendée Globe pour ce skipper puisque son bateau a été ouvert en deux ! Voici l’autre autre cas: Sur l’océan indien le skipper italien Gaetano Mura à bord de son bateau « Class 40», a percuté un objet inconnu qui a endommagé la coque, aux alentours de Madagascar la nuit du 09 au 10 décembre. 2017: Le 02 janvier, La Fabrique d'Alan Roura heurte un OFNI. Le safran tribord est arraché. Une importante voie d’eau se déclare à l’arrière. Très vite, il y a 50 centimètres d'eau dans la cellule de vie. Roura met son bateau à la cape, couché. Dans des vents de plus de 40 nœuds (74 km/h) , dans des creux de quelque six mètres, attaché, suspendu à l'arrière du bateau, Roura réussit, après une demi-heure d'efforts, à encastrer le safran de secours dans son logement. Il remonte son système de barre. Revue de Presse -résumés: Brest Atlantiques. Sodebo Ultim a perdu l’arrière de son flotteur tribord ! Publié le 1911/2019: Crédit - OUEST FRANCE : Après la collision avec un OFNI qui avait cassé le safran tribord, Sodebo Ultim 3, de Thomas Coville et Jean-Luc Nélias, a fini par perdre l’arrière du flotteur du trimaran géant. Le gréement est assuré, l’équipe assure que cela n’entrave pas leur progression vers l’Afrique du Sud, où l’escale technique s’organise pour accueillir le bateau blessé sous 48 heures, jeudi. Suite au choc d’hier qui a conduit à la perte du safran, le flotteur fissuré s’est désolidarisé du bateau en fin de journée. Après de nouvelles investigations de Thomas et Jean-Luc, la cassure semble nette . Après le Hugo Boss d’Alex Thomson pendant la Transat Jacques Vabre, trois des quatre Ultim de Brest Atlantiques ont été contraints à des escales forcées suite à des collisions avec des objets en mer (OFNI, pour objet flottant non identifié). « Je ne crois pas qu’il y ait de plus en plus d’OFNI dans l’eau mais sur la Golden Globe Race, quand vous en percutez un à 5 ou 6 nœuds, ça ne fait rien. Sur un Ultim à 40 nœuds, ça fait quelque chose ! » explique Jean-Luc Van Den Heede qui partage volontiers l’abattement probable de Thomas Coville après la casse par un OFNI de son safran durant la nuit du 17 au 18 novembre, dans l’Atlantique Sud. 2020 : 02-12-2020 Tweet de ARKEA PAPREC Sébastien Simon | Skipper ARKEA PAPREC @SebastienSimon_ ARKEA PAPREC heurte un OFNI Ce matin à 9h20 HF, ARKEA PAPREC a heurté un OFNI. Ce choc a entraîné des dégâts importants sur le foil tribord. La situation est prise en main par le skipper et son équipe à terre. Sébastien n’est pas blessé. Vendée Globe 2020 : Sébastien Simon a heurté un OFNI, son foil tribord lourdement endommagé : Il était 9h20 mercredi matin lorsque le bateau de Sébastien Simon a heurté en OFNI, occasionnant des dégâts importants sur le foil tribord de son Imoca Arkea Paprec. Crédit : France 3 pays de la Loire Le skipper naviguait alors "bâbord amure à 17,6 nœuds de vitesse instantanée au classement de 9h00 HF dans une vingtaine de nœuds d’ouest et une mer formée avec des creux de 3 à 4 mètres". Mercredi la skippeuse britannique Samantha Davies (Initiatives-Cœur) a été contrainte de mettre sa course entre parenthèses à la suite d’un incident avec un objet flottant non identifié (ofni) sur le Vendée Globe. Le choc a été violent. Elle dira : « J’ai volé, tout le bateau a volé ».Crédit ouest France. Publié le 23 juin 2020 par Ouest France : Dans un communiqué envoyé mardi 23 juin, Michel de Franssu du chantier Black Pepper Yachts explique la décision du team : « Dans le courant du week-end dernier, Armel Tripon à la barre de l’Imoca L’Occitane en Provence a heurté un objet flottant alors qu’il effectuait dans l’Ouest de la Bretagne son parcours de qualification pour la course Vendée – Arctique – Les Sables-d'Olonne dont le départ est prévu dans 10 jours, le 4 juillet prochain. VENDÉE GLOBE. Le PRB de Kevin Escoffier heurte un OFNI dans le golfe de Gascogne. Crédit : ouest-france.fr Animal ? Débris flottant ? Kevin Escoffier à 45 jours du départ du Vendée Globe : dans la nuit du mercredi 23 au jeudi 24 septembre2020, son monocoque à foils PRB a heurté un OFNI (objet flottant non identifié) La collision a eu lieu vers 1h30 du matin dans le golfe de Gascogne. Kevin Escoffier était parti chercher du vent soutenu... et l’avait trouvé puisqu’il y avait environ 30 nœuds de vent ( 55,56 km/h), quand la collision avec cet objet flottant non identifié s’est produite. Impossible de savoir s’il s’agissait d’un débris flottant, d’un animal ou autre. PRB naviguait alors au portant. La collision a fait deux blessés légers : les deux équipiers de Kevin Escoffier qui, lui, est sorti indemne du choc. Les trois marins ont regagné Concarneau par leurs propres moyens. Une inspection du bateau a eu lieu après cet accident. Retrouvez ces articles complets dont la source indiquée mentionne le média Ouest -France, en cliquant sur de lien https://voilesetvoiliers.ouest-france.fr/ Les avaries au large sont nombreuses, il en existe de toutes sortes, bateaux qui chavirent lors d’une tempête , feux déclenchés à bord, attaque de pirates, manœuvres accidentelles ou conflits militaires, etc, sans oublier les collisions de tout genre, dont parmi elles figurent des accidents inexpliqués, car nous ne savons pas ce qui a pu heurté un navire. Ceci est-il à chaque fois un débris, un animal ? Ou bien est-ce quelque chose d’autre, dont nous ignorons encore l’existence et qui est probablement caché quelque-part dans les fonds marins ? OFNI ou OANI, les deux sont une réalité ! Matisse sylvain MUFON FRANCE et Territoires Ultra-Marins le 05/12/2020 . Supports utilisés pour cet article : France 3 pays de la Loire Média Ouest-France Wikipédia OANI Compléments d’investigation ( auteur Matisse sylvain-éditions Saint Martin-ISBN 978-2-37849-028-7 publié le 18-11-2019.) ARKEA PAPREC Crédit photo : Photo by Daniel Kuruvilla
- nombres d'observations déposées pour enquêtes au mois de novembre
Rapport statistique mensuel MUFON - pour novembre 2020 En novembre, un total de 428 observations d'OVNI ont été signalées au MUFON, et ce dans le monde entier. Une répartition par pays est présentée ci-dessous. Vous pouvez également voir le nombre de signalements par forme. Ces dossiers sont enquêtés un à un par les enquêteurs du MUFON Le nombre de cas en France de 6, est le résultat des réouvertures de dossiers dont nous avons jugés qu'il s'agissait-là de cas d'intérêts. UNITED STATES 322 CANADA 34 UNITED KINGDOM 18 POLAND 13 BRAZIL 7 FRANCE 6 AUSTRALIA 4 SOUTH AFRICA 3 NEW ZEALAND 2 GERMANY 2 INDONESIA 2 BAHAMAS 2 NETHERLANDS 1 INDIA 1 IRELAND 1 THAILAND 1 CZECH REPUBLIC 1 MEXICO 1 VIRGIN ISLANDS, U.S. 1 UNITED ARAB EMIRATES 1 ITALY 1 VENEZUELA 1 PORTUGAL 1 TANZANIA 1 SWITZERLAND 1 TOTAL: 428 Forme des objets (rapportés au MUFON) pour la même période Circle 80 Sphere 48 Unknown 34 Triangle 34 Other 31 Star-like 27 Oval 24 Disc 21 Cigar 18 Square/Rectangular 14 Cylinder 10 N/A 9 Boomerang 8 Fireball 7 Tic Tac 7 Egg 6 Saturn-like 5 Flash 4 Chevron 3 Cone 2 Bullet/Missile 2 Diamond 2 Teardrop 1 Cross 1 Blimp 1 https://youtu.be/l5Cgf_CsQB0
- bonjour la Belgique
MUFON Belgique renaît pour notre plus grande satisfaction. Nos amis Belges peuvent désormais déposer leur observation et/ou leur expérience ufologique dans la base de données du MUFON (lien ci-dessous). Historiquement, la Belgique est associée à la très célèbre vague Belge de 1989 à 1991. et pourtant...depuis ce temps, beaucoup de choses, s'y sont passées. Dans la base de données du MUFON, plusieurs observations intéressantes ont été rapportées par des témoins, mais le manque d'une structure solide a empêché de dévoiler ces observations. C'est ce que je vais tenter de faire, nouvellement nommée directrice de MUFON Belgique par intérim, je m'engage à former des enquêteurs de terrain et a reprendre des enquêtes déposées au MUFON Belge. Dans l'attente d'une structure 100% MUFON Belge, MUFON France soutiendra la Belgique l’hébergeant sur son site. MUFON France soutiendra le temps nécessaire cette nouvelle alliée dans la recherche sur le phénomène OVNI . Janny Charrueau Veuillez nous excuser de traduire en Neerlandais et non en flamand le texte ci-dessous MUFON Belgium is tot onze grootste voldoening herboren. Onze Belgische vrienden kunnen vanaf nu hun observatie en/of ufologische ervaring in de MUFON-databank deponeren (link hieronder). Historisch gezien wordt België geassocieerd met de zeer beroemde Belgische golf van 1989 tot 1991 en toch... sinds die tijd zijn er veel dingen gebeurd. In de MUFON-database zijn verschillende interessante waarnemingen gerapporteerd door getuigen, maar het ontbreken van een solide structuur verhinderde het onthullen van deze waarnemingen. Dit is wat ik ga proberen te doen, nieuw benoemd tot waarnemend directeur van MUFON België, ik heb me ertoe verbonden om veldonderzoekers op te leiden en om onderzoeken die bij het Belgische MUFON zijn ingediend over te nemen. In afwachting van een 100% Belgische MUFON-structuur zal MUFON France België ondersteunen bij het hosten van de website. MUFON Frankrijk zal deze nieuwe bondgenoot ondersteunen in het onderzoek naar het UFO-fenomeen. Janny Charrueau Si vous désirez rejoindre MUFON Belgique / Als u zich bij MUFON België wilt aansluiten : https://www.mufonfrance.fr/devenir-enqu%C3%AAteur-de-terrain Pour rapporter une observation : Om een observatie te melden: https://www.mufoncms.com/public_report/
- scientifiques : Les signatures de vie extraterrestre
À la recherche de signes de vie sur des planètes lointaines, les astrobiologistes doivent décider quels gaz de biosignature révélateurs cibler. Blotti dans un café par un matin brumeux de Seattle il y a six ans, l'astrobiologiste Shawn Domagal-Goldman regardait fixement l'écran de son ordinateur portable, paralysé. Il avait exécuté une simulation d’une planète en évolution, quand soudainement l’oxygène a commencé à s’accumuler dans l’atmosphère de la planète virtuelle. Augmentation de la concentration cochée, de 0 à 5 à 10 pour cent. "Quelque chose ne va pas?" demanda sa femme. "Ouais." La montée de l'oxygène était une mauvaise nouvelle pour la recherche de la vie extraterrestre. Après des millénaires à se demander si nous sommes seuls dans l'univers - l'une des «questions les plus profondes et probablement les plus anciennes de l'humanité au-delà,« qu'allez-vous dîner? », Comme l'a dit l'astrobiologiste de la NASA Lynn Rothschild - la chasse à la vie sur d'autres planètes est maintenant en train de s'accélérer de manière sérieuse. Des milliers d'exoplanètes, ou planètes en orbite autour d'étoiles autres que le soleil, ont été découvertes au cours de la dernière décennie. Parmi eux se trouvent des super-Terres potentielles, des sous-Neptunes, des Jupiters chauds et des mondes tels que Kepler-452b, un «cousin de la Terre» éventuellement rocheux et aqueux situé à 1 400 années-lumière d'ici. À partir de 2018, avec le lancement prévu du télescope spatial James Webb de la NASA, les astronomes pourront observer les années-lumière et découvrir les atmosphères des exoplanètes les plus prometteuses. Ils rechercheront la présence de «gaz de biosignature», des vapeurs qui ne pourraient être produites que par la vie extraterrestre. Ils le feront en observant le mince anneau de lumière stellaire autour d'une exoplanète alors qu'elle est positionnée devant son étoile parente. Les gaz dans l'atmosphère de l'exoplanète absorberont certaines fréquences de la lumière des étoiles, laissant des creux révélateurs dans le spectre. Comme Domagal-Goldman, alors chercheur au Virtual Planetary Laboratory (VPL) de l’Université de Washington, le savait bien, l’étalon-or des gaz de biosignature est l’oxygène. Non seulement l'oxygène est produit en abondance par la flore terrestre - et donc, peut-être, par d'autres planètes - mais 50 ans de sagesse conventionnelle ont soutenu qu'il ne pouvait pas être produit à des niveaux détectables par la géologie ou la photochimie seule, ce qui en fait une signature infalsifiable de la vie. L'oxygène a rempli le ciel du monde simulé de Domagal-Goldman, non pas en raison de l'activité biologique là-bas, mais parce que le rayonnement solaire extrême enlevait les atomes d'oxygène des molécules de dioxyde de carbone dans l'air plus rapidement qu'ils ne pouvaient se recombiner. Cette biosignature pourrait être forgée après tout. La recherche de gaz de biosignature autour d'exoplanètes lointaines «est un problème intrinsèquement compliqué», a déclaré Victoria Meadows, une centrale australienne qui dirige le VPL. Dans les années qui ont suivi la découverte de Domagal-Goldman, Meadows a chargé son équipe de 75 personnes d’identifier les principaux «faux positifs d’oxygène» pouvant survenir sur les exoplanètes, ainsi que les moyens de distinguer ces fausses alarmes des véritables signes oxygénés de l’activité biologique. Meadows pense toujours que l'oxygène est le meilleur gaz de biosignature. Mais, a-t-elle dit, "si je vais chercher ceci, je veux m'assurer que quand je le vois, je sais ce que je vois." Pendant ce temps, Sara Seager, une chasseuse acharnée de «terres jumelles» au Massachusetts Institute of Technology, qui est largement reconnue pour avoir inventé la technique spectrale d'analyse des atmosphères d'exoplanètes, pousse la recherche sur les gaz de biosignature dans une direction différente. Seager reconnaît que l'oxygène est prometteur, mais elle exhorte la communauté astrobiologique à être moins terra-centrique dans sa vision du fonctionnement de la vie extraterrestre - à penser au-delà de la géochimie de la Terre et de l'air particulier que nous respirons. «À mon avis, nous ne voulons pas laisser une seule pierre non retournée; nous devons tout considérer », dit-elle. Alors que les futurs télescopes élargissent l’étude des mondes semblables à la Terre, ce n’est qu’une question de temps avant qu’un gaz de biosignature potentiel ne soit détecté dans un ciel lointain. Cela ressemblera à la découverte de tous les temps: preuve que nous ne sommes pas seuls. Mais comment le saurons-nous avec certitude? Victoria Meadows, astrobiologiste et chercheuse principale du Virtual Planetary Laboratory de l’Université de Washington. Les scientifiques doivent rapidement affiner leurs modèles et répondre aux mises en garde s'ils veulent sélectionner les meilleures exoplanètes à cibler avec le télescope James Webb. En raison des centaines d'heures qu'il faudra pour examiner le spectre de chaque atmosphère planétaire et des nombreuses demandes concurrentes de son temps, le télescope n'observera probablement qu'entre un et trois mondes terrestres dans les zones habitables de «Boucle d'or» des étoiles proches. En choisissant parmi une liste croissante d'exoplanètes connues, les scientifiques veulent éviter les circonstances planétaires dans lesquelles des faux positifs d'oxygène surviennent. «Nous envisageons peut-être de mettre nos œufs, sinon tous dans le même panier, du moins dans seulement quelques paniers», a déclaré Meadows, «il est donc important d'essayer de déterminer ce que nous devrions rechercher là-bas. Et en particulier, comment nous pourrions être trompés. Souffle de vie L'oxygène est considéré comme l'étalon-or depuis que le chimiste James Lovelock a envisagé pour la première fois les gaz de biosignature en 1965, alors qu'il travaillait pour la NASA sur des méthodes de détection de la vie sur Mars. Alors que Frank Drake et d'autres pionniers de l'astrobiologie cherchaient à détecter des signaux radio provenant de civilisations extraterrestres lointaines - un effort en cours appelé la recherche d'intelligence extraterrestre (SETI) - Lovelock a estimé que la présence de vie sur d'autres planètes pouvait être déduite en recherchant des gaz incompatibles dans leurs atmosphères. Si deux gaz qui réagissent l'un avec l'autre peuvent tous deux être détectés, alors une biochimie vivante doit continuellement reconstituer les réserves atmosphériques de la planète. Dans le cas de la Terre, bien qu’elle réagisse facilement avec les hydrocarbures et les minéraux dans l’air et le sol pour produire de l’eau et du dioxyde de carbone, l’oxygène diatomique (O2) constitue en permanence 21% de l’atmosphère. L’oxygène persiste car il est déversé dans le ciel par les photosynthétiseurs de la Terre - plantes, algues et cyanobactéries. Ils sollicitent la lumière du soleil pour enlever les atomes d'hydrogène des molécules d'eau, construisant des glucides et libérant le sous-produit de l'oxygène sous forme de déchets. Si la photosynthèse cessait, l'oxygène existant dans le ciel réagirait avec les éléments de la croûte et tomberait à l'état de traces dans 10 millions d'années. Finalement, la Terre ressemblerait à Mars, avec son air rempli de dioxyde de carbone et sa surface rouillée et oxydée - preuve, selon Lovelock, que la planète rouge n'abrite pas actuellement de vie. Mais si l'oxygène est une marque de la vie sur Terre, pourquoi cela devrait-il être vrai ailleurs? Meadows soutient que la photosynthèse offre un avantage évolutif si clair qu'elle est susceptible de se généraliser dans n'importe quelle biosphère. La photosynthèse met la plus grande source d'énergie sur toute planète, son soleil, à travailler sur le lieu le plus courant des matières premières planétaires: l'eau et le dioxyde de carbone. "Si vous voulez avoir le métabolisme, vous allez essayer de faire évoluer quelque chose qui vous permettra d'utiliser la lumière du soleil, car c'est là que ça se passe", a déclaré Meadows. L'oxygène diatomique possède également de fortes bandes d'absorption dans le visible et le proche infrarouge - la plage de sensibilité exacte du télescope James Webb de 8 milliards de dollars et du télescope de levé infrarouge à champ large (WFIRST), une mission prévue pour les années 2020. Avec tant d'espoirs imminents sur l'oxygène, Meadows est déterminé à savoir «où les pièges sont susceptibles d'être». Jusqu'à présent, son équipe a identifié trois mécanismes non biologiques majeurs qui peuvent inonder une atmosphère d'oxygène, produisant des faux positifs à vie. Sur les planètes qui se sont formées autour de petites et jeunes étoiles naines M, par exemple, une lumière ultraviolette intense peut dans certains cas faire bouillir les océans de la planète, créant une atmosphère épaisse de vapeur d’eau. À haute altitude, comme l'ont rapporté les scientifiques de VPL dans la revue Astrobiology l'année dernière, un rayonnement UV intense éclate les atomes d'hydrogène légers. Ces atomes s’échappent ensuite dans l’espace, laissant derrière eux un voile d’oxygène des milliers de fois plus dense que l’atmosphère terrestre. Parce que la petite taille des étoiles M-naines facilite la détection de planètes rocheuses beaucoup plus petites passant devant elles, elles sont les cibles prévues pour le Transiting Exoplanet Survey Satellite (TESS) de la NASA, une mission de recherche de planètes qui doit être lancée l'année prochaine. Les planètes terrestres qui seront étudiées par le télescope James Webb seront sélectionnées parmi les découvertes de TESS. Avec ces candidats en route, les astrobiologistes doivent apprendre à faire la distinction entre les photosynthétiseurs extraterrestres et le bouillonnement des océans. Dans un travail actuellement en préparation pour publication, Meadows et son équipe montrent qu'une bande d'absorption spectrale du tétraoxygène (O4) se forme de manière lâche lorsque les molécules d'O2 entrent en collision. Plus l'O2 est dense dans une atmosphère, plus les collisions moléculaires se produisent et plus le signal tétraoxygène devient fort. «Nous pouvons chercher le [O4] pour nous donner le signe révélateur que nous ne regardons pas seulement une atmosphère à 1 bar avec 20% d'oxygène» - une atmosphère terrestre évoquant la photosynthèse - a expliqué Meadows, «nous regardons quelque chose qui contient juste d'énormes quantités d'oxygène. Un signal fort de monoxyde de carbone identifiera le faux positif que Domagal-Goldman a rencontré pour la première fois ce matin brumeux de 2010. Maintenant chercheur au Goddard Space Flight Center de la NASA à Greenbelt, Maryland, il dit ne pas s'inquiéter pour le long terme de l'oxygène. perspectives en tant que gaz de biosignature fiable. Les faux positifs à l'oxygène ne se produisent que dans de rares cas, a-t-il déclaré, «et la planète qui a ces certains cas va également avoir des propriétés d'observation que nous devrions être en mesure de détecter, tant que nous y pensons à l'avance, ce que nous fais en ce moment. Lui et d'autres astrobiologistes sont également conscients, cependant, des faux négatifs de l'oxygène - des planètes qui abritent la vie mais n'ont pas d'oxygène détectable dans leurs atmosphères. Les faux positifs et les faux négatifs ont aidé à convaincre Sara Seager de la nécessité de penser au-delà de l'oxygène et d'explorer des biosignatures plus originales. Encyclopédie des gaz Si les diverses découvertes d’exoplanètes de la dernière décennie nous ont appris quelque chose, c’est que les tailles, les compositions et les chimies des planètes varient considérablement. En traitant l'oxygène comme le gaz de biosignature ultime, selon Seager, nous pourrions manquer quelque chose. Et avec un rêve personnel de découvrir des signes de vie extraterrestre, le joueur de 44 ans ne peut pas le supporter. Même sur Terre, souligne Seager, les photosynthétiseurs pompaient de l’oxygène pendant des centaines de millions d’années avant que le processus ne submerge les puits d’oxygène de la Terre et que l’oxygène ne commence à s’accumuler dans le ciel, il y a 2,4 milliards d’années. Jusqu'à il y a environ 600 millions d'années, à en juger de loin par ses seuls niveaux d'oxygène, la Terre aurait pu sembler sans vie. Meadows et ses collaborateurs ont étudié des alternatives à la photosynthèse oxygénée. Mais Seager, avec William Bains et Janusz Petkowski, défendent ce qu'ils appellent l'approche «toutes molécules». Ils compilent une base de données exhaustive de molécules - 14 000 à ce jour - qui pourraient vraisemblablement exister sous forme de gaz. Sur Terre, plusieurs de ces molécules sont émises à l'état de traces par des créatures exotiques blotties dans les évents océaniques et dans d'autres milieux extrêmes; ils ne s’accumulent pas dans l’atmosphère. Les gaz pourraient cependant s'accumuler dans d'autres contextes planétaires. Sur les planètes riches en méthane, comme les chercheurs l'avaient soutenu en 2014, les photosynthétiseurs pourraient récolter du carbone à partir du méthane (CH4) plutôt que du CO2 et cracher de l'hydrogène plutôt que de l'oxygène, conduisant à une abondance d'ammoniac. «Le but ultime et à long terme est [de] regarder un autre monde et de faire des suppositions éclairées sur ce que la vie pourrait produire sur ce monde», a déclaré Bains, qui partage son temps entre le MIT et Rufus Scientific au Royaume-Uni. Domagal-Goldman convient qu'il est important de réfléchir à la fois profondément à l'oxygène et à toutes les autres possibilités biochimiques. «Parce que toutes ces surprises se sont produites dans nos détections des masses, des rayons et des propriétés orbitales de ces autres mondes», a-t-il dit, «[les astronomes] vont continuer à pousser les gens comme moi qui viennent d'un milieu des sciences de la Terre, en disant , "Pensons plus loin en dehors des sentiers battus." C'est une pression saine et nécessaire. " Meadows remet cependant en question le caractère pratique de l'approche toutes molécules. Dans un e-mail de 3 000 mots critiquant les idées de Seager, elle a écrit: «Après avoir créé cette base de données exhaustive, comment identifier les molécules les plus susceptibles d’être produites par la vie? Et comment identifiez-vous leurs faux positifs? » Elle a conclu: «Vous devrez toujours être guidé par la vie sur Terre, et par notre compréhension des environnements planétaires et de la manière dont la vie interagit avec ces environnements.» En réfléchissant à ce que pourrait être la vie, il est extrêmement difficile d’échapper au seul point de données dont nous disposons - pour le moment... Sara Seager, astrophysicienne et planétologue au Massachusetts Institute of Technology. L'équation de Drake Lors d'un symposium en 2013, Seager a présenté une version révisée de l'équation de Drake, la célèbre formule de 1961 de Frank Drake pour évaluer les chances de réussite du SETI. Alors que l’équation de Drake a multiplié une série de facteurs pour la plupart inconnus pour estimer le nombre de civilisations de radiodiffusion dans la galaxie, l’équation de Seager estime le nombre de planètes avec des gaz de biosignature détectables. Avec la capacité moderne de rechercher n'importe quelle vie, qu'elle soit intellectuellement capable de transmettre des messages dans l'espace, le calcul de nos chances de succès ne dépend plus d'incertitudes telles que la rareté de l'intelligence comme résultat évolutif ou la popularité galactique de la technologie radio. Cependant, l'une des plus grandes inconnues demeure: la probabilité que la vie survienne en premier lieu sur une planète rocheuse, aqueuse et atmosphérique comme la nôtre. L '«abiogenèse», comme on appelle l'événement mystérieux, semble s'être produite peu de temps après que la Terre ait accumulé de l'eau liquide, ce qui conduit certains à spéculer que la vie pourrait démarrer facilement, voire inévitablement, dans des conditions favorables. Mais si tel est le cas, l’abiogenèse n’aurait-elle pas dû se produire plusieurs fois dans l’histoire de la Terre, vieille de 4,5 milliards d’années, engendrant plusieurs lignées biochimiquement distinctes plutôt qu’une monoculture de la vie basée sur l’ADN? John Baross, un microbiologiste de l'Université de Washington qui étudie les origines de la vie, a expliqué que l'abiogenèse aurait bien pu se produire à plusieurs reprises, créant une ménagerie de codes génétiques, de structures et de métabolismes sur la Terre primitive. Mais l'échange de gènes et la sélection darwinienne auraient fusionné ces différents parvenus en une seule lignée, qui a depuis colonisé pratiquement tous les environnements sur Terre, empêchant de nouveaux arrivants de gagner du terrain. En bref, il est pratiquement impossible de dire si l’abiogenèse était un événement fortuit ou un événement courant - ici ou ailleurs dans l’univers. Prévu pour prendre la parole en dernier lors du symposium, Seager a donné un ton léger pour l'after party. «Je mets tout en notre faveur», a-t-elle déclaré, affirmant que la vie a 100% de chances d'apparaître sur des planètes semblables à la Terre et que la moitié de ces biosphères produiront des gaz de biosignature détectables - une autre incertitude dans son équation. L'analyse de ces chiffres extrêmement optimistes a donné la prédiction que deux signes de vie extraterrestre seraient trouvés dans la prochaine décennie. "Vous êtes censé rire", a déclaré Seager. Meadows, Seager et leurs collègues conviennent que les chances d'une telle détection cette décennie sont minces. Bien que les perspectives s'améliorent avec les missions futures, le télescope James Webb devrait être extrêmement chanceux pour choisir un gagnant lors de ses premières tentatives. Et même si l'une de ses planètes ciblées héberge la vie, les mesures spectrales sont facilement déjouées. En 2013, le télescope spatial Hubble a surveillé la lumière des étoiles traversant l'atmosphère d'une planète de taille moyenne appelée GJ 1214b, mais le spectre était plat, sans aucune empreinte chimique. Seager et ses collaborateurs ont rapporté dans Nature qu’une couche de nuages à haute altitude semblait avoir masqué le ciel de la planète
- lettre ouverte à messieurs les deux présidents
Avec l'aimable autorisation de Sylvain Matisse et de son blog Investigations UFO et Science (article de 2013) Préambule : Nous publions pour information la lettre que nous a fait parvenir hier matin un internaute ( Pascal François) par le biais de nos boîtes mail avec son accord. L’Administration d’Area51/ Investigations Ufoetscience s’abstiendra de tout commentaire, les propos mentionnés dans le document présenté relèvent de la seule responsabilité du rédacteur. A cette fin nous fermons les commentaires ainsi chacun gardera son opinion pour lui sur la question. Cordialement, Sylvain Lettre ouverte à Messieurs les deux Présidents Monsieur Le Président de la 3AF Michel Scheller Monsieur le Président de la Commission SIGMA-3AF Alain Boudier -en souvenir d'une autre lettre ouverte à un Président dit de la République Française écrite en 2008 et surtout en hommage à un homme Gilles Pinon, -en souvenir aussi de l'engagement d'hommes, courageux puisque militaires, du dit « rapport COMETA 1999 », abattus par des paroles de civils sur le champ de bataille des médias ceux dit « parisiens » pour qui le sujet est « tabou ». Messieurs les Deux Présidents, Ma lettre ouverte restera t'- elle, comme pour tous ces hommes avant moi, qui ont été crucifiés, vivants ou morts, sur l'autel du « phénomène ovnien », sans qu'une réponse d'aucune sorte ou effet y soit donnée ou apportée ? Qui le sait ? Alors je prends mon courage à deux mains et vous porte cette lettre, une pour chacun des deux présidents que vous êtes (au cas ou une se perdrait), lisez-moi bien et même à deux ou à plusieurs si vous le souhaitez, et même autour d'un excellent whisky ! Lisez bien et même à plusieurs reprises si nécessaire. Je me permets de penser que cela vous concerne surtout vous, tous les deux . Car l'autre Président ne bougera pas beaucoup je le sais . Mais cela concerne aussi nombre de citoyens de ce pays. Lisons-la à trois ou plus et invitons même Jean-Gabriel Greslé que j'apprécie par ailleurs. Monsieur Boudier, votre récente interview en date du 18 juin 2013 sur la radio Ici et Maintenant m'a inspiré tout ceci , mais à d'autres qui sont très nombreux, de la déception et de l'amertume ce qui est compréhensible et vous avez rendu hommage pour leur patience : Merci en fait à Alexandre qui a été très bien interviewé... par vous-même. Il a été très clair et nous a tous – les passionnés du phénomène ovnien - vraiment bien représentés ! Pour ceux qui avaient en effet écouté sur youtube la vidéo mise en ligne de la conférence que vous aviez donnée le 24 avril 2013 aux repas ufologiques toulousains rien de neuf sous... la soucoupe ( petit clin d'oeil au "soleil" de Fatima et à Gilles Pinon qui de là haut doit être lui aussi un peu impatient !) . Pour "tout vous dire"... l''entretien avait à peu près le même plan que votre précédente conférence. Et entre nous ici, ce "secret", qui nous intéresse tant et réunit tant de français aujourd'hui, n'est plus qu'un "secret de polichinelle" ( Monsieur JG Greslé dans Nexus n°86 ) puisqu'il est bien connu de "plusieurs organisations civiles françaises" ( JG Greslé dans Nexus n°86) . Alors... on fait quoi ? Messieurs les... Deux Présidents ? Surtout en direction du grand public et des... politiques qui sont si peu informés ?! Pour rappel, le CNES quand même (!) avait organisé à Toulouse pour le grand-public, le 2 avril 2010, une exposition avec la mise en scène dans ses propres jardins du crash fictif d'une soucoupe volante, une première en France ! Cette exposition avait pour titre : "Extraterrestres : êtes-vous prêts à la rencontre?" Trois ans après, franchement, le sommes-nous vraiment un peu plus ? Et surtout quatorze années après COMETA ? Et surtout , en savons-nous un peu plus en 2013 qu'en 1999 ? L’objectif de cet espace d'exposition était de permettre aux visiteurs de se préparer à un hypothétique contact extraterrestre, en explorant trois grandes questions : sont-ils déjà venus ? Comment les contacter ? Serions-nous capables d’échanger ou de communiquer ? Cette exposition est devenue itinérante à partir de 2012. Pourquoi donc une telle insistance... j'ai ma petite idée, mais je ne peux pas, moi aussi, « tout dire ici », en effet je ne voudrai pas "en dire trop"... à tous ces présidents que vous êtes, vous Monsieur Scheller, dont j'admire cependant la posture et l'engagement, et vous Monsieur Boudier la "fidélité" au premier...même si je préférerai entre nous soit-dit... la fidélité à certaines promesses présentées publiquement le 31 mai 2010 mais non tenues fin 2012 ! A cause de quoi... de « conclusions audacieuses » ?! Deux présidents et nous tous ensemble en savons bien assez. Par exemple ça : « le phénomène n'est pas naturel » et ça :« Nous estimons devoir rejeter la thèse d'une origine terrestre de toutes les observations réalisées depuis la seconde guerre mondiale. » C'est SIGMA qui l'a dit publiquement ! Oui Messieurs les Deux Présidents, nous sommes très nombreux, mais combien exactement partout en France, discutant "dans le silence" et parfois nous aussi ... avec le verre à la main, cela dans le bruit de nos claviers d'ordinateurs placés eux par contre bien dans la lumière de nos écrans. Non, nous ne sommes pas vraiment dans... l'ombre , nous on y voit très bien sur ce sujet, c'est même très « transparent ». Oui Messieurs les Deux Présidents, nous sommes très nombreux à avoir ce "BESOIN DE SAVOIR" d'en savoir beaucoup plus et surtout actuellement ! Vous ne pouvez pas savoir ! Alors s'il vous plaît ne nous faîtes pas trop... attendre. Attention Monsieur le Président Scheller, Monsieur le Président Boudier, le test du "pouls" que vous avez évoqué sur la Radio Ici et Maintenant avec Alexandre (qui l'a lui par contre très bien senti je sais), ce pouls indiquant l'intérêt grandissant des personnes sur « la » question pour le "phénomène ovnien" pris dans sa globalité, est bien une réalité d'aujourd'hui . Il paraît même qu'il y aurait une urgence... Monsieur David Dennery, de la revue Nexus, qui a interviewé Jean-Gabriel Greslé, je le cite dans son introduction : « Le message est clair : il est urgent que les citoyens s'approprient les nombreuses problématiques recelées par cette véritable boîte de Pandore, au risque d'être les premiers à en pâtir. » Sachez-le bien Messieurs les Deux Présidents que ce « pouls », je l'ai moi aussi, avec beaucoup d'autres,"testé". Et je crois savoir - et j'en suis même excessivement certain - ne pas avoir entendu tout à fait la même chose que vous ça et là : plus qu'un simple « pouls » j'ai moi plus "capté un message", bien mieux et bien plus clairement d'ailleurs que le SETI. Ce dernier ressemble plus à un "battement"... qui semble disons-le s'accélérer voire même gronder (?). La preuve de ce réel « intérêt » des français ? Savez-vous Messieurs les Deux Présidents qu'ils étaient 1,2 millions à regarder le 1er mai dernier l'émission de W9, « Au cœur de l'étrange, spécial OVNI », diffusée de plus en « prime time » ? Après aussi la diffusion en deuxième partie de soirée sur France 4 le 13 janvier 2013 du docu-fiction « Alien Invasion », qui n'a d'ailleurs créé aucune panique ! On n'est plus en 1938 comme avec Orson Welles ! Or le scénario prévu par les USA, l'ONU et l'Angleterre... est très, très noir : 70% des gens ne survivront pas car pas prêts ! La preuve de cet intérêt grandissant chez les français ? C'est vous-même , Monsieur Boudier, qui l'avez apportée sur RIM en disant qu' à l'époque de l'ancien site de la 3AF où les documents relatifs aux travaux de la commission SIGMA-3AF que vous présidez étaient accessibles en ligne directement - c'est d'ailleurs comme cela que j'en ai eu moi-même connaissance - c'était "les documents les plus consultés du site de la 3AF" et, au minimum, cela permettait par exemple à la 3AF de gagner un nouveau lectorat ! Moi par exemple. Ce qui n'est plus le cas par contre actuellement, si je ne me trompe pas, avec le tout nouveau site de la 3AF... où les citoyens arrivent après un long « parcours » passant par "Groupes" puis "Commissions Techniques" puis "SIGMA" pour enfin arriver sur une page presque totalement... vide qui contient pour seul « message » (totalement erroné d'ailleurs !) : "Feuille de route : sera fournie ultérieurement". Or je pensais moi et tous les autres qu'elle avait pourtant bien été fournie dès... 2008 (!). Et qu'un rapport dit d'étape avait été rendu public en 2010 à Paris. Ceci me semble être un peu éloigné quand même du "totalement transparent", que vous avez évoqué Monsieur Boudier, justement à la fin de votre interview radiophonique. Mais depuis lors ça n'est pas de la « transparence » à laquelle on assiste sur ce site mais tout simplement à une véritable « dématérialisation » de documents (petit clin d'oeil ici à Jean-Charles Duboc, France 1994) qui étaient pourtant assez bien faits... et rapidement trouvables sur le net, (on les trouve cependant encore mais autrement). Moi aussi, sachez-le bien Monsieur Boudier, je ne peux pas "tout vous dire » (et je n'ai contrairement à vous aucun président au-dessus de moi dont je ne dépende car voyez-vous je suis un homme libre et encarté nulle part, mais je peux parfaitement comprendre par contre votre fidélité au vôtre). Et entre nous et pour vous en dire et même un petit peu plus, je reconnais cependant qu'il ne doit pas être très aisé de tester ce "pouls" du public, surtout d'une seule main pendant que l'autre tient soit une coupe d'un très bon champagne, soit le verre d'un très bon whisky, cela en très haute et bonne compagnie, faîtes quand même cependant bien attention à votre cœur (je veux rire bien sûr car nous rions ici ensemble et vous êtes des hommes raisonnables et respectables, comme moi). Mais moi, de mon côté, je me suis beaucoup occupé du mien mais ce n'est pas du tout, mais alors pas du tout celui auquel vous pouvez penser. J'ai, avec les membres d'un forum, eu l'idée d'agir en plein coeur d'une place dite du Capitole, à Toulouse ville dite Rose qui abrite une Cité de l'Espace et avec eux y ai fait atterrir symboliquement une... soucoupe volante faite de citoyens « éclairés » (et non « illuminés »). Tout cela parce que Monsieur Greslé y faisait le 26 juin dernier une conférence et aussi parce qu'en 1952 il était aux USA quand le Capitole de Washington fut survolé par des sphères lumineuses. La Voix du Midi s'en est fait l'écho... Au moins voyez-vous le « tabou » dans les médias parisiens que vous avez dénoncé à Toulouse le 24 avril dernier n'existe pas partout ! Pour rappel au sujet de « chaleur », Monsieur le président Boudier, vous vous êtes rendu très récemment le 2 mars dernier, aux Etats-Unis à Phoenix Arizona, pour le 22ème Congrés international Ufologique, puis avez déclaré, à Toulouse le 24 avril dernier que là-bas « c'était assez chaud »... mais avez-vous remarqué qu'en France, c'est à dire dans votre propre pays, c'était disons- le nettement plus... chaud ? Avez-vous remarqué les propos tenus par « votre ami de 20 ans » Jean-Gabriel Greslé, qui a été interwievé par la revue Nexus n°86 de mai-juin derniers ayant pour titre « Levée du secret ovni : que les citoyens et l'état prennent le relais »... Et il a aussi dit ceci dans cette même interview: « Il est anormal, dans un Etat de droit, que le législatif et les civils soient tenus à l'écart d'un problème aussi important que celui posé par des incursions inconnues au-dessus du territoire national. » Et là je me sens très concerné car je suis comme vous un « citoyen de France ». Il a donc tenu des propos qui concernent tous les français ! Je les partage pleinement, sachez bien que je suis loin d'être le seul. Ne soyons pas de grands naïfs Messieurs les Deux Présidents? L'Etat ! Et pourquoi pas... l'Eglise tant qu'on y est ? Quoique d'après ce qu'Auguste Meessen a déclaré dans le passé lors d'une interview au sujet d'un représentant du Vatican venu faire une conférence sur le phénomène ovnien à laquelle il participait : « pour une fois, l'Eglise est en avance... » ! Elle se prépare elle car elle , elle sait ! Et les citoyens eux qu'est-il vraiment prévu pour eux ? Messieurs les Deux Présidents, vous en êtes où vous deux ? Vous êtes bien des « civils » non et quels civils !? Qu'allez vous donc entreprendre... bientôt je l'espère et pas dans dix ans... ? Parce que moi, je vous l'affirme, j'en ai la preuve « sous le coude », j'ai construit tout seul ma pensée sur ce sujet du phénomène ovnien et ma pensée est désormais dite « pensée en acte ». Messieurs les Deux Présidents : Quand et comment comptez-vous faire quelque chose pour la levée de ce secret ovni ? Puisque c'est un membre de la commission que vous dirigez qui le demande dans une interview ! Ainsi je suis tout seul comme citoyen (qui ne croit plus aux pétitions mais à d'autres formes d'actions citoyennes, pédagogiques et artistiques... pour dédramatiser un peu ce sujet... car il serait grand temps de le faire non ? ) je suis seul à vous porter ma lettre ouverte alors que vous, vous êtes face à moi Deux Présidents... que pourriez vous donc bien faire ? Je crois que vous parlez l'anglais alors lisez au minimum bien ceci : « If the Congress won't do its job, the people will ». The Citizen Hearing On Disclosure. Et traduit cela en français et vous concernant vous deux présidents, ça donne : « Si la SIGMA-3AF ne fait pas son job le peuple le fera ». Mais je me permets de penser que vous aurez la volonté d'éclairer le peuple ou plutôt le public averti que l'on est par vos prochaines décisions ! Je garde un peu espoir puisque vous Monsieur Boudier avez déclaré à Toulouse que vous ne pensez pas que SIGMA2 restera « anonyme »... je pense que vous vouliez dire sera rendu public, donc publié. Mais si SIGMA 1 passe comme vous l'avez dit à Toulouse « de 1 à 10 en puissance » et que SIGMA 1 n'est pas publié SIGMA 2 franchement le sera t'-il dans un ou deux ans comme l'a dit Monsieur Greslé lors de sa conférence du 26 juin ? Je ne doute pas un seul instant Messieurs les Deux Présidents, que vous ne manquerez pas de me tenir bien sûr personnellement informé des suites que vous pourrez apporter, d'une manière ou d'une autre, à cette lettre ouverte. J'attends votre réponse (vous pouvez écrire à deux si vous préférez) avec une certaine forme... d'impatience, certes. Je ne doute pas non plus qu'à « Deux Présidents » tout soit plus facile à faire, en France. Votre devoir, Messieurs les Deux Présidents, quel est-il ? Informer du mieux possible les citoyens éclairés que nous sommes qui en ont plutôt assez d'être pris pour des « illuminés », ridiculisés et même infantilisés. D'autres suivront juste après, en laissant ceux qui ne veulent pas accepter cette réalité-là, ce qui est tout à fait leur droit et ce qui peut durer encore des dizaines d'années ou plus encore pour eux... puisque c'est d'ailleurs ce qui est justement prévu de faire dans le rapport dit « d'étape » de mai 2010. Pour en terminer, j'aime moi aussi beaucoup Neil Armstrong, comme vous deux je crois, vu la citation inscrite page 2 du rapport final SIGMA 1. Mais savez-vous que cette citation est au minimum à moitié fausse pire même un total mensonge ? Cela me dérange qu'elle soit mise en exergue sur un rapport dit... « sérieux »... vraiment ! Démonstration en annexe. Je me suis inspiré d'ailleurs de la plus belle déclaration qu'un homme ait pu faire en dehors de la Terre, sur la lune le 21 juillet 1969, souvenez-vous : « un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité » Alors moi j'ai décidé de lui emboîter volontiers le pas et je vous demande s'il vous plaît de faire juste ceci au sujet des travaux de la SIGMA-3AF et de leur diffusion bientôt dans le public : « un petit pas pour la lucidité, un grand pour la vérité .» Janet Armstrong après son divorce d'avec Neil, en 1991 a déclaré, mais est-ce bien vrai, (avec toute cette désinformation) : « la lune lui est monté à la tête ». Croyez-vous ( ou plus savez-vous ) par exemple que c'est à cause de ce que SIGMA 1 y a découvert ? Et qui justifierai du moins en partie SIGMA 2 ? Ces dites « anomalies de la lune » ? Est-ce que «le phénomène n'est pas naturel » là-bas aussi ? Monsieur Boudier vous avez dit sur la Radio Ici et Maintenant (radio selon vous « la plus professionnelle et remarquable ») le 18 juin dernier ceci : « la lune (…) ne serait pas aussi lisse qu'il n'y paraît... d'après certaines rumeurs ». Mais on le savait déjà qu'il y avait des reliefs sur la lune, des cratères, des pics... pourquoi parler de cela ? Y aurait-il donc... autre chose que cela ? D'autre part à la SIGMA-3AF rassurez-moi... on ne travaille pas avec des « rumeurs » j'espère, mais plutôt avec des documents sérieux et vérifiés ! Et avec toutes ces très nombreuses photos et vidéos de grande qualité dont aucune ne se retrouve dans le rapports SIGMA 1 de 200 pages ! Ah oui le poids des mots le choc des photos !? Monsieur le Président Boudier, vous avez aussi déclaré ceci à Toulouse : « les médias parisiens c'est tabou » et « les directeurs des publications ont reçu un ordre de ne pas aborder la question auprès des lecteurs ». Mais alors Messieurs les Deux Présidents depuis quand date cet « ordre » ? Serait-ce par exemple depuis le rapport COMETA publié en 1999 par VSD ? Messieurs les Deux Présidents puisque vous avez permis aux citoyens de s'approprier véritablement cette question au travers justement de cette commission SIGMA-3AF qui a mis certains éléments « sur la place publique » c'est bien qu'il y avait là une volonté : la vôtre. Je doute que cela ait été fait involontairement ou inconsciemment. Et maintenant que la boîte de Pandore a été ouverte il n'est plus possible de la refermer... vous le savez très bien comme nous tous. A moins de ne préférer vouloir conserver ce savoir, celui qui donne tant de pouvoir ? Je ne veux pas penser cela de vous. Pourquoi cela ? Je demande à Jean-Gabriel Greslé de vous répondre : « L'histoire est en route et le secret d'une présence étrangère dans l'environnement de la Terre ne pourra pas être maintenu beaucoup plus longtemps, à mon avis. C'est déjà un secret de Polichinelle dans (...) plusieurs instances civiles françaises ». (Nexus n°86) Quand sera t'-il partagé par tous ? Juste une petite et dernière question à vous Messieurs les Deux Présidents : et si les grands et prestigieux civils que vous êtes rejoigniez très prochainement les petits citoyens que nous sommes pourtant tous paraît-il à égalité, pour faire cette « levée du secret ovni», cela tous ensemble? Votre devoir : Rendre la France et les français plus... « lucides » retenez bien ce dernier mot. Ce sera mon « dernier mot. » Vous remerciant pour votre attention. Veuillez croire, Messieurs les Deux Présidents, à l'expression de ma plus haute considération. Un passionné (mot un peu faible) du phénomène ovnien. Le 3 juillet 2013, Pascal FRANCOIS PS : vous ne pouvez pas me connaître ni les uns ni les autres, car voyez-vous je me passionne sur ce sujet que depuis décembre 2012 et notamment à cause de ce qui avait pourtant bien fait « la Une » partout si, si... cette dite « fin du monde 2012 » à « Bugarach » chez nous dans un petit village français (!)... qu'est-ce que les médias ont dit sur le sujet, entouré pourtant qu'il était de paranormal et d'illuminés à qui les médias tendaient bien les micros ! Dites-donc ! Il y aurait pu y avoir plein de suicides ! Même si à SIGMA,d'après Monsieur Boudier... on n'a pas de « tendances suicidaires »... et chez les militaires qui supportent de plus en plus mal de porter seul ce secret il y en a des... suicides ? Combien par an ? ) Mais j'ai, je dois le reconnaître moi-même, accéléré un peu ces temps-ci (mais parti au début vraiment tout seul et très calmement vraiment) disons que j'ai fait ce « saut quantique », ce « saut gigantesque » dont vous avez évoqué la possibilité merci à vous ! Et le chemin que j'ai pris, car je suis quand même de nature un peu curieuse je dois vous l'avouer, m'a mené jusqu'à vous deux. Aujourd'hui je sais très bien pourquoi je suis en face de vous. Et je ne peux pas reculer. ANNEXE Neil Armstrong n'a pas dit toute la vérité (mais est-ce vraiment de sa faute ?) Lui qui disait ne pas mériter toute cette attention... pourquoi tant de culpabilité ? Car en effet dans un documentaire passé sur France 5 en mai 2007 intitulé « Appolo 11 mission lune » http://www.dailymotion.com/video/x6b2ox_extraits-appolo11missionlune_tech&start=332 On y parle beaucoup d'un « objet » et non d'un phénomène lumineux. Il était dit ceci par la voix-off faisant les commentaires : « près de 40 ans après des hommes célèbres de cette aventure racontent ce qu'il s'est réellement passé lors du 1er voyage sur la lune ... que les astronautes ont cru voir un ovni dans l'espace, événement gardé secret jusqu'à nos jours... Ce documentaire est le témoignage d' hommes qui ont vécu cet exploit...l'histoire inédite de la mission d'Apollo 11... Et : voix-off « 3 jours après le décollage...l'équipage exige des informations sur la position du S LV B soit le 3ème étage de Saturne 5... largué 2 jours plus tôt...(qui est en fait à... 11000 kms d'Appolo 11)...ce court message cache un événement extraordinaire, Apollo 11 n'est pas seul dans l'espace...» Buzz Aldrin dit : « c'était suffisamment prêt pour que nous puissions le voir »... voix off « un mystérieux objet avance aux côtés d'Apollo11... si l'objet n'appartient pas à la fusée d'Appolo 11 ça ne peut être qu'un ovni... » Buzz Aldrin : « Mike pensait pouvoir l'observer au télescope et il a réussi...objet...entouré de plusieurs élipses... ON voyait une forme de « L » ... » « … c 'était à l'évidence un objet volant non identifié.. ces incidents n'étaient pas rares... dans les histoires précédentes des vols en orbite terrestre plusieurs équipages avaient dit avoir observé de tels objets...malgré une vision claire de l'ovni l'équipage hésite à en informer la salle de contôle... » Buzz Aldrin : « quelqu'un aurait pu nous demander de faire demi-tour pour cause d'extraterrestres...NOUS avons donc décidé de ne pas leur dire...11000kms nous ne pensions pas que l'objet se situait aussi loin... après l'avoir bien observé on a décidé et de ne plus parler de cet incident...jusqu'à notre debrieffing sur terre ». « la Nasa a obtenu des équipages qu'ils s'engagent à ne jamais parler publiquement de ces évènements par crainte du ridicule » Ce « on » ce « nous » c'est qui ? Buzz Aldrin, Michaël Collins et... Neil Armstrong ! Cet ovni Armstrong ne l'a peut-être pas vu lui-même de ses propres yeux dans la capsule d'Apollo 11 – ce qui peut paraître être quand même étonnant ! - mais ils étaient tous forcement au courant qu'il y avait des « ovnis dans l'espace » et donc pas que sur terre ! Ils existent bien ils en ont bien observé au minimum un ! Armstrong n'a pas dit la vérité car respectant ses obligations (Nasa) de ne rien dire publiquement. Il a dit : « Personnellement je n'ai jamais vu d'ovnis, cela ne veut pas dire qu'ils n'existent pas » Or en l'absence de toute contrainte il aurait dit plutôt ceci : « Personnellement je n'ai jamais vu d'ovnis, mais ils existent on en a bien vu un lors de notre voyage vers la lune »
- Prenez-vous pour un enquêteur!
https://mufoncms.com/cgi-bin/report_handler.pl?req=latest_reports Les 20 derniers rapports déposés dans le cms sont consultables sur ce lien. ATTENTION, les rapports déposés ici n'ont pas encore été enquêtés, ils sont l'entière responsabilité de leurs auteurs et en aucun cas le MUFON ne peut être tenu responsable de canulars ou des méprises déposés dans la base données. Ces dossiers vont être enquêtés par des enquêteurs certifiés ! Mais en attendant à vous de jouer !
- Donald Trump : les ovnis à la rescousse ?
Paris Match 17 novembre 2020 Le MUFON relais uniquement l'article dont vous trouverez la source ci-joint Source : https://www.parismatch.com/recherche/recherche-globale?text=ovni Paris Match : Alors que Donald Trump peine à reconnaître sa défaite malgré quelques signes indiquant un changement de ton, des appels se multiplient pour que le président profite de la période de transition pour rendre public d’éventuels dossiers secrets sur les ovnis. Et si, en guise de baroud d’honneur, Donald Trump lâchait des ovnis sur le pays ? C’est du moins ce qu’attend, ou plutôt ce qu’espère, une partie de la communauté ufologique américaine, convaincue que l’administration détient depuis longtemps la vérité sur les objets volants non identifiés. Il s’agit d’un vieux serpent de mer qui refait régulièrement surface, en particulier lors de l’élection d’un nouveau président. L’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche avait d’ailleurs suscité une vague d’optimisme. L’anticonformisme et le mépris des règles affichés par le milliardaire allaient-ils ébranler l’omerta sur le dossier ovni ? La réponse est aujourd’hui assez claire : non. Lire aussi:Ovnis : le Pentagone va-t-il devoir livrer ses secrets ? Toutefois, estiment ces inlassables militants, la situation a changé. Selon eux, Trump, prêt à tout pour ne pas s’avouer battu, pourrait jeter un pavé dans la mare en déclassifiant des documents secrets sur les ovnis, une façon de reprendre la main en créant un choc dans l’opinion. «Trump est encore président des Etats-Unis pour deux mois. Il peut donc sortir toutes les informations qu’il souhaite via Twitter. Il a la loi avec lui pour révéler ce qu’il veut sur les ovnis, la Russie etc. C’est à sa discrétion» souligne le trumpiste Mike Cernovich, figure controversée de l’alt-right. De plus l’émergence du mouvement conspirationniste QAnon, postulant que Trump combat un vaste complot sataniste et pédophile, impliquant pèle-mêle médias, milieux financiers et personnalités démocrates, contribue à maintenir une atmosphère délétère et propice aux hypothèses les plus folles. Bien que les militants de QAnon et ceux de la divulgation des secrets ufologiques, moins marqués idéologiquement, ne soient pas les mêmes, les deux forment des groupes de pression à l’influence non négligeable. Et les messages appelant Trump à «tout déballer» se multiplient notamment sur Twitter. En revanche, l’élection de Joe Biden ne semble pas susciter un enthousiasme démesuré chez les passionnés d’ovnis. C’est pourtant dans le camp démocrate que l’on trouve l’un des plus hauts dirigeants à avoir appelé à une transparence totale sur ce dossier, John Podesta. Ancien conseiller de Clinton et d’Obama, ex directeur de campagne d’Hillary Clinton, il n’a jamais fait mystère de sa passion pour le sujet. Lire aussi: Le regret d'un conseiller d'Obama : "Je n’ai pas pu obtenir la divulgation du dossier OVNI" Mais, paradoxalement, ce politicien apprécié par tous les tenants de l’existence d’un complot gouvernemental sur les ovnis est aussi la bête noire des QAnon car son nom est au coeur du délirant pizzagate. Des mails de John Podesta, dévoilés par Wikileaks en 2016 et comportant des références à des pizzas ont été interprétés comme un langage codé destiné à masquer des pratiques pédophiles. Ces courriels ont largement nourri les thèses conspirationnistes des QAnon. Dans cet arrière-plan délirant où les complots des uns ne sont pas forcément ceux des autres, Trump pourrait-il être sensible aux appels à rendre public les dossiers ovnis ? Outre la condition sine qua non que ces dossiers existent, il est un autre obstacle à cette divulgation. Plusieurs fois interrogés sur la question des ovnis, le président américain a surtout démontré un désintérêt complet pour ce sujet…
- CONTACTS! Le mag' de MUFON France est arrivé!
Le magazine numérique de MUFON France et Territoires Ultramarins est arrivé. Pour recevoir votre PDF et apprécier le contenu de cette revue ufologique et de ses nouvelles, il vous suffit de vous enregistrer sur notre site. Les cartes d’adhérents sont elles aussi disponibles. Et, nous en profitons pour remercier nos supporters ! MERCI à vous tous pour votre soutien si gratifiant pour toute l'équipe. Retrouvez sur notre site les visages de vos enquêteurs. En attendant de recevoir votre carte d'adhérent officielle MUFON FRANCE continuez à visiter nos pages !
- Forfait lune !
Nokia selected by NASA to build first ever cellular network on the Moon 19 octobre 2020 Traduction du communiqué de Presse de NOKIA Nous tenons a préciser que le MUFON n'a aucun intérêt dans cette firme :-) Espoo, Finlande - Nokia a annoncé des détails supplémentaires après avoir été nommé par la NASA comme partenaire pour faire progresser les technologies du "point de basculement" pour la Lune, en déployant le premier système de communication LTE/4G dans l'espace et en contribuant à ouvrir la voie à une présence humaine durable sur la surface lunaire. Les innovations pionnières des Bell Labs de Nokia seront utilisées pour construire et déployer la première solution LTE de bout en bout ultra-compacte, à faible consommation d'énergie et durcie dans l'espace sur la surface lunaire à la fin de l'année 2022. Nokia s'associe à Intuitive Machines pour cette mission afin d'intégrer ce réseau révolutionnaire dans leur atterrisseur lunaire et de le livrer à la surface lunaire. Le réseau s'auto-configurera au moment du déploiement et établira le premier système de communication LTE sur la Lune. Le réseau fournira des capacités de communication essentielles pour de nombreuses applications de transmission de données, y compris des fonctions vitales de commande et de contrôle, la télécommande des rovers lunaires, la navigation en temps réel et la diffusion de vidéo haute définition. Ces applications de communication sont toutes vitales pour la présence humaine à long terme sur la surface lunaire. Le réseau LTE de Nokia - le précurseur de la 5G - est parfaitement adapté pour fournir une connectivité sans fil pour toute activité que les astronautes doivent effectuer, permettant des capacités de communication vocale et vidéo, l'échange de données télémétriques et biométriques, et le déploiement et le contrôle de charges utiles robotiques et de capteurs. Marcus Weldon, directeur de la technologie chez Nokia et président de Nokia Bell Labs, a déclaré "Tirant parti de notre riche et fructueuse histoire dans le domaine des technologies spatiales, depuis les premières communications par satellite jusqu'à la découverte du rayonnement de fond cosmique micro-ondes produit par le Big Bang, nous construisons actuellement le tout premier réseau de communication cellulaire sur la Lune. Des réseaux de communication fiables, résistants et de grande capacité seront essentiels pour soutenir une présence humaine durable sur la surface lunaire. En construisant la première solution de réseau sans fil haute performance sur la Lune, les Bell Labs de Nokia plantent une fois de plus le drapeau de l'innovation pionnière au-delà des limites conventionnelles". Le réseau lunaire de Nokia se compose d'une station de base LTE avec des fonctionnalités EPC (Evolved Packet Core) intégrées, d'équipements utilisateur LTE, d'antennes RF et d'un logiciel de contrôle d'exploitation et de maintenance (O&M) de haute fiabilité. La solution a été spécialement conçue pour résister aux conditions difficiles du lancement et de l'alunissage, et pour fonctionner dans les conditions extrêmes de l'espace. Le réseau cellulaire entièrement intégré répond aux contraintes très strictes de taille, de poids et de puissance des charges utiles spatiales dans un facteur de forme extrêmement compact. Les mêmes technologies LTE qui ont répondu aux besoins mondiaux en matière de données et de voix mobiles au cours de la dernière décennie sont bien adaptées pour fournir des capacités de connectivité et de communication de pointe et essentielles à toute future expédition spatiale. Le LTE est une technologie commerciale éprouvée, qui dispose d'un vaste écosystème de fournisseurs de technologies et de composants, et qui est déployée dans le monde entier. Les technologies de communication commerciales disponibles sur le marché, en particulier la technologie cellulaire de quatrième génération basée sur des normes (4G Long Term Evolution (LTE)), sont matures, éprouvées, fiables et robustes, facilement déployables et évolutives. Nokia prévoit de fournir des produits LTE commerciaux et de fournir la technologie permettant d'étendre la commercialisation de la LTE, et de poursuivre les applications spatiales de la technologie qui succède à la LTE, la 5G. Par le biais de l'appel d'offres "Tipping Point", la Direction des missions de technologie spatiale de la NASA recherche des technologies spatiales développées par l'industrie qui peuvent favoriser le développement de capacités spatiales commerciales et profiter aux futures missions de la NASA. Les partenariats public-privé établis dans le cadre des sélections du Point de basculement combinent les ressources de la NASA avec les contributions de l'industrie, ce qui permet de guider le développement de technologies spatiales essentielles. La NASA prévoit de tirer parti de ces innovations pour son programme Artemis, qui établira des opérations durables sur la Lune d'ici la fin de la décennie en vue d'une expédition vers Mars. Nokia développe et fournit des réseaux critiques adoptés pour les aéroports, les usines, les industriels, les premiers intervenants et les exploitations minières les plus difficiles sur Terre, pour l'automatisation, la collecte de données et des communications fiables. En déployant ses technologies dans les environnements les plus extrêmes, les Bell Labs de Nokia valideront les performances et le niveau de préparation technologique de la solution, et l'optimiseront encore pour les futures applications terrestres et spatiales.











