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  • Échanges de tirs militaires/aliens, Albion (plateau)?

    From : ERA, http://area51blog.wordpress.com/ Échanges de tirs entre militaires et Extraterrestres sur le site de lancement des missile nucléaires d’Albion en France ? A la suite de cet article, que je vous invite à lire afin d’appréhender la vidéo dans sa pleine mesure: https://eveilhomme.com/2019/01/14/une-base-extraterrestre-de-petits-gris-en-france-sous-le-plateau-dalbion/ Je vous propose cette vidéo extrêmement intéressante du témoignages de militaires qui ont été en poste sur le plateau d’Albion (base de lancement de missiles nucléaires en France avant démantèlement il y a une vingtaine d’année). Certains parlent d’abductions par des êtres petits gris et de chiens neutralisés par des ondes énergétiques. Mais le témoignages va bien plus loin encore puisqu’il relate le 20/21 Septembre 1980 un échange de tirs réels entre des intrus très surement extraterrestres et les militaires. Ces êtres se sont introduits dans ou à proximité des silos de lancement de missile nucléaire dans une zone sous haute sécurité à l’aide de 2 engins non identifiés de couleur rouge, et il s’en est suivi, après reconnaissance et tirs de sommation, un échange de tirs à balles réelles avec autorisation de feu du général de la base. Deux chiens et deux militaires ont été neutralisés par les aliens (par des armes à rayon selon le témoignage). Les deux chiens ont dû être euthanasiés, à la suite de leurs blessures. Les militaires ont battus ensuite en retraite. Dans ce cas, le témoin indique que des militaires « blacks ops » sont alors engagés dans ce type de situation. Les témoins ont été menacés de coure martiale s’ils parlaient. Le calculateur de commande de lancement des engins nucléaires a aussi été neutralisé selon ce témoignage. Une base Extraterrestre de petits GRIS en FRANCE sous le plateau d’Albion ? C’est après la crise de Suez en 1956 que la France décide de se doter de l’arme nucléaire. Le plateau d’Albion sera finalement choisi en avril 1965 en raison de sa faible densité humaine et de son sol, capable de permettre un bon ancrage des silos renfermant les missiles mais aussi capable d’amortir l’onde de choc en cas d’agression nucléaire. Au final seul 18 silos et 2 PCT seront construits. Cette base de lancement de missiles sol-sol balistiques stratégique (SSBS) est placée sous le commandement de la Force aérienne stratégique. Les travaux débutèrent au printemps 1966 pour se terminer en 1971. En 1967 est créé le 1er Groupement de missiles stratégiques (1er GMS) dépendant de l’armée de l’air française pour occuper les installations d’Albion. De nombreuses autres unités seront créées pour veiller à la sécurité du site dont l’Escadron d’hélicoptères 4/67 Durance en 1975 et l’Escadron de Protection en 1968 qui regroupe une section de commandement, un cynogroupe et 4 compagnies de parachutistes. De 1971 à 1996 la BA200 et les missiles du plateau d’Albion deviendront les endroits les plus secrets et les mieux gardés de France. Chaque silo qui a son propre abri, est distant de 3 km de son voisin; chaque missile, plus puissant que la bombe d’Hiroshima est surveillé nuit et jour et commandé à distance à partir de 2 Postes de Conduite de Tir construits à 400 m de profondeur. Chaque poste dirige 9 zones de lancement. Le PCT1, près de Rustrel est un vrai bunker qui peut résister à une attaque nucléaire; les galeries ont près de 2 km de long. En septembre 1996, le Président Jacques Chirac annonce la fermeture et le démantèlement des installations d’Albion. Fin 1996, le Ministère de la Défense annonce que plus de 1 000 légionnaires prendront le relais du 1er GMS sur la BA200. Les travaux de démantèlement durèrent 2 ans et se terminèrent en 1999. La passation de pouvoir au profit de la Légion étrangère a été réalisée durant l’été 1999. Une fois démantelées, les installations du plateau d’Albion ont été rendues à la nature. Les portes ont été verrouillées et soudées et les zones de lancement recouvertes par un mètre de terre. Aujourd’hui …Après la désactivation des missiles, la plupart des silos sont abandonnés. On observe le long des routes, entre champs de lavande fine et champs de blés, les postes de tir, les plate-formes, les frontons de béton de 2 m d’épaisseur, les clôtures « électrifiées », les grilles qui furent équipées de détecteurs, les filets anti-grenade, les portes et vitres blindées contre les tirs de roquette. On imagine sans peine, les gardes en arme et les portiques de détection. Un des silos a été transformé en observatoire astronomique public, (SIRENE). Avec la visite de l’observatoire, une approche de l’histoire militaire du plateau nous est contée. Le PCT1 de Rustrel a été transformé en laboratoire souterrain à bas bruit (LSBB), dépendant de l’Université de Nice. Il n’est pas ouvert au public La base aérienne 200 a été rebaptisé caserne Maréchal Koenig. Elle accueille près de 1 000 légionnaires. Des installations de l’armée de l’air seules restent la zone vie de la base, les longs bâtiments attenant la piste qui servent maintenant à stocker tout le matériel du génie civil et quelques bâtiments du DAMS (l’atelier de dépôt des munitions et des têtes nucléaires gérée par le CEA et l’Armée). Depuis octobre 2003 la zone Nord de la base accueille aussi une station d’écoute de la D.G.S.E. les services secret de l’armée avec ses antennes radio qui emploie 150 personnes sur site, dans le cadre du réseau “Frenchelon”, l’équivalent français du réseau de la NSA Echelon qui regroupe les Etats Unis, l’Angleterre, le Canada, l’Australie et la Nouvelle Zélande. La DGSE possède une trentaine de stations d’écoute et radars en France et dans le monde. 15 sont en France et dans les DOM-TOM. Le réseau Frenchelon est plus particulièrement chargé d’écouter les signaux radioélectriques ou satellitaires tandis qu’Echelon se contente d’intercepter le trafic Internet et téléphonique du monde entier grâce à une centaine de satellites en orbite autour de la terre. La première antenne de la DGSE (qui a l’époque s’appelle Sdece) est implantée en 1974 sur le plateau de Domme, dans le Périgord, à côté de l’aéroport de Sarlat. Mesurant 25 m de diamètre, elle est bientôt rejointe par quelques autres. Devant le développement du trafic des télecoms par satellites, la station devient vite sous équipée. D’autres vont voir le jour ailleurs en France et ailleurs. Ailleurs c’est en Guyane, près des installations du CSG, CNES en 1984. Placée au dessus de l’équateur, elle écoute les satellites géostationnaires qui sont justement au dessus et qui arrose les Amériques. Les années 1990 avec le conflit au Koweït dopera le déploiement des nouvelles stations, Alluets-le-Roi (Yvelines), Mayotte (pour couvrir l’Afrique, le Moyen Orient et l’Asie). La station d’écoute de la DGSE est située à la limite Nord de la base 200, en face de deux Zones de lancement de test de l’armée, dans la zone industrielle. La base du plateau d’Albion possède 7 paraboles motorisées dans la zone Nord du site couvrant l’ensemble du spectre radio utilisé par les satellites (2 à 20 GHz). Trois mats hauts de 25-30 m supportent des antennes du type “log-périodiques large bande” juste derrière les bâtiments administratif. Elles travaillent sur les bandes 1 à 30 MHz, probablement jusqu’à 60 Mhz. Sur le site de la DGSE, l’oeil expert remarque un nouveau système d’antenne. Un triangle de terre de 30 m de coté renferme des antennes en forme de pyramide inversées de petite taille espacées régulièrement au niveau des cotés du triangle de terre. Il s’agirait d’un système interférométrique et/ou goniométrique sur le même principe que le radar Grave de la ZL 2.6. Un système similaire existe dans la plaine de Crau à coté de Miramas, bien caché mais accessible sans clôture (sur la D5 entre Entressen et la N113 sur une ancienne piste d’aviation). Les antennes de la DGSE ne sont pas destinées à l’émission mais seulement à la réception. Il n’est toutefois pas exclus que certaines parabole puisse émettre vers les satellites utilisés par le ministère de la défense afin de réaliser des contacts avec les différents points “d’action” dans le monde. Il est même certains qu’ils peuvent utiliser le réseau militaire Syracuse. Avec les log-périodique il est possible d’émettre de toute façon même si elles ne sont utilisées que pour l’interception. Une utilisation possible serait d’émettre des ordres chiffrées a des agents infiltrés dans le monde qui écouteraient cela avec une simple récepteur onde courte. Ce serait audible par n’importe qui mais évidement incompréhensible sans la signification des codes. Que se passe-t-il sur le plateau d’Albion ? On évoque une base secrète d’extra-terrestres, une sorte de Zone 51 française ! Au début des années 1970, le plateau d’Albion n’était qu’un immense chantier taraudé par une vingtaine de fosses profondes destinées à devenir les futurs silos de missiles à têtes nucléaires. Outre ces silos, d’énormes excavations, plus profondes, allaient abriter les installations souterraines et secrètes de cette base, installations répliquant plus ou moins les installations de surface, mais avec un peu plus de mystère. Un soir, après l’arrêt des travaux de la journée, un vieux monsieur, instituteur à la retraite, se promenait à travers le chantier lorsqu’il tomba nez à nez avec un être de petite taille, à la tête volumineuse, à la peau grise, qui le fixa brièvement de ses grands yeux obliques avant de disparaître. Médusé, sans cacher la peur qu’il avait éprouvé, le retraité narra son histoire à une personne tout à fait digne de foi. Résultat d’une première source d’information. Dans la fin des années 1980 nous apprenons par une source très sûre que des commandos investissent la base en prenant le contrôle total de celle ci malgré les militaires déjà sur place. Ces hommes en uniformes noirs prennent leurs repas entre eux, utilisent des boites de rations alimentaires apportées par eux. Sur leur uniforme ils arborent au niveau du cœur un insigne rond figurant, un éclair stylisé et, sur l’épaule gauche, un écusson avec un triangle. Nos divers informateurs n’étaient pas suffisamment près de ces commandos pour avoir une exactitude des détails de ces insignes. Résultat d’une deuxième source d’information. Ces individus aperçus une nuit en réunion avaient tous le teint anormalement clair, blanchâtre, et l’expression quasi figée. D’après nos divers informateurs ces individus ne sortaient que la nuit et personne ne put les apercevoir de jour. Ces hommes étranges, rendaient terriblement anxieux les chiens de patrouille dans leur chenil. Quand ils investissaient la base (alors placée en stade d’alerte maximum) ces individus prenaient sous leur contrôle les postes de conduite de tir. L’accès à ces postes était, dans ces cas, prohibé, même à ceux qui, d’ordinaire, y sont librement admis. La salle des ordinateurs, ultra protégée, dans laquelle l’on ne pénètre qu’à l’aide de carte magnétique à code, était occupée la nuit par ces commandos. Les militaires de la base s’en étonnèrent mais reçurent ordre de ne pas en faire état. Les placards personnels des militaires furent fréquemment fouillés, des appareils photo confisqués. Il ne faisait pas bon non plus, de tenir un journal intime en consignant les incidents bizarres constatés sur le site, surtout lorsque ces commandos contrôlaient la base. Certains possesseurs de journal intime se retrouvèrent à l’hôpital, sauvagement tabassés. Ces commandos arrivaient dans des camions et des voitures peints tout en noir, la plupart immatriculés dans le 75. Ils repartaient au bout de 48 heures, sans préavis, et l’état major initial de la base reprenait alors les pleins pouvoirs, comme si de rien n’était. Voici maintenant la transcription d’une cassette audio du témoignage d’un ancien maître chien du plateau d’Albion (ce témoin après ce témoignage a complètement disparu…). Témoignage enregistré le 10 octobre 1990. Le témoin : “J’ai effectué mon service militaire en tant que maître chien sur le plateau d’Albion. J’ai été témoin de faits troublants durant mon séjour sur cette base. Je puis vous affirmer que de temps en temps des commandos totalement étrangers à la base prennent le contrôle de celle-ci pendant plus ou moins 48 heures. Ils arrivent en convoi spécial, camions et voitures de couleur noire, leurs uniformes sont aussi de couleur noire, ils sont très grands avec une peau de couleur très blanche et portent en permanence des lunettes noires. Ces hommes ne se mélangent jamais avec les autres militaires de la base et ils prennent le contrôle total de celle ci, ils reçoivent leur nourriture par camions spéciaux et on ne peut les apercevoir que la nuit. Un soir j’étais de garde avec mon chien et je suis passé à proximité d’une grande salle en sous-sol qui ne possédait que quelques petites fenêtres en hauteur. En passant devant ces petites fenêtres mon chien est devenu très nerveux, j’ai alors regardé par une de ces fenêtres et là j’ai vu ces hommes en réunion. La nuit était totale et personne ne pouvait m’apercevoir. Cependant au bout de quelques instants un de ces hommes s’est retourné en direction de cette fenêtre (comment a t’-il su que j’étais là, je ne le sais pas) à ce moment là une peur incompréhensible s’est emparée de moi et mon chien est devenu complètement fou. J’ai tiré mon chien et je suis parti très vite continuer mon tour de garde. Un autre soir étant encore de garde, j’ aperçois par une fenêtre d’un local hautement sécurisé des faisceaux de lampes torches comme si quelqu’un cherchait quelque chose, la base était depuis l’arrivée de ces commandos en stade maximum d’alerte. J’avertis par radio l’officier de garde de cette anomalie mais celui ci me fait comprendre de passer mon chemin et que je n’avais rien vu. Je ne sais pas pourquoi mais à la fin de mon tour de garde j’ai consigné cette observation sur un carnet. Le lendemain matin un officier me fait appeler pour me dire que ceux que j’avais vu la nuit précédente était certainement une hallucination. Par la suite en rentrant dans ma chambre, mon placard personnel avait été fracturé et mon carnet de note ainsi que mon appareil photo avaient disparu. Un ami aussi maître chien avait, lui, pu prendre des photos de certaines choses anormales et il avait aussi dessiné un portrait d’un de ces hommes. On a retrouvé mon ami sauvagement tabassé à l’extérieur de la base et bien sûr son placard avait été vidé complètement. Comment avait-il fait pour sortir de la base, alors que celle ci, était en alerte maximum, personne ne pouvait sortir ? Ces blessures étaient tellement graves qu’un hélicoptère est venu le chercher pour le rapatrier à l’hôpital militaire de Laveran à Marseille. Quand ces commandos étaient sur la base, on avait interdit aux maîtres chiens certaines zones, l’explication des officiers étaient que ” les chiens sont trop sensibles” !!. Les chiens avaient une peur terrible de ces hommes, quand les commandos étaient sur place tous les soirs ils hurlaient en bavant anormalement et en se tapant la tète contre les grilles de leurs cages et cette situation était invivable. Au lever du jour tout redevenait normal. Le vétérinaire (appelé du contingent et faisant des études pour devenir vétérinaire) était très étonné de la réaction incompréhensible des chiens. Il a voulu en savoir plus et a fait des prélèvements de salive et de sang sur quelques chiens, mais un officier lui a ordonné de laisser tomber ces analyses. Quelques jours plus tard mon chien est tombé malade et un autre vétérinaire totalement étranger à la base est venu le chercher. J’ai protesté vivement car je pense qu’on aurait pu le soigner sur place. C’est alors qu’un capitaine est venu vers moi en me disant “c’est une affaire top secret”. Par la suite j’ai su que mon chien était mort et qu’il avait subi une autopsie.” Ce témoin nous fait savoir qu’un autre maître chien de l’époque a réussi à faire divers croquis des ces hommes et qu’il va nous mettre en rapport avec lui. N’ayant plus de nouvelles de ce témoin, j’appris par ces collègues de travail que cela faisait plusieurs semaines qu’il n’était plus venu travailler. Son employeur avait contacté la famille et celle ci était très inquiète car il avait totalement disparu. Résultat d’une troisième source d’information. Témoignage effectué en 1991. Cette personne travaille sur la base. Elle me confirme qu’effectivement il arrive que des commandos investissent le plateau d’Albion (la description des uniformes et des hommes, concorde totalement avec les autres sources d’informations). Ces hommes effectivement ne se déplacent que de nuit et prennent leurs repas indépendamment des autres militaires avec des rations qui leurs sont expédiées pour être totalement indépendants. Résultat d’une quatrième source d’information. Témoignage effectué en 1991 Un officier de réserve du plateau d’Albion m’a affirmé que les pilotes d’hélicoptères de cette base ont à plusieurs reprises vu des ovni sur le site et qu’il existe également un dossier top secret “ovni” avec des photos de ces engins. Il m’affirme également que des engins ont été observés pratiquement au ras du sol. Ce témoin ne m’en dira pas plus. Résultat d’une cinquième source d’information (source Jimmy Guieu) Des spéléologues amateurs décident d’explorer un gouffre à proximité du plateau d’Albion. Ils progressent dans diverses galeries et puits, et arrivés à un troisième puits ils décident de prendre un peu de repos. Un des spéléologues Mr X décide de poursuivre et descend dans le puits. Arrivé au fond de ce puits il aperçoit une lumière bizarre, il avance et s’aperçoit que cette galerie est en fait une ouverture artificielle donnant dans une immense salle au sol blanc, lisse comme un miroir et éclairé par une lumière orange sans source apparente. Dans cette salle se trouve cinq ou six fauteuils blancs et de formes bizarres. Inquiet il décide de remonter vers ses camarades pour leur faire part de sa découverte. Les spéléologues décident donc de refaire surface et de revenir avec appareils photos et caméra vidéo. Quelques temps plus tard Mr X décide de revenir explorer ce gouffre, mais arrivé au troisième puits, celui ci avait été totalement obstrué par une dalle de béton. Les mutilations animales… Il y a eu des mutilations sur des animaux, non pas sur le plateau d’Albion mais dans des départements limitrophes. 2 séries de mutilations sur des moutons près du camp de Canjuers. Un troupeau de moutons totalement décimé dans la région de la Javie dans le département 04. Des biches mutilées ont été retrouvées près de l’observatoire de haute Provence en 1989 par des chasseurs. Des moutons mutilés prés du village de Rians dans le département 83 en 1989. Voici maintenant le descriptifs des diverses menaces à l’encontre de mes amis et de moi même. Quelques temps plus tard et à la suite de ces témoignages, sur le lieu de mon travail, un homme qui je présume travaillait pour les services spéciaux est venu me menacer. Ces paroles étaient très claires “tu possèdes une petite famille et une bonne place et il serait dommage que tu perdes tout ceci”. Je n’ai absolument pas tenu compte de cette menace et c’est alors que mes deux amis et moi avons reçu des lettres anonymes, des harcèlements téléphoniques accompagnés de menaces ou d’émissions de vibrations qui vrillent le tympan et autres bruits des plus pénibles, des brouillages de nos téléphones, des sabotages de nos véhicules, des interceptions et viols de nos correspondances. Il y a eu également la disparition pour le moins curieuse, pendant quatre mois, des dossiers de nos plaintes déposées au Parquet. Il nous a même été clairement signifié que l’on n’hésiterait pas à nous compromettre dans divers trafics plus ou moins illicites. Certaines de ces révélations ont été publiées par mon ami Jimmy Guieu, et aujourd’hui j’ai décidé de livrer la totalité de ces faits au grand public par l’intermédiaire de l’internet, pour que ces faits soient connus de tous. Au risque de heurter certaines personnes, je pense que, certainement, il doit exister des bases de ” Gris ” en France et sans doute sous le plateau d’Albion. Les diverses mutilations se sont produites entre le plateau d’Albion et le camp militaire de Canjuers et diverses observations d’Ovni ont également été constatées dans le secteur du plateau d’Albion, de la Javie, de Rians et de Canjuers. A vous maintenant lecteurs de vous faire une opinion sur ces faits très étranges et malheureusement véridiques. Vous pouvez aussi ne pas croire à tout ceci, mais sachez quand même une chose, le plateau d’Albion est en principe maintenant démantelé, alors pourquoi la légion étrangère avec 1000 hommes reste sur le plateau en permanence ? Y aurait-il dans le sous-sol d’autres choses incroyables au point d’interdire l’accès de certaines zones même aux scientifiques ? Certaines personnes vont crier au mensonge, au canular, et même dire “ça y est la rumeur des U.S.A. arrive en France”, mais les faits et les témoignages sont là. http://www.capcomespace.net/dossiers/espace_europeen/albion/albion_aujourdhui_BA200.htm http://fr.wikipedia.org/wiki/Plateau_d’Albion http://ufoweb.free.fr/albion.htm Grand merci à Era, du blog aréa51, pour cet article : http://area51blog.wordpress.com/ J’ajouterais pour ma part, que sous le plateau d’Albion se trouve également la plus grande nappe d’eau douce de France, la plus grande réserve d’eau potable. Ceci est juste une petite info supplémentaire.

  • monolithe métallique découvert dans Utah

    Traduction MUFON France BY LINDA MOULTON HOWE Mystérieux monolithe métallique découvert dans le sud de l'Utah Rocky Wilderness. 23 novembre 2020 Albuquerque, Nouveau-Mexique - Dans la matinée du samedi 21 novembre 2020, des biologistes et des agents de la Division des ressources fauniques de l'Utah (UDWR) se trouvaient dans un hélicoptère du Département de la sécurité publique de l'Utah (DPS) comptant des mouflons d'Amérique de l'air dans le sud de l'Utah. Le pilote Bret Hutchings a déclaré à un journaliste de KSL-TV à Salt Lake City que l'un des biologistes avait crié de faire tourner l'hélicoptère parce qu'il avait vu ce qui ressemblait à un grand monolithe métallique dans les rochers sauvages. L'équipage a pensé au célèbre film de science-fiction de 1968 2001: A Space Odyssey du réalisateur légendaire Stanley Kubrick qui était centré autour d'un grand monolithe parfaitement usiné présumé avoir été réalisé par des espèces extraterrestres invisibles. Tout au long du film, le mystérieux monolithe apparaît périodiquement à des moments et à des endroits clés de l'évolution de l'Homo sapiens sapiens, en commençant en Afrique après que des primates déjà en évolution aient été manipulés génétiquement par les E. T. invisibles pour évoluer en humanoïdes de plus en plus intelligents. Le pilote Bret Hutchings a déclaré à KSL-TV qu'il ne savait pas s'il s'agissait d'une construction de la NASA ou d'une œuvre d'art de quelqu'un: «Je dirais que c'est probablement entre 10 et 12 pieds de haut» et en métal. «Nous plaisantions en quelque sorte sur le fait que si l'un de nous disparaît soudainement, alors je suppose que le reste d'entre nous fait une course.» Parce que le DPS et les biologistes ne voulaient pas que les gens se rendent dans la région où ils essaient de protéger les mouflons d'Amérique, les autorités gardent le site exact secret. DPS Aero Bureau a publié cette image Instagram avec la légende: "Les esprits curieux veulent savoir de quoi il s'agit?"

  • Le prince Philip est passionné par les extra-terrestres

    Esther Buitekant Le prince Philip est un homme plein de surprises. L'époux de la reine Elizabeth se passionne depuis de nombreuses années pour les extra-terrestres. Un héritage de son oncle Lord Mountbatten. Certains collectionnent les timbres, d'autres les cartes postales. Et certains, comme le prince Philip, ont une passion beaucoup plus atypique. L'époux de la reine d'Angleterre nourrit depuis plusieurs années une véritable passion pour les extra-terrestres. Selon le SUN, le prince Philip a même passé plusieurs décennies à élaborer une vaste bibliothèque sur le sujet. L'histoire commence dans le ciel brumeux d'une nuit anglaise en 1955... A l'époque, Fred Briggs, maçon de Lord Mountbatten, assiste à une scène étrange sur le domaine de Broadlands à Romsey. Selon ses déclarations, l'homme aurait vu une soucoupe se poser dans un halo de fumée, et une créature non-identifiée en descendre. Une rencontre du troisième type détaillée par Lord Mountbatten dans un rapport resté secret jusqu'à 1980, l'année suivant sa disparition dans un attentat. Très proche de son neveu le prince Philip, Lord Mountbatten l'aurait alors initié à l'ufologie. Après la mort de son oncle adoré, l'époux de la reine n'a cessé de lire des ouvrages sur le sujet et de se documenter. Une passion ancienne Comme le rapporte le SUN, le prince Philip se serait passionné l'été dernier pour la lecture du livre "The Half Perspective", qui relate le fameux "incident de Rendlesham" dans le Suffolk en 1980. Un groupe de militaires américains avait alors affirmé avoir observé un OVNI près de la base aérienne de Woodbridge. L'ouvrage, notamment écrit par le détective à la retraite John Hanson, a ravi le prince Philip. Dans une lettre adressée à M. Hanson, le secrétaire particulier du duc d'Edimbourg, le brigadier Archie Miller-Bakewell, a écrit: "Je suis certain qu’il sera lu avec un grand intérêt au cours de l’été.", rapporte le SUN. Après avoir reçu un autre livre - Haunted Skies: The Encyclopedia of British UFO"s - le bras droit du duc a répondu: "Son Altesse Royale ajoutera cet exemplaire à sa collection. Cela fera un ajout très bienvenu à sa bibliothèque." "Le prince Philip nous a invité à dîner" Mais au cours de sa vie, le prince Philip ne s'est pas contenté de lire des ouvrages spécialisés, il est également allé à la rencontre de témoins directs de ces phénomènes inexpliqués. Le Major George A. Giller, pilote de l'Air Force, qui n'a jamais cessé d'affirmer qu'il avait aperçu un OVNI au dessus du ciel britannique, suscitant le scepticisme de l'armée, a raconté que quelqu'un avait pris son récit très au sérieux : le prince Philip. Des propos partagés par le site Express.Co. "Apparemment, le prince Philip a pensé que c'était très important et nous a invités à dîner. Il savait tout sur le fait que nous avions pourchassé l'OVNI et m'a vraiment conforté dans ma croyance", a expliqué George A. Giller. "Quand quelqu'un de sa stature indique que ces être sont réels et viennent d'une autre planète, c'est très convaincant.", a-t-il ajouté. Crédits photos : Agence / Bestimage

  • Vie Sous marine, OANI : fosse des Mariannes

    Complément par Sylvain Matisse, Enquêteur Certifié MUFON France Source : Ouest France Un sous-marin chinois s’est posé au fond de la fosse océanique la plus profonde sur Terre Le « Fendouzhe » s’est posé ce vendredi à 10 909 mètres de profondeur lors d’une de ses plongées effectuées avec trois chercheurs à bord. Le submersible chinois a atterri à près de 11 km de la surface du Pacifique, sur le point le plus profond connu de la célèbre fosse des Mariannes, Challenger Deep. C’est ce qu’on appelle un direct peu ordinaire. Car, ce vendredi 20 novembre 2020, la Chine a diffusé en live des images de son nouveau submersible habité, stationné à près de 11 km sous la surface du Pacifique, posé au fond de la Fosse des Mariannes dans le cadre d’une mission historique dans les eaux les plus profondes de la planète. Le Fendouzhe, nom qui signifie « lutteur » en chinois, est descendu à 10 909 mètres dans cette fosse sous-marine située dans le Pacifique occidental, avec trois chercheurs à son bord, a rapporté la télévision publique chinoise CCTV. Un croissant de plus de 2 500 kilomètres de long Seule une poignée de personnes ont déjà visité le fond de la Fosse des Mariannes, une tranchée dans la croûte terrestre en forme de croissant qui fait plus de 2 500 kilomètres de long et dont la profondeur dépasse la hauteur du mont Everest. Les premiers explorateurs ont atteint la fosse en 1960 lors d’une brève expédition, après quoi il n’y a plus eu de missions jusqu’à la descente effectuée en 2012 par le cinéaste américain James Cameron, réalisateur de « Titanic ». Ce dernier avait fait une descente en solitaire à près de 11 000 mètres dans cette fosse et évoqué un environnement « désolé » et « extraterrestre ». Les vidéos tournées cette semaine par une caméra sous-marine montrent le submersible chinois vert et blanc se déplaçant dans les eaux obscures, entouré de nuages de sédiments alors qu’il se pose lentement sur le fond marin. Le Fendouzhe, qui a effectué plusieurs plongées ces derniers jours, a établi le record national de 10 909 mètres pour la plongée en eaux profondes habitée après avoir atterri sur le point le plus profond connu de la fosse, Challenger Deep. Le record du monde absolu, de 10 927 mètres, aurait été établi par un explorateur américain en 2019, mais la mission chinoise a diffusé la première vidéo en direct au monde de Challenger Deep. Des animaux… et des matériaux miniers Le Fendouzhe, troisième submersible habité en eaux profondes de Chine, observe « les nombreuses espèces et la répartition des êtres vivants dans les fonds marins », ont déclaré des scientifiques à bord à CCTV. Les chercheurs chinois vont collecter des spécimens pour leurs recherches, selon CCTV. Des études antérieures ont permis de trouver des communautés florissantes d’organismes unicellulaires survivant sur des déchets organiques qui s’étaient installés sur le fond de l’océan, mais très peu de gros animaux. La mission mènera également des recherches sur les « matériaux des eaux profondes », alors que la Chine progresse dans l’exploitation minière des eaux profondes. Pékin a mis en place en novembre un centre de formation et de recherche conjoint avec l’Autorité internationale des fonds marins, qui formera des professionnels sur la technologie des grands fonds marins et mènera des recherches sur l’exploitation minière de minéraux précieux au fond de l’océan. Le Fendouzhe est censé établir des normes pour les futurs navires en eaux profondes de la Chine. « Il faut plus de deux essais avant que nous puissions parler d’un véritable succès », a déclaré à CCTV Zhu Min, un chercheur à l’Académie chinoise des sciences impliqué dans la mission. Complément par Sylvain Matisse : La fosse des Mariannes peut nous renseigner ! Des points chauds sur la planète concernant les OVNIS ne manquent pas. Les endroits maritimes ont aussi leurs anomalies, nommons les ainsi. Ici je met le cap précisément sur le point océanique le plus profond du monde semble-t-il. Challenger Deep ou la zone hadale, qui va de 6000 m et plus ! Autrement dit le challenger deep, est le point le plus profond jamais mesuré dans les océans. La fosse des Mariannes et la zone la plus profonde du globe avec ses 11kilomètres ! Focus sur cet endroit : La fosse des Mariannes dans le Pacifique, le long de l’archipel des îles Mariannes, est la fosse sous-marine la plus profonde avec ses 11’033 mètres. C'est aussi l'endroit le plus profond de la croûte terrestre. Elle est située dans la partie nord-ouest de l'océan Pacifique, à l'est des Îles Mariannes aux coordonnées 11° 21′ N, 142° 12′ E, à proximité de l'île de Guam.Afin de vous donner une idée précise, l’Everest est le plus haut sommet du globe, avec un pic à 8848 mètres d’altitude. Il est situé sur la frontière entre la zone de Sagarmatha, au Népal, et au Tibet en Chine, et fait partie de la chaîne de montagnes de l’Himalaya, et cette montagne tient sans commune mesure dans la fosse des Mariannes. La fosse des Mariannes, est une sorte de tranchée étendue sur près de 2 550 km de long dans le nord-ouest de l'océan Pacifique. 90 % de nos fonds marins restent à explorer, et parmi eux il y a cette fosse qui ,n’a été explorée qu’à environ 1% ! Elle fut découverte lors de l’exploration de l’océan Pacifique par l’équipage du navire de recherche Challenger en 1875. Première expédition sous-marine : Date : 23 janvier 1960 Position : Océan Pacifique : La Fosse des Mariannes, à 200 miles approximativement de l'île de Guam. Engin utilisé : le bathyscaphe Trieste dont l’épaisseur des parois en acier étaient de 13 centimètres d’épaisseur . Descente effectuée en 5 heures. Profondeur atteinte : 10 916 mètres, un exploit inégalé à l’époque ! Durée de la plongée ; 12 minutes Découverte scientifique : Une vie marine florissante en l'absence totale de lumière - Fixé sur sa coque, un prototype expérimental Oyster, baptisé Deep Sea Special. La pression est supérieure à une tonne par centimètre carré,. Cependant ce n’est que en 1960 que les hommes descendent dans de telles profondeurs. Le bathyscaphe Trieste. L'expédition dirigée par le lieutenant Don Walsh (USN), accompagné de Jacques Piccard, a atteint la profondeur de presque 11 000 mètres, une performance ! Géologie: À savoir : Il existe au moins deux processus créant des fosses océaniques: ▪l’écartement de deux plaques océaniques au niveau d'une dorsale, on trouve dans ce cas deux types de fosses, les fosses le long des limites de plaques lithosphériques perpendiculaires à la dorsale océanique ou encore les fossés d'effondrement que l'on trouve au niveau de la dorsale elle-même; ▪le rapprochement d'une plaque océanique avec une plaque continentale ou une autre plaque océanique, la fosse est alors créée par la plongée d’une des deux plaques sous l’autre plaque. Il s'agit d'une fosse de subduction. (-Crédit La géologie sous-marine- Auteurs: Samantha & Dominique) L’ étrange ! Des sons inexpliqués ont été relevés. En 1996, les explorateurs chercheurs ont entendu un son qui ressemblait un cliquetis de métal , le vaisseau été remonté à la surface et l’équipage constate que la structure a été endommagée dont un câble d’acier de 20 centimètres d’épaisseur presque sectionné en deux ! Alors nous ne savons pas qui a croisé la soucoupe sous-marine en chemin. Un «monstre « des mers comme le mégalodon par exemple ou un calmar géant ou autre chose qu’un animal ? Appareil High Fish au début des années 2000 : Des scientifiques allemands disent avoir été confrontés à des événements incroyables de nature inexpliquée. Lors de la descente de l’engin dans la fosse des Mariannes celui-ci s’est mis à trembler, ils ont vu la silhouette d’une énorme créature , l’appareil alors émis une décharge électrique pour se défaire de l’attaque et la créature a disparue. Certains scientifiques émettent la possibilité que ce soit le mégalodon ,cet animal préhistorique, qui était le prédateur des océans, il y a environ deux millions d’années , que l’on prétend avoir disparu, mais qui se serait réfugié dans ces profondeurs. 2012 – Titan : Cet engin dirigé par des scientifiques qui assurent avoir rencontré « des extraterrestres « , alors que le vaisseau était censé filmer et prendre des photos du monde du «silence «. A un moment donné les caméras ont enregistré des objets étranges. Des cylindres métalliques auraient été aperçus autour de Titan, ils étaient immobiles suspendus, le vaisseau s’est rapproché et les chercheurs ont dit que ces sortes de cylindres rappelaient les soucoupes volantes ! Le Titan est resté échoué au fond et les supposés enregistrements avec ! Projet Aqua-Systéme : Ces objets étranges aperçus , mais trop brièvement ,car surgit de nulle part de manière aléatoire et surprenante. Alors dans ces conditions il est bien difficile d’interpréter avec exactitude ces choses étranges qui méritent à elles seules, une étude approfondie avec des moyens de surveillance munis de divers capteurs, d’instruments de mesure et de caméras étanches afin de capturer en temps réel ces structures ou ces phénomènes à des fin d’analyses rigoureuses. C’est en outre ce que je propose dans mon projet Aqua – Système mentionné sur notre blog investigation océanographique et OANIS . ( https://investigationsoanisetoceanographiee.com/projet-aqua-systeme/ ) et dans mon second ouvrage . Océanographie : Des études révèlent que l’absence de lumière et la pression énorme de l’eau atteint 108,6 mégapascals, ceci représente 1072 fois la pression plus élevée que la pression atmosphérique. Pourtant des organismes survivent. Des animaux insoupçonnés vivent dans les enfers abyssales. Une sélection naturelle stricte dans cet endroit plutôt hostile . Dans cet environnement sans lumière, il n'y a que des micro-organismes ou des animaux, aucune plante. Biologie sous-marine : Les espèces présentes dans cette fosse, du moins celles qui ont été découvertes peuvent présenter le portrait robot d’un extraterrestre sur une lune, une planète ou une exoterre ( exoplanète) dont les conditions de profondeur, pression, températures ressembleraient à celles qui sont les caractéristiques de la fosse des Mariannes. Quelques spécimens: Des poissons plats d’environ 30 centimètres ont été découverts mais aussi Le poisson-fantôme. Ce petit poisson d’une dizaine de centimètres, aux yeux jaunes et au corps totalement transparent et incroyablement fragile, et quand il nage. Découvert pour la première fois en décembre 2014. *Monterey Bay Aquarium Research Institute (MBARI) a réussi à étudier le Barreleyes du Pacifique, en 2004. Ces poissions mesurant 15 cm vivent à plus de 600 mètres de profondeur, dans la fosse des Mariannes. Il possède une tête bombée qui est entièrement transparente , ce qui permet de distinguer deux yeux verts remplis d’une substance faisant penser à du gel et qui fait office de filtre optique essentiel pour voir dans les abysses dont la lumière est exclue. Ceci le favorise pour éviter ses prédateurs ou bien pour capturer ses proies. *Monterey Bay Aquarium Research Institute (MBARI) : Centre de recherche océanographique privé à but non lucratif à Moss Landing, en Californie. MBARI a été fondée en 1987 par David Packard et est principalement financée par la Fondation David et Lucile Packard. Le requin lutin vit dans ces eaux ( 45 exemplaires découverts à ce jour), le poisson vipère peu ouvrir sa bouche à plus de 100 degré, sa mâchoire s’étend ver l’avant, la nature dote de capacités démentielles les espèces de ce milieu . Les ressources limitées dans cet endroit semble avoir engendré des espèces féroces , de véritables prédateurs . Le sous-marin chinois spécialisé Jiaolong en plongée dans la fosse des Mariannes, dans l'océan Pacifique, le 27 juin 2012, RELÈVE des niveaux remarquablement élevés d'activité microbienne ont été relevés dans la fosse océanique la plus profonde actuellement connue, selon des travaux de recherche publiés dimanche 17 mars dans la revue Nature Geosciences. L'équipe conduite par Ronnie Glud (université du Danemark du Sud) a cependant eu la surprise de découvrir que la matière organique y était en réalité abondante. Les chercheurs y ont constaté un taux de consommation biologique d'oxygène deux fois plus élevé que sur un site voisin, profond de seulement 6 000 mètres. Les analyses des sédiments prélevés sur les deux sites révèlent également des concentrations plus élevées de cellules microbiennes à Challenger Deep. "Nous avons trouvé un monde dominé par les microbes, qui se sont adaptés pour fonctionner efficacement à des conditions extrêmement inhospitalières pour des organismes plus développés", explique Ronnie Glud. ( Crédit France Info) Le monde du silence a encore tant à nous révéler, et à ce titre cet environnement n’ a rien à envier au cosmos, explorons d’abord sous nos pieds , chez nous, ici sur notre planète qui n’a pas encore livrée tous ses secrets. Auteur Matisse sylvain à l’aide de supports Wikipédia esge.ch/Solar ohchouette.com

  • Le Pentagone développe un avion sans ailerons ni gouvernail

    par Yohan Demeure / SciencePost.fr Des chercheurs ont travaillé sur un nouveau modèle d’avion dans le but d’y éliminer les ailerons, gouvernails et autres volets. Dans le cadre de ce projet, ils penchent pour un “contrôle actif des écoulements”, ce qui apporterait un aérodynamisme maximal. Comment cette technologie fonctionne-t-elle ? Un contrôle actif des écoulements d’un avion Dans un communiqué publié le 18 novembre, la DARPA a présenté un nouveau projet d’avion. L’agence du département de la Défense des États-Unis pour la recherche et le développement a baptisé ce projet CRANE, pour Contrôle d’avions révolutionnaires avec de nouveaux effecteurs. L’appareil reposera ici sur une technologie de contrôle actif des écoulements. Comme le rappelle Military and Aerospace Electronics, ce projet a été mentionné une première fois durant l’été 2019. Selon les responsables, il est question d’utiliser des actionneurs (ou des effecteurs) afin d’ajouter de l’énergie ou de l’élan au flux d’air au-dessus de l’avion. Ces actionneurs se substitueront aux ailerons, gouvernails et volets habituels. À l’aide de cette technologie, la DARPA espère optimiser les vols civils et militaires. Or, le principal intérêt est la diminution du frottement de l’air contre les engins. Voici un visuel de l’engin : Des composants “actifs” plutôt que “passifs” Généralement, les avions intègrent des composants dits “passifs” comme des générateurs de vortex. Ceux-ci se trouvent sur les ailes et permettent de séparer les flux. Citons également la présence de chevrons sur la tuyère d’échappement afin de réduire les émissions sonores. Or, les composants cités réduisent l’aérodynamisme de l’appareil, et ce, même lorsqu’ils ne sont pas utilisés. Au contraire, le contrôle actif des écoulements modifie le champ d’écoulement aérodynamique de l’aéronef grâce à des actionneurs mécaniques. Néanmoins, il est aussi possible que cela fonctionne par aspiration ou éjection sur une aile ou un fuselage. Dans tous les cas, le dispositif peut être activé ou désactivé selon les besoins, permettant ainsi de limiter les frottements. Selon la DARPA, il s’agit de la première fois que le contrôle actif des écoulements est directement intégré dans la conception d’un appareil. L’agence a également évoqué la collaboration d’autres sociétés telles que Lockheed Martin Aurora Flight Sciences, ainsi que des organisations comme la Georgia Tech Research Corporation pour la réalisation de ce projet. Cette année, le Pentagone ne manque pas de projets. Rappelons qu’en octobre, le Pentagone a en effet déclaré vouloir missionner la société SpaceX pour développer un cargo du futur capable de transporter des soldats et du matériel n’importe où sur la planète en un temps record. En novembre 2020, le Pentagone a également organisé un combat inédit entre un pilote de chasse humain équipé d’un casque VR et une IA pilotant un chasseur chinois virtuel.

  • un propul­seur qui pour­rait atteindre la vitesse de la lumière

    par Sarah Ben Bouzid / TURFU À 80 ans, ce physi­cien déve­loppe un propul­seur qui pour­rait atteindre la vitesse de la lumière Jim Wood­ward, profes­seur de physique à l’uni­ver­sité d’État de Cali­for­nie à Fuller­ton, affirme que le proto­type de propul­seur MEGA sur lequel il travaille pour­rait appro­cher la vitesse de la lumière, et ce sans aucun carbu­rant, révé­lait-il à Wired le 3 septembre. Pour permettre à son propul­seur MEGA, pour Mach-Effect Gravi­ta­tio­nal Assist (« assis­tance gravi­ta­tion­nelle par prin­cipe de Mach »), de flir­ter avec la vitesse de la lumière, de minus­cules cris­taux vibrent des dizaines de milliers de fois par seconde quand un courant élec­trique est lancé, permet­tant sa propul­sion. Selon Wood­ward, un vais­seau spatial équipé d’un propul­seur MEGA pour­rait atteindre des vitesses proches de celle de la lumière, avec l’aide d’un réac­teur nucléaire. Sa propul­sion repose sur le prin­cipe de Mach, théo­risé par le physi­cien britan­nique Dennis Sciama, qui affirme que l’iner­tie est liée aux effets gravi­ta­tion­nels à distance. Lorsque l’éner­gie d’un objet change, la matière même de l’es­pace et du temps change égale­ment autour de lui. Voilà plus de 30 ans que Wood­ward travailleur sur son propul­seur MEGA. « Il peut se dépla­cer à des vitesses appro­chant celle de la lumière dans le vide, en ne consom­mant que de l’élec­tri­cité », écrivent Wood­ward et Hal Fearn, proche colla­bo­ra­teur de Wood­ward et lui aussi physi­cien de l’uni­ver­sité d’État de Cali­for­nie à Fuller­ton. « Aucune autre méthode pour voya­ger vers les étoiles et s’ar­rê­ter dans le système choi­sie n’a été propo­sée à ce jour, et nous avons la physique de notre côté. » Il a même obtenu un finan­ce­ment dans le cadre du programme Inno­va­tive Advan­ced Concepts de la NASA en 2017. Grâce à cette subven­tion, le dernier proto­type MEGA de Wood­ward a produit une pous­sée bien supé­rieure à celle de tous ses proto­types précé­dents. « J’ai été choqué par l’énorme augmen­ta­tion de la force mesu­rée », a déclaré Hal Fearn. D’autres cher­cheurs sont pour­tant encore scep­tiques vis-à-vis de ce nouvel appa­reil. « Je dirais qu’il y a entre 1 chance sur 10 et 1 chance sur 10 000 000 que ce soit réel. Mais imagi­nez cette seule chance ; ce serait incroyable », recon­naît Mike McDo­nald, ingé­nieur aéro­spa­tial au Labo­ra­toire de recherche navale du Mary­land. Wood­ward et Fearn prévoient main­te­nant d’en­voyer une démons­tra­tion de l’ap­pa­reil en orbite pour tester son fonc­tion­ne­ment dans l’es­pace. S’il y a une chance que le propul­seur MEGA de Jim Wood­ward fonc­tionne, il révo­lu­tion­ne­rait l’ex­plo­ra­tion spatiale et, ce faisant, le futur de l’hu­ma­nité. Source : Wired

  • Un nouveau monolithe découvert en Roumanie

    Un imposant monolithe métallique a été repéré dans le nord-est de la Roumanie, près du site archéologique de la ville de Piatra Neamt, quelques jours seulement après un épisode similaire, observé aux Etats-Unis... Comme en témoignent plusieurs images diffusées sur les réseaux sociaux depuis le 29 novembre 2020, un monolithe métallique a été repéré en Roumanie, aux abords du site archéologique de la forteresse de Petrodava, construite il y a près de 2000 ans par les Daces, nom donné par les Romains aux tribus qui ont peuplé le bassin du Bas-Danube dans l'Antiquité. Un bloc de quatre mètres de hauteur Mesurant près de quatre mètres de hauteur selon le Daily Mail, le mystérieux objet ferait face au mont Ceahlau, connu localement sous le nom de «la montagne sainte». «Ce monolithe trouvé à Piatra Neamt en Roumanie est similaire à celui trouvé dans l'Utah», a commenté le compte Twitter Lufos, friand des phénomènes touchant aux ovnis. «Un monolithe métallique identique à celui trouvé récemment dans l'Utah vient d'apparaître sur une colline en Roumanie», a également tweeté Disclose.tv, un site internet qui se donne pour mission de rapporter des découvertes peu évoquées par les médias traditionnels... En tout état de cause, un bloc rectangulaire étincelant de trois mètres de hauteur avait également été découvert le 18 novembre 2020 dans le sud de l'Utah aux Etats-Unis, par des responsables locaux ébahis qui survolaient la zone pour compter les spécimens de mouflons.

  • Stupeur : le célèbre radiotélescope d’Arecibo s’est effondré !

    Le drame était annoncé : déjà en arrêt suite à une série d’incidents ayant fragilisé sa structure, le radiotélescope géant d’Arecibo s’est effondré ce matin sans la moindre intervention extérieure. La voute de 900 tonnes laisse désormais la place à un trou béant. On imagine sans mal la peine de nombreux scientifiques, dont quelques uns s’étaient mobilisées ces dernières semaines pour tenter de sauver le colosse. La fin de ce radiotélescope mythique est annoncée sur les réseaux sociaux comme s’il s’agissait du deuil d’une personnalité. Les hommages se succèdent, et les scientifiques retracent le parcours hors normes de ce Radiotélescope mis en service en 1963. Chasseur de pulsars, d’étoiles à neutrons et d’exoplanètes, Arecibo avait notamment participé au programme Seti de recherche de signaux intelligents provenant de la Galaxie. Le radiotélescope a même servi plusieurs fois de décor de films (Contact, Goldeneye).. Ce qui reste du Radiotélescope d’Arecibo sera entièrement démonté, une procédure complexe qui ne démarrera pas avant plusieurs semaines. Certaines installations spécifiques, comme une centre d’observation atmosphérique, pourraient cependant rester sur place.

  • Confirmé: l'incident OVNI du Triangle non signalé par la navy

    Traduction MUFON France by Tom Rogan / Washington Examiner Mercredi, Tim McMillan, du Debrief, nous a donné le regard le plus détaillé à ce jour sur les recherches en cours du Pentagone sur les objets volants non identifiés, les OVNIS ou ce que le gouvernement appelle des «phénomènes aériens non identifiés». Annoncé publiquement plus tôt cette année, le «Groupe de travail sur les phénomènes aériens non identifiés» est géré par l'Office of Naval Intelligence. Sa mission est de détecter, analyser et cataloguer les ovnis. Je peux confirmer l'exactitude de l'histoire de McMillan, la rencontre d'OVNI de la Marine non signalée à la fin de 2019 et sa description des rapports de renseignement de la force opérationnelle de 2018 et 2020. Et que le gouvernement a été incapable d'identifier positivement les OVNIS enregistrés sur vidéo par des aviateurs navals. en 2004 et 2015. Ces vidéos ont été publiées pour la première fois dans un article du New York Times de 2017 et officiellement publiées par la Marine cette année. Mais ce n’est que le début. McMillan note à juste titre que le rapport du groupe de travail de 2018 «a expressément déclaré que le potentiel de l'UAP à être une technologie« étrangère »ou« non humaine »était une considération légitime.» Ce rapport incluait des photos prises par des aviateurs de la marine sur leurs caméras personnelles de téléphone portable, qui semblent montrer un OVNI en forme de cube du genre aviateur décrit dans l'incident enregistré sur vidéo de 2015. Cependant, c'est le rapport 2020 qui est le plus frappant. Très largement partagé dans la communauté du renseignement civil et militaire, il comprend une photographie extraordinaire prise fin 2019 d'un OVNI en forme de triangle. La photographie a été prise par un avion de chasse F / A-18F opérant au large de la côte est des États-Unis. Selon le rapport, l'OVNI Triangle est sorti de l'océan Atlantique et a rapidement accéléré hors de vue sur un axe vertical. Je crois, mais je n'ai pas pu le confirmer, que l'équipage responsable de la photo opérait soit à partir de l'USS Dwight D. Eisenhower, soit de l'USS John C. Stennis. C'est une grande nouvelle, ou devrait l'être, pour quatre raisons. Premièrement, il confirme la présence continue d’ovnis à proximité des porte-avions à propulsion nucléaire de la Marine. Ces OVNIS sont apparemment propulsés par des systèmes de propulsion de vol non conventionnels non basés sur des jets, ne présentant pas de traînées d'échappement, et sont capables de naviguer rapidement dans l'eau, l'air et l'espace. Aucune nation ou société ne s'est avérée posséder une ingénierie aussi avancée. En tant qu'extension, les rapports renforcent l'évaluation classifiée selon laquelle il existe un lien inconnu entre les réacteurs nucléaires navals et l'activité OVNI à proximité. Troisièmement, l'incident de Triangle OVNI non signalé précédemment ajoute une troisième forme de conception au portefeuille d'OVNIS de forme «Tic-Tac» et «Cube» vus par les aviateurs navals en 2004 et 2015. Il convient de noter ici que les ovnis en forme de triangle correspondent étroitement à celui référencés dans le rapport 2020 ont été rapportés par des témoins dans l'espace aérien américain pendant de nombreuses décennies. Enfin, le rapport de 2020 portait une attention particulière sur les OVNIS sous-marins, ou ce que le gouvernement appelle des «phénomènes submersibles non identifiés». McMillan note à juste titre que la Marine est particulièrement réticente à discuter de cet élément du phénomène, craignant que cela ne compromette le fonctionnement des réseaux de capteurs acoustiques hautement classifiés de la Marine. Comme je l’ai signalé, un autre motif du secret du gouvernement ici est la capacité apparente de certains OVNI à voyager sous l’eau à des vitesses de centaines de nœuds ou plus par heure. La combinaison de ce facteur avec les moyens et la propension apparente des OVNIS à se rapprocher occasionnellement avec des sous-marins à propulsion nucléaire a raisonnablement préoccupé la Marine. À savoir, que le service silencieux ne fonctionne pas aussi silencieux que les amiraux voudraient l'admettre. Et que la Chine ou la Russie ne doivent pas être capables de reproduire cette technologie. Une telle évolution saperait la crédibilité et la fonction même des forces de dissuasion nucléaire américaines, dont les sous-marins lance-missiles balistiques sont censés être la cheville ouvrière la plus viable. À son tour, et dans une distinction notable avec l'approche de rapport d'enregistrement de ses collègues de la guerre de surface, la force sous-marine préfère radier les détections de capteurs sous-marins comme des anomalies (comme je l'ai constaté lors d'un entretien en juin avec l'amiral commandant les forces sous-marines américaines). Où cela nous laisse-t-il? Comme d'habitude pour ce sujet, avec beaucoup plus de questions que de réponses. Mais nous devrions saluer les efforts de la communauté du renseignement pour partager plus largement les rapports sur les OVNIS. Et nous devrions soutenir les efforts, tels que celui du président du Comité sénatorial du renseignement, le sénateur Marco Rubio, pour déclassifier davantage de reportages sur les ovnis.

  • Medias/OVNIs : Silence et ignorance

    Traduction MUFON France by Tom Rogan / Washington Examiner Si quelque chose est étrange mais peut avoir une conséquence, il est sûrement sensé journalistique d'enquêter? Je dis cela à la lumière du nouvel article de Keith Kloor sur Wired, "Le New York Times cessera-t-il un jour de rendre compte des OVNIS?" Kloor suggère que la couverture par le New York Times des observations d'OVNIS par la Marine n'est pas digne d'un document officiel. Ceci, comme on pouvait s'y attendre, a attiré à la fois la célébration et l'indignation sur Twitter. J'ai quelques réflexions. Les preuves de rencontres d'OVNIS impliquant des militaires sont anciennes, mais la documentation est loin d'être idéale. Une partie du problème ici est le penchant du gouvernement pour le secret sur la question. Un autre défi est la séparation entre une enquête sérieuse et stupide sur cette question. Tom DeLonge résume cette dynamique sur les deux fronts. Le musicien et fondateur du groupe de recherche sur les ovnis To The Stars Academy mérite un grand crédit pour avoir fait progresser l'attention du public sur la question des ovnis. Mais DeLonge dit aussi, à l'occasion, des choses que les données ne peuvent tout simplement pas prendre en charge. Parfois, le gouvernement joue ses propres jeux ici. Il a déployé des individus tels que Richard Doty, pour saper la crédibilité de la recherche sur les ovnis. Cela menace la carrière et même des conséquences criminelles contre des responsables gouvernementaux ou militaires qui pourraient rendre publiques les choses extraordinaires qu'ils ont vues (d'où l'importance de dirigeants tels que le Cmdr. David Fravor). Le résultat est une lacune dans ce que nous attendons de ce problème: si c'était grave, pourquoi tout le monde n'en parle-t-il pas? À leur tour, la plupart des journalistes sont dissuadés d'examiner la question. Comme Emily Jashinsky et moi en avons discuté le mois dernier (40 minutes), il y a deux raisons compréhensibles à cela. Pour commencer, le phénomène OVNI semble tout simplement trop étrange et trop incroyable. Ce ne sont, selon la plupart des observateurs, que des éléments d'imagination surexcitée et de conditions météorologiques inhabituelles. Peu de journalistes veulent écrire sur un sujet qui fera bien plus rire leurs collègues que la perspective des Pulitzers. C'est un problème particulier ici. Après tout, pour couvrir ce problème, vous devez être prêt à entrer dans ce que le chasseur d'espions de la CIA James Angleton a appelé «le désert des miroirs»: un endroit où mensonges et vérité se heurtent toujours, et, même dans le meilleur des cas, posent plus de questions que réponses. Un endroit où des milliers d'individus depuis la Seconde Guerre mondiale, des gens normaux comme Jessie Roestenberg, qui prétendait voir un OVNI en 1954 en Angleterre, semblent honnêtes, mais ne peuvent être signalés comme tels en leur absence de formation professionnelle d'observation des avions et de données à l'appui. C'est un battement souvent chargé de preuves insuffisantes. Les journalistes ont de bonnes raisons de penser que le coronavirus, les missiles balistiques nord-coréens ou les élections de 2020 sont bien plus importants. Un dernier défi journalistique: cette question relève des questions de sécurité nationale. Les individus qui peuvent fournir un aperçu précis des OVNIS ont tendance à être très peu nombreux et très disparates dans leurs bases de connaissances. Trouver ces sources est très difficile. C'est pourquoi, par exemple, la bourse Robert Hastings sur ce sujet est digne d'un Pulitzer tardif. Hastings a tracé la ligne de connexion critique d'observations d'OVNIS crédibles et de haute intensité commençant à Los Alamos, au Nouveau-Mexique dans les années 1940, aux incidents survenus sur les bases de l'ICBM aux États-Unis et en Union soviétique pendant la guerre froide, au Nimitz Carrier Strike Group en 2004. C'est l'histoire des OVNIS étant particulièrement prédominants autour des sites nucléaires, et plus particulièrement des armes nucléaires. Pourquoi cet intérêt? Je ne sais pas. Mais le gouvernement - bien que secrètement - évalue le facteur nucléaire, c'est pourquoi les groupes de porteurs alimentés par des réacteurs nucléaires de la Marine continuent de se heurter aux OVNIS. C'est le contexte, mais comme je l'ai dit, je ne suis pas du tout d'accord avec l'argument de Kloor. Il a tout à fait tort quand il dit qu '"il n'y a pas un coup d'œil, dans tous ces reportages sensationnels, de la part des militaires concernés; et il n'y a pas d'appel pour une enquête plus approfondie de la part des mordus de la sécurité nationale. Vous pouvez rechercher la presse accréditée de l'industrie de la défense, qui couvre chaque politique, approvisionnement et bataille de territoire du Pentagone dans les moindres détails, et ayez du mal à trouver la moindre mention d'OVNI rusés qui ont menacé les aviateurs navals. " Faux. Les chefs militaires ne parlent pas de cette question pour deux raisons: soit ils ne sont pas informés à ce sujet, soit ils protègent les sources et les méthodes top-secrètes connexes. Des inquiétudes, comme, vous savez, comment certains OVNIS peuvent apparaître à côté de nos installations nucléaires, faire des choses étranges, puis sauter à des vitesses hypersoniques sans aucune source de kérosène visible et manœuvrer de manière à déchirer les avions de combat les plus maniables. Oh, et sur ce point de manœuvre, faites-le avec une réponse apparemment intelligente au mouvement des avions envoyés pour les intercepter. Si elles opéraient dans un but hostile, ces capacités rendraient les efforts défensifs de l'armée américaine aussi viables qu'un glaçon sur la face du soleil. Etant donné que la Russie, et probablement la Chine, essaient de reproduire des technologies OVNI, ceux qui ont juré de nous défendre voient une certaine vertu à garder ce qui est largement inconnu. Cela ne veut pas dire que personne ne parlera de cette question. Oui, des individus comme le pilote de F18 Fravor parleront de ce qu'ils ont vu et vécu. Mais si vous parlez de l'analyse gouvernementale des OVNIS, je vous garantis que cela sera officieux. Tout le reste sera compliqué ou en sourdine, au mieux. Un exemple de cette dynamique peut être vu par la réponse que j'ai reçue en août dernier lorsque j'ai interrogé l'ancien secrétaire à la Défense Jim Mattis sur les rencontres d'OVNIS dans la marine et sur un autre problème sans rapport. Mattis m'a donné une réponse simple mais sérieuse. "Ce sont des problèmes qui méritent plus de temps que je ne peux leur donner tout à l'heure." «Mériter plus de temps» ne se traduit pas exactement par «couper le discours fou». Qu'en est-il de l'idée qu'aucun journaliste sérieux ne couvre cette question? Eh bien, le New York Times mis à part, cela ne se cumule tout simplement pas. Outre les nombreux journalistes amateurs tels que Danny Silva qui font un excellent travail sur cette question, il y a des journalistes de la sécurité nationale tels que Bryan Bender de Politico, JD Simkins du Military Times et l'équipe de la section "War Zone" de Drive. Contesté sur ce point, Kloor a suggéré que les journalistes de la sécurité nationale du Drive ne sont pas réellement des journalistes (ils le sont, en fait). Mais la vérité sous-jacente est que les journalistes sérieux prennent cela au sérieux non parce qu '"ils veulent croire", mais parce que les OVNIS de la Marine, et un bon nombre d'autres incidents d'OVNI, ne peuvent tout simplement pas être expliqués avec ce que Kloor appelle des "explications prosaïques". Ces cas sont convaincants précisément parce que les théories conventionnelles ont été éliminées. Pourtant, l'argument de Kloor est problématique même là où il semble le plus fort. Kloor attaque l'ancien chef de l'ancien bras OVNI du Pentagone, Luiz Elizondo, pour ses commentaires à Tucker Carlson de Fox News selon lesquels le gouvernement américain possède des matériaux OVNIS. Kloor déforme Elizondo en disant qu'il "a dit à Carlson qu'il croyait que le gouvernement américain était en possession d'un véritable OVNI." Mais ce que Elizondo a dit en fait, c'est que le gouvernement américain a des matériaux exotiques sur les ovnis. Et en ce qui concerne les débris, mon propre travail d'enquête m'amène à être convaincu que c'est vrai. Où cela nous laisse-t-il? Eh bien, avec la conclusion confiante que la plupart des OVNIS sont des nuages, des avions ou, oui, des ballons. Mais certains ne le sont pas et sont plutôt extraordinaires. Sur quelle planète les journalistes devraient-ils vouloir ignorer quelque chose d'aussi déroutant mais prospectivement conséquent?

  • Gouvernement/OVNIs : Le secret

    Traduction MUFON France by Tom Rogan / Washington Examiner En 2017, le New York Times a dévoilé l'histoire étonnante d'un programme secret du Pentagone pour étudier des objets volants non identifiés. Cette histoire m'a amené à me plonger dans ce monde étrange. J'ai appris des trucs intéressants sur les OVNIS («phénomènes aériens non identifiés», ou «UAP», comme le Pentagone les appelle) depuis lors. Mais il y a un problème. Le gouvernement des États-Unis rend très difficile de savoir quoi et où se passe les trucs liés aux OVNIS. Est-ce parce que le gouvernement est derrière une grande conspiration pour dissimuler la preuve de la visite extraterrestre sur Terre? Est-ce parce que le gouvernement est de mèche avec les espèces exotiques pour créer des hybrides humains-exotiques? Peut-être, mais je suppose que non. Je crois que ce qui se passe vraiment ici, c'est que les quelques personnes au sein du gouvernement américain qui connaissent ce problème croient que le phénomène pourrait être une menace. Et qu'ils ne savent pas comment y faire face. Alors, qu'est-ce qui fait la peur du gouvernement? Eh bien, tout d'abord, la question nucléaire. Si vous interrogez un représentant du Pentagone sur un incident OVNI spécifique, comme je l'ai fait la semaine dernière la semaine dernière, vous obtiendrez une réponse ennuyeuse comme: "Nos aviateurs s'entraînent pendant qu'ils combattent. Toute intrusion qui peut compromettre la sécurité de nos opérations, tactiques, ou les procédures sont très préoccupantes. Comme l'enquête sur les observations de phénomènes aériens non identifiés est en cours, nous ne discuterons pas des rapports d'observation individuels ou des observations. " Par «aviateurs», le Pentagone fait référence à la fréquence particulière avec laquelle les ovnis ont tendance à interagir avec les aviateurs navals américains opérant à partir de porte-avions. Mais ce que le Pentagone laisse de côté, c'est pourquoi les OVNIS ont tendance à se heurter à ces aviateurs navals. Et cela va au cœur de la raison pour laquelle le Pentagone est préoccupé par les ovnis. Parce que l'évaluation du gouvernement, bien qu'il ne l'admette pas, est que les OVNIS surgissent près des porte-avions parce que ces porte-avions sont à propulsion nucléaire. Notez également que les OVNIS aiment également apparaître près des sous-marins nucléaires et des bases d'armes nucléaires de l'armée de l'air. Reconnaissez maintenant que ce paradigme se produit depuis les opérations du projet Manhattan à Los Alamos, au Nouveau-Mexique, ainsi que sur des sites nucléaires en Union soviétique et en Russie. Oh, et comme Robert Hastings le documente, ces ovnis ont parfois même temporairement arrêté les systèmes d'armes nucléaires américains. Intéressant, non? Rappelez-vous maintenant ce que je viens de dire: le phénomène OVNI moderne se déroule vraiment exactement en même temps que le projet Manhattan. La perfection de l'énergie nucléaire de l'humanité a-t-elle piqué la curiosité de quelqu'un ou de quelque chose en nous? Ne vous méprenez pas. Cela ne veut pas dire que ces OVNIS sont hostiles (même s'il faut noter que les formes, les comportements et les modèles de capacité divergents des OVNIS suggèrent plus d'une source d'origine). Au contraire, les OVNIS semblent être assez amicaux, sauf lorsque des équipages russes plutôt mal avisés tentent de les engager. Mais faites comme si vous étiez un officier supérieur de l'armée ou du renseignement. Vous voyez le point de connexion nucléaire, et vous êtes frappé par quelque chose d'étrange qui se passe. Maintenant, ajoutez au problème nucléaire que certains OVNIS sont des machines intelligemment actionnées capables d'atteindre instantanément des vitesses hypersoniques. Oh, et qu'ils sont également capables d'anti-gravité et d'invisibilité, et qu'ils ont été suivis se déplaçant dans et hors de l'orbite terrestre, de l'atmosphère et sous l'eau. Soudainement, vous avez quelque chose qui fait que les capacités les plus avancées de l'armée américaine, et celles de toutes les autres militaires sur Terre, ressemblent à une blague absurde en comparaison. Il vous reste une conclusion désagréable: si tout ce qui contrôle ces choses a l'intention de nuire, nous n'avons aucune chance. Encore une fois, mettez-vous à la place de l'officier militaire. Quelque chose a montré à plusieurs reprises qu'il pouvait facilement trouver des groupes d'attaque de porte-avions, qui sont conçus et exploités pour être cachés dans les océans lointains, et pour trouver des sous-marins de missiles balistiques nucléaires fonctionnant presque totalement silencieux profondément sous l'eau. Quelque chose peut pénétrer les zones les mieux gardées des zones les plus importantes de l'armée américaine et rendre improbables nos plates-formes de dissuasion les plus critiques. Pour les planificateurs du Pentagone, il s'agit de trucs de niveau Armageddon. Mais la vérité est claire: s'il le voulait, quelque chose d'étrange pourrait vaincre l'Amérique sans faire transpirer. L'extension est que même si le gouvernement américain croit, comme il le fait, que ces OVNI ne sont ni chinois ni russes, publier le problème lui-même risque un autre danger. À savoir que si les États-Unis partagent ce qu'ils savent sur les OVNIS, la Chine ou la Russie (le gouvernement russe est depuis longtemps très intéressé par les OVNIS) pourraient en apprendre suffisamment pour reproduire les technologies associées derrière les OVNIS pour eux-mêmes. Et comme ces technologies sont presque certainement construites autour de la manipulation de l'espace-temps, si Pékin ou Moscou le découvrent avant les États-Unis, nous avons un problème assez important. Cela ne veut pas dire que le gouvernement américain reste inactif. Quoi que l'on pense des affirmations de ceux comme Bob Lazar, qui dit qu'il a travaillé sur des OVNIS écrasés dans la zone 51, et je ne suis pas convaincu de son histoire, les agences gouvernementales civiles et militaires conservent des programmes actifs pour déterminer la source, les capacités et l'intention des OVNIS. En effet, au moins une partie du matériel provenant d'ovnis écrasés est en possession du gouvernement américain. Ne comptez tout simplement pas sur l'armée pour partager davantage de ce qu'elle sait de sitôt. Leur compréhension des phénomènes et leurs instincts professionnels pèsent lourdement vers plus de secret. Et les politiciens? Le président Trump a admis qu'il avait été informé des ovnis, et les présidents George W. Bush et Barack Obama l'étaient probablement aussi. Il est intéressant de noter que lorsqu'on leur a posé des questions à ce sujet, les deux anciens présidents se lancent dans des blagues non négatives. Mais comme ils ont peu de bonnes réponses, ils pensent probablement qu'il ne sert à rien d'effrayer les gens et de cicatriser les normes sociales en l'absence de solution. Où cela nous laisse-t-il? Nous devrons continuer à pousser le problème. Mais aussi avec confiance. Cela prendra du temps, mais nous finirons par découvrir la vérité. Après tout, les OVNIS continuent d'apparaître. Et compte tenu de leur capacité à se dissimuler, il n'y a qu'une seule réponse évidente pour expliquer pourquoi ils se sont laissés voir. Au moins parfois, ils veulent être vus.

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