top of page

Rechercher dans le site

668 résultats trouvés avec une recherche vide

  • De nombreux rapports militaires d'OVNI ne sont que de l'espionnage étranger ou des déchets aériens.

    Traduit par le MUFON France, par Julian E. Barnes Oubliez les extraterrestres ou la technologie hypersonique ; les évaluations classifiées montrent que de nombreux épisodes ont des explications ordinaires. WASHINGTON - Les responsables gouvernementaux pensent que les opérations de surveillance menées par des puissances étrangères et les ballons météorologiques ou autres déchets aériens expliquent la plupart des incidents récents de phénomènes aériens non identifiés - le terme gouvernemental pour les OVNI - ainsi que de nombreux épisodes des années passées. Ces observations ont intrigué le Pentagone et les agences de renseignement pendant des années, alimentant des théories sur la visite d'extraterrestres et l'espionnage par une nation hostile utilisant une technologie avancée. Mais les responsables gouvernementaux affirment que de nombreux incidents ont des explications beaucoup plus ordinaires. Les agences de renseignement doivent remettre au Congrès, d'ici lundi, un document classifié mettant à jour un rapport rendu public l'année dernière, selon lequel presque tous les incidents restent inexpliqués. Le document original portait sur 144 incidents survenus entre 2004 et 2021 et signalés par des sources gouvernementales américaines, principalement des militaires américains. Cet article est basé sur des entretiens avec des responsables américains connaissant les conclusions de l'examen des incidents par le Pentagone et les agences de renseignement. Les responsables ont parlé sous couvert de l'anonymat pour discuter des travaux classifiés. Certains des incidents ont été officiellement attribués à la surveillance chinoise - avec une technologie de drone relativement ordinaire - et d'autres seraient également liés à Pékin. La Chine, qui a volé des plans d'avions de combat avancés, veut en savoir plus sur la façon dont les États-Unis forment leurs pilotes militaires, selon des responsables américains. La plupart des informations sur les phénomènes non identifiés restent classifiées. Si le Congrès a été informé de certaines des conclusions sur la surveillance étrangère, les responsables du Pentagone ont gardé la plupart des travaux secrets - en grande partie parce qu'ils ne veulent pas que la Chine ou d'autres pays sachent que leurs efforts pour espionner l'armée américaine ont été détectés. Mais un tel secret officiel a un coût, car il permet aux théories de la conspiration sur les mensonges du gouvernement de se développer sans être contrôlées. Sue Gough, porte-parole du ministère de la Défense, a déclaré que le Pentagone reste attaché aux principes d'ouverture, mais qu'il doit trouver un équilibre avec "son obligation de protéger les informations, les sources et les méthodes sensibles". Bien que le Pentagone n'entende pas "tirer des conclusions hâtives de notre analyse", a déclaré Mme Gough, aucune explication unique ne permet de répondre à la majorité des rapports sur les phénomènes aériens non identifiés. "Nous recueillons autant de données que possible, nous suivons les données là où elles mènent et nous partagerons nos conclusions chaque fois que possible", a-t-elle déclaré. Il n'a pas été précisé dans quelle mesure le nouveau rapport des services de renseignement serait rendu public. Mais parmi les cas qui ont été résolus, la plupart se sont avérés être soit des déchets errants dans le ciel, comme des ballons, soit des activités de surveillance, ont déclaré les responsables. Les incidents enregistrés l'année dernière, pour lesquels davantage de données ont été collectées, se sont avérés avoir des explications terrestres ordinaires. Officiellement, de nombreux incidents plus anciens restent inexpliqués et les données sont trop peu nombreuses pour que les responsables du Pentagone ou des services de renseignement puissent tirer des conclusions définitives. Dans de nombreux cas, les phénomènes observés sont classés comme "non identifiés" simplement parce que les capteurs n'ont pas été en mesure de recueillir suffisamment d'informations pour permettre une attribution positive", a déclaré Mme Gough, faisant référence aux caméras, aux radars et aux autres dispositifs qui recueillent des informations. "Nous travaillons à atténuer ces lacunes à l'avenir et à nous assurer que nous disposons de suffisamment de données pour notre analyse." D'autres responsables insistent sur le fait que même si les preuves sont imparfaites, les vidéos granuleuses ne montrent pas d'extraterrestres de l'espace. Les illusions d'optique ainsi que les caractéristiques des capteurs classifiés ont fait en sorte que des objets ordinaires, comme des drones ou des ballons, apparaissent comme quelque chose d'inhabituel ou d'effrayant. En mai, le Pentagone a annoncé que les images précédemment publiées de triangles verts qui semblaient être des vaisseaux extraterrestres étaient en fait des drones photographiés à travers des lentilles de vision nocturne. Les responsables militaires ont refusé de dire précisément quand et où les images ont été prises. Mais ils pensent que ces incidents sont des exemples de tentatives de surveillance de manœuvres militaires. Les sceptiques de l'UFO et les experts en optique affirment depuis longtemps que de nombreuses vidéos et observations faites par des aviateurs de la marine sont des illusions d'optique qui font apparaître des objets ordinaires - ballons météorologiques, drones commerciaux - comme se déplaçant plus vite que possible. Les responsables militaires sont en grande partie arrivés à la même conclusion. Outre les images des triangles verts, les autres enregistrements publiés par le Pentagone n'ont pas été classés comme des incidents de surveillance, du moins jusqu'à présent. Mais les responsables du Pentagone ne pensent pas non plus qu'aucun d'entre eux représente des extraterrestres. L'une des vidéos, baptisée GoFast, semble montrer un objet se déplaçant à une vitesse immense. Mais selon une analyse de l'armée, il s'agit d'une illusion créée par l'angle d'observation par rapport à l'eau. Selon les calculs du Pentagone, l'objet ne se déplace qu'à environ 30 miles par heure. Une autre vidéo, appelée Gimbal, montre un objet qui semble tourner ou tournoyer. Les responsables militaires pensent désormais que c'est l'optique du capteur d'images classifié, conçu pour aider à cibler les armes, qui donne l'impression que l'objet se déplace de manière étrange. Les analystes militaires restent perplexes quant à la troisième vidéo, connue sous le nom de Flir1. L'objet capturé dans la vidéo de 2004 semble planer au-dessus de l'eau, sauter de façon erratique, puis s'éloigner. Les responsables militaires affirment que cet événement est plus difficile à expliquer, mais les fonctionnaires qui l'ont étudié sont convaincus qu'il ne s'agit pas d'un élément de technologie extraterrestre. Néanmoins, les efforts du Pentagone ou des responsables des services de renseignement pour éradiquer les théories sur les extraterrestres ont largement échoué. Le Pentagone a formé, puis reformé, des groupes au sein du département pour améliorer la collecte de données sur les incidents et fournir de meilleures explications. Les responsables militaires ont déclaré à plusieurs reprises qu'il n'y avait aucune preuve que l'une des images montrait des visiteurs extraterrestres, des commentaires souvent minimisés par les médias ou ignorés par les législateurs. En mai, des responsables du Pentagone ont déclaré sous serment que le gouvernement n'avait pas recueilli de matériaux provenant d'un atterrissage extraterrestre sur Terre. Mais ce témoignage n'a guère contribué à refroidir l'enthousiasme pour les théories sur les visiteurs extraterrestres. Publiquement, les responsables de l'armée et des services de renseignement ont été réticents à proposer des théories alternatives, en partie parce qu'ils ne disposent pas d'informations complètes, comme dans le cas des trois vidéos, ou parce qu'ils ne veulent pas révéler ce qu'ils savent de la surveillance, de peur que la Chine ou d'autres pays n'apprennent à mieux cacher leurs activités. L'incapacité à catégoriser ou à expliquer nombre d'incidents non identifiés a permis aux adeptes de l'OVNI d'affirmer que le gouvernement ne sait pas de quoi il s'agit - laissant ainsi ouverte la possibilité que des extraterrestres visitent les États-Unis. Le gouvernement américain utilise depuis longtemps les spéculations sur les théories de la conspiration pour empêcher que des secrets ne soient largement connus. Pendant le développement des avions espions américains comme le U-2 et le SR-71 Blackbird, le gouvernement a laissé les rumeurs sur les observations d'OVNI se poursuivre pour aider à cacher le développement de ces programmes. Mais les responsables des services de renseignement ont conclu il y a longtemps que l'utilisation de théories de la conspiration pour couvrir des programmes classifiés suscite la méfiance à l'égard du gouvernement américain et la paranoïa. Certains responsables américains pensent que le secret entourant la surveillance chinoise des bases militaires risque une fois de plus de donner vie aux théories du complot et d'accroître la méfiance à l'égard du gouvernement dans une société de plus en plus divisée. Lors de l'audition de mai, le Pentagone a déclassifié les conclusions concernant deux images distinctes de triangles verts fantomatiques enregistrées lors de deux incidents, l'un sur la côte Est et l'autre sur la côte Ouest. Des responsables ont déclaré publiquement que les triangles verts étaient en fait des drones, qu'une astuce de l'objectif de la caméra et la technologie de vision nocturne transformaient en triangles lumineux ressemblant à des vaisseaux spatiaux extraterrestres. Lors de l'audience, d'autres moyens militaires ont vu des drones opérer dans la zone, ce qui a permis à la Marine de conclure que les étranges triangles n'avaient rien d'extraterrestre, a déclaré Scott W. Bray, directeur adjoint du renseignement naval. Lors de l'audition, M. Bray a également expliqué pourquoi le gouvernement ne publiait pas davantage d'informations sur ces incidents. "Nous ne voulons pas que des adversaires potentiels sachent exactement ce que nous sommes capables de voir ou de comprendre, ou comment nous arrivons à la conclusion", a déclaré M. Bray. "Par conséquent, les divulgations doivent être soigneusement examinées au cas par cas." Pour témoigner auprès du MUFON c'est ici ! Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon #pentagone

  • Appel à témoin secteur Somain (59)

    Nous lançons un appel à témoin pour une observation d'objets inhabituels en avril 2014 en soirée dans le secteur de Somain (département du Nord). Si vous avez été témoin d'un phénomène inhabituel, merci de nous contacter via notre formulaire https://www.mufonfrance.fr/ovni ou par mail temoignage@mufonfrance.fr. Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon #appelatemoin

  • La NASA annonce les membres de l'équipe d'étude des phénomènes aériens non identifiés

    Traduit par le MUFON France, communiqué de la NASA La NASA a sélectionné 16 personnes pour participer à son équipe d'étude indépendante sur les phénomènes aériens non identifiés (UAP). Les observations d'événements dans le ciel qui ne peuvent être identifiés comme des aéronefs ou des phénomènes naturels connus sont classées comme des UAP. L'étude indépendante débutera le lundi 24 octobre. Au cours des neuf mois que durera l'étude indépendante, l'équipe jettera les bases d'une étude future sur la nature des UAP pour la NASA et d'autres organisations. Pour ce faire, l'équipe identifiera comment les données recueillies par les entités gouvernementales civiles, les données commerciales et les données provenant d'autres sources peuvent potentiellement être analysées pour faire la lumière sur les UAPs. Elle recommandera ensuite une feuille de route pour l'analyse potentielle des données UAP par l'agence à l'avenir. L'étude se concentrera uniquement sur les données non classifiées. Un rapport complet contenant les conclusions de l'équipe sera rendu public à la mi-2023. "L'exploration de l'inconnu dans l'espace et l'atmosphère est au cœur de ce que nous sommes à la NASA", a déclaré Thomas Zurbuchen, administrateur associé du Science Mission Directorate au siège de la NASA à Washington. "La compréhension des données dont nous disposons autour des phénomènes aériens non identifiés est essentielle pour nous aider à tirer des conclusions scientifiques sur ce qui se passe dans nos cieux. Les données sont le langage des scientifiques et rendent l'inexplicable, explicable." Les phénomènes aériens non identifiés présentent un intérêt tant pour la sécurité nationale que pour la sécurité aérienne et l'étude s'aligne sur l'un des objectifs de la NASA, qui est d'assurer la sécurité des avions. Sans accès à un vaste ensemble de données, il est presque impossible de vérifier ou d'expliquer une observation. L'objectif de l'étude est donc d'informer la NASA des données qui pourraient être collectées à l'avenir pour discerner scientifiquement la nature des UAP. Le responsable de la NASA chargé d'orchestrer l'étude est Daniel Evans, administrateur adjoint délégué à la recherche au Science Mission Directorate de la NASA. Comme annoncé précédemment, l'équipe d'étude indépendante est présidée par David Spergel, président de la Simons Foundation. "La NASA a réuni certains des plus grands scientifiques du monde, des praticiens des données et de l'intelligence artificielle, des experts en sécurité aérospatiale, tous avec une charge spécifique, qui est de nous dire comment appliquer toute l'attention de la science et des données à l'UAP", a déclaré Evans. "Les conclusions seront rendues publiques en lien avec les principes de transparence, d'ouverture et d'intégrité scientifique de la NASA." Les membres de l'équipe d'étude indépendante de la NASA sur les phénomènes aériens non identifiés sont : David Spergel a été choisi pour présider l'étude indépendante de la NASA sur les phénomènes aériens non identifiés. Il est président de la Simons Foundation, dont il a été le directeur fondateur du Flatiron Institute for Computational Astrophysics. Ses intérêts vont de la recherche de planètes et d'étoiles proches à la forme de l'univers. Il a mesuré l'âge, la forme et la composition de l'univers et a joué un rôle clé dans l'établissement du modèle standard de la cosmologie. Boursier MacArthur "Genius", M. Spergel a été cité plus de 100 000 fois dans ses publications. Anamaria Berea est professeur associé de sciences informatiques et de données à l'université George Mason de Fairfax, en Virginie. Elle est affiliée à l'Institut SETI à Mountain View, en Californie, et chercheuse au Blue Marble Space Institute of Science à Seattle. Ses recherches portent sur l'émergence de la communication dans les systèmes vivants complexes et sur les applications de la science des données en astrobiologie, pour la science des biosignatures et des technosignatures. Elle utilise un large éventail de méthodes computationnelles pour découvrir des modèles fondamentaux dans les données. Federica Bianco est professeur à l'université du Delaware, au département de physique et d'astrophysique, à la Biden School of Public Policy and Administration et à l'Urban Observatory. Elle est une scientifique pluridisciplinaire qui s'attache à utiliser la science des données pour étudier l'univers et trouver des solutions aux problèmes urbains sur terre. Elle coordonne également plus de 1 500 scientifiques pour la collaboration scientifique du Large Synoptic Survey Telescope de 2023, qui vise à étudier le ciel nocturne dans l'hémisphère sud et à découvrir de nouvelles galaxies et étoiles. Elle a publié plus de 100 articles dans des revues à comité de lecture et a reçu une bourse du ministère de l'énergie pour le "Développement innovant dans les sciences appliquées liées à l'énergie". Paula Bontempi est océanographe biologique depuis plus de 25 ans. Elle est le sixième doyen et la deuxième femme à diriger la Graduate School of Oceanography de l'université de Rhode Island (URI). Elle est également professeur d'océanographie à l'URI. Elle a passé dix-huit ans à la NASA et a été nommée directrice adjointe par intérim de la division des sciences de la Terre de la NASA pour la direction de la mission scientifique. Elle a également dirigé les recherches de la NASA sur la biologie océanique, la biogéochimie, le cycle du carbone et les écosystèmes, ainsi que de nombreuses missions de satellites d'observation de la Terre de la NASA dans le domaine des sciences marines. Elle est membre de la Société d'océanographie. Reggie Brothers est le partenaire opérationnel de AE Industrial Partners à Boca Raton, en Floride. Il était auparavant PDG et membre du conseil d'administration de BigBear.ai à Columbia, dans le Maryland. Il a également été vice-président exécutif et directeur de la technologie de Peraton, ainsi que directeur du Chertoff Group. Avant de travailler dans le secteur privé, il a été sous-secrétaire aux sciences et à la technologie au ministère américain de la sécurité intérieure et sous-secrétaire adjoint à la recherche au ministère de la défense. M. Brothers est également Distinguished Fellow au Center for Security and Emerging Technology de Georgetown et il est membre du Visiting Committee for Sponsored Research du Massachusetts Institute of Technology (MIT) à Cambridge, Massachusetts. Jen Buss est la PDG du Potomac Institute of Policy Studies à Arlington, en Virginie. Avant de devenir PDG, Mme Buss a beaucoup travaillé avec la NASA pour explorer les questions de politique et les processus de planification stratégique pour les soins médicaux des astronautes et les diagnostics et thérapies du cancer. Elle est reconnue au niveau national comme une autorité dans son domaine pour l'analyse des tendances scientifiques et technologiques et les solutions politiques. Nadia Drake est journaliste scientifique indépendante et collaboratrice du National Geographic. Elle écrit également régulièrement pour Scientific American, et se spécialise dans la couverture de l'astronomie, de l'astrophysique, des sciences planétaires et des jungles. Elle a remporté des prix de journalisme pour son travail dans National Geographic, notamment le prix David N. Schramm de la division d'astrophysique à haute énergie de l'American Astronomical Society et le prix Jonathan Eberhart de la division des sciences planétaires de l'AAS. Drake est titulaire d'un doctorat en génétique de l'université Cornell. Mike Gold est le vice-président exécutif de l'espace civil et des affaires extérieures chez Redwire à Jacksonville, en Floride. Avant de rejoindre Redwire, Mike Gold a occupé plusieurs postes de direction à la NASA, notamment celui d'administrateur associé pour la politique spatiale et les partenariats, d'administrateur associé par intérim pour le bureau des relations internationales et interagences et de conseiller principal de l'administrateur pour les affaires internationales et juridiques. Il a dirigé pour la NASA, conjointement avec le département d'État, la création et l'exécution des accords d'Artémis, qui ont établi les normes de comportement dans l'espace. Il a également dirigé la négociation et l'adoption d'accords internationaux contraignants pour la Porte lunaire, la création de nouveaux protocoles planétaires et le premier achat par la NASA d'une ressource lunaire. Gold s'est vu décerner la médaille de leadership exceptionnel de la NASA pour son travail en 2020.En outre, Gold a été nommé par le secrétaire américain aux transports pour présider le comité consultatif sur le transport spatial commercial de 2012 jusqu'à son arrivée à la NASA en 2019. David Grinspoon est un scientifique senior au Planetary Science Institute à Tuscon, en Arizona, et conseille fréquemment la NASA sur l'exploration spatiale. Il fait partie des équipes scientifiques de plusieurs missions spatiales interplanétaires, notamment la mission DAVINCI vers Vénus. Il est l'ancien titulaire de la chaire inaugurale Baruch S. Blumberg NASA/Bibliothèque du Congrès en astrobiologie. Ses recherches portent sur la planétologie comparative, notamment en ce qui concerne l'évolution du climat et les implications de l'habitabilité des planètes semblables à la Terre. L'American Astronomical Society lui a décerné la médaille Carl Sagan et il est membre élu de l'American Association for the Advancement of Science. Il est également professeur adjoint d'astrophysique et de sciences planétaires à l'université du Colorado à Boulder, dans le Colorado, ainsi qu'à l'université de Georgetown à Washington. Scott Kelly est un ancien astronaute de la NASA, pilote d'essai, pilote de chasse et capitaine retraité de la marine américaine. Il a commandé les expéditions 26, 45 et 46 de la Station spatiale internationale. Il a également été le pilote de la navette spatiale Discovery pour la troisième mission d'entretien de Hubble. Il a été sélectionné pour une mission d'un an dans la station spatiale où il a établi le record de l'époque pour le nombre total de jours passés dans l'espace. Avant de rejoindre la NASA, Kelly a été le premier pilote à piloter le F-14 avec un nouveau système de contrôle de vol numérique. Il a piloté le F-14 Tomcat dans l'escadron de chasseurs VF-143 à bord du USS Dwight D. Eisenhower. Il est un auteur à succès du New York Times à deux reprises et a été reconnu par le magazine Time en 2015 comme l'une des personnes les plus influentes au monde. Matt Mountain est le président de l'Association des universités pour la recherche et l'astronomie, connue sous le nom d'AURA. Au sein de l'AURA, Matt Mountain supervise un consortium de 44 universités nationales et de quatre filiales internationales qui aident la NASA et la National Science Foundation à construire et à exploiter des observatoires, notamment le télescope Hubble et le télescope spatial James Webb de la NASA. Il est également scientifique pour le télescope Webb et membre de son groupe de travail scientifique. Il est l'ancien directeur du Space Telescope Science Institute à Baltimore et de l'Observatoire international Gemini à Hilo, Hawaï. Warren Randolph est le directeur exécutif adjoint du département des enquêtes sur les accidents et de la prévention de la sécurité aérienne de la Federal Aviation Administration. Il possède une vaste expérience de la sécurité aérienne au sein de la Federal Aviation Administration (FAA) et est actuellement chargé de définir et de mettre en œuvre les principes du système de gestion de la sécurité et d'utiliser les données pour informer l'évaluation des dangers futurs et des risques émergents en matière de sécurité. Avant d'entrer à la FAA, M. Randolph a travaillé comme aérodynamicien pour la Garde côtière américaine et l'armée de l'air américaine dans le cadre de multiples simulations de vol. Walter Scott est le vice-président exécutif et directeur de la technologie de Maxar à Westminster, Colorado, une entreprise de technologie spatiale spécialisée dans l'intelligence terrestre et l'infrastructure spatiale. En 1992, il a fondé DigitalGlobe, qui a été intégrée à Maxar en 2017. Il a occupé des postes de direction au Lawrence Livermore National Laboratory à Livermore, en Californie, et a été le président de Scott Consulting. En 2021, il a été intronisé à la conférence David W. Thompson sur le commerce spatial par l'American Institute of Aeronautics and Astronautics. Joshua Semeter est professeur d'ingénierie électrique et informatique, ainsi que directeur du Centre de physique spatiale de l'université de Boston. À l'université de Boston, il mène des recherches sur les interactions entre l'ionosphère terrestre et l'environnement spatial. Les activités du laboratoire de M. Semeter comprennent le développement de technologies de capteurs optiques et magnétiques, la conception d'expériences radar et le traitement des signaux, ainsi que l'application de techniques tomographiques et d'autres techniques d'inversion à l'analyse de mesures distribuées et multimodes de l'environnement spatial. Karlin Toner est la directrice exécutive par intérim de l'Office of Aviation Policy and Plans de la FAA. Auparavant, elle a occupé le poste de directrice de la stratégie mondiale de la FAA, où elle a dirigé la stratégie internationale de la FAA et géré les menaces pesant sur l'aviation civile internationale. Avant de rejoindre la FAA, Mme Toner a occupé plusieurs postes de direction à la NASA, notamment celui de directrice du programme des systèmes d'espace aérien au siège de la NASA. Elle a reçu la médaille pour réalisations exceptionnelles de la NASA et est membre associé de l'American Institute of Aeronautics and Astronautics. Shelley Wright est professeur associé de physique au Center for Astrophysics and Space Studies de l'université de Californie à San Diego. Elle est spécialisée dans les galaxies, les trous noirs supermassifs et la construction d'instruments optiques et infrarouges pour les télescopes utilisant l'optique adaptative tels que les spectrographes à champ intégral. Elle est chercheuse et instrumentiste dans le cadre du programme SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence). Elle est également la chercheuse principale du laboratoire optique infrarouge de l'UC San Diego. Auparavant, elle était professeur adjoint à l'Institut Dunlap de l'Université de Toronto. Pour témoigner auprès du MUFON c'est ici ! Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon

  • Les machines autonomes les terriens y arrivent pas à pas, d’autres ont -ils déjà franchis ce cap??

    Par Matisse sylvain – MUFON France – le 20/10/2022. J’ai longtemps exprimé plus ou moins en détail cette alternative au travers de mes écrits, billets blog, articles ou de mes ouvrages concernant les OVNIS et les OANIS que les américains nomment "engins ou vaisseaux trans médium", c’est à dire des choses capables de se mouvoir dans tout type d’environnements , du moins au sein de notre planète. L’idée est d’obtenir des machines, des armes, des vaisseaux autonomes ayant la capacité de changer de forme, de s’auto réparer ou s’auto régénérer tout seul, ceci à l’aide de matériaux ou de méta matériaux et de les combiner avec de l’intelligence artificielle. Pour l’heure nous n’en serions qu’en état de recherches, notamment côté américains et japonais. C’est en outre un sujet plus ou moins abordé par la SF ( Science Fiction) avec les fameux «auto -répliquant». Cette idée plutôt lugubre ne fascine pas, mais alors pas du tout le petit univers de l’ufologie ! Alors préfèrent – ils penser que c’est inutile d’introduire cette option dans nos dossiers ufologiques bien consistants ? Si l’on reprend ce paragraphe tiré de cet article : Des chercheurs mettent au point un matériau intelligent, capable d’adapter ses propriétés physiques selon la situation Écrit par Fleur Brosseau·20 octobre 2022 « Imaginez un avion dont les ailes se transforment de façon autonome pendant le vol pour limiter les turbulences et garantir une efficacité optimale. Si le concept revêt pour l’instant de la science-fiction, les recherches d’une équipe du Département de génie mécanique et aérospatial de l’Université de Californie, à Los Angeles, pourraient tout à fait conduire à ce type d’application. Ils ont en effet mis au point un matériau architecturé intelligent, capable d’apprendre à ajuster la rigidité des connexions entre ses composants selon les contraintes environnantes. » Nous imaginons sans beaucoup nous torturer les méninges, les desseins et la suite des éventements pour un certain futur. Notre futur, mais le présent d’autres ? Certes, à ce stade ceci ne répond pas aux questions relatives aux OVNIS/ OANIS ou aux spécimens trans médium à leur constitution exacte et leur faculté à se mouvoir dans l’espace avec ces manœuvres abruptes , changeant ou non de forme et ou de couleur aperçue par tant de témoins au sein de notre planète d’une décennie à une autre. Des «choses trans médium» ont ils été conçus ailleurs que dans notre monde, et est – ce certains d’entre eux qui s’introduisent dans notre espace aéronaval sur notre planète ? Peu importe, mais ceci doit impérativement attiser notre curiosité et suivre de près ces recherches et les nouvelles réalisations en termes de prouesses technologiques et techniques. Ceci figure parmi notre base de données qui autorise autant d’alternatives, avec un nombre incalculable de possibilités. Pour témoigner auprès du MUFON c'est ici ! Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon

  • COLLOQUE INTERNATIONAL DE RECHERCHE SUR LES PHÉNOMÈNES AÉROSPATIAUX NON IDENTIFIÉS.

    Par Matisse Sylvain MUFON France , le 17/10/2022. LE 16 Octobre 2022 de 10H à 20H00 a eu lieu un colloque international de recherche sur les phénomènes aérospatiaux non-identifiés (PAN). Cet événement a eu lieu en ligne. Vertical Project Media est une plateforme novatrice et fédératrice qui propose du contenu numérique et organise des événements publics tels que des colloques, des conférences et des ateliers en lien avec les thèmes liés aux domaines de la science et de la conscience. Les animateurs étaient: MARIE-FRANCE BARRAULT, NAGIB KARY, JEAN-PIERRE TROADEC . De prestigieux invités de renommée nationale et internationale intervenaient à tour de rôle pour exprimer leurs idées, leurs travaux, leurs opinions, etc.. Voici la liste des experts qui ont répondu présents pour honorer cette journée en s’exprimant : Abraham Loeb, habituellement nommé Avi Loeb , est un physicien théoricien américano-israélien. Il travaille dans les domaines de l'astrophysique et de la cosmologie. Il est également professeur dans les universités. Il avait été le plus ancien président du département d'astronomie de Harvard (2011-2020), directeur fondateur de la Harvard's Black Hole Initiative (depuis 2016) et directeur de l'Institute for Theory and Computation (depuis 2007) au sein du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics. Il est aussi auteur il a écrit huit livres et est l'auteur ou le co-auteur d'environ 800 articles sur un large éventail de domaines de recherche en astrophysique et en cosmologie, [ y compris les premières étoiles, l'époque de la ré ionisation, la formation et l'évolution des trous noirs massifs. , la recherche de vie extraterrestre, la lentille gravitationnelle des planètes, et il a proposé une théorie sur l’objet interstellaire ( Oumuamua ) dans son ouvrage intitulé : » Le Premier Signe d'une vie intelligente extraterrestre »- édition Seuil. Date de parution 28/01/2021 - 272 pages – EAN 9782021440416 ). Alexandre Sheldon-Duplaix, Historien et Chercheur au service historique de la Défense. Philippe Guillemant, Ingénieur-Physicien. Michael Vaillant, Informaticien/Consultant. Jacques Vallée, informaticien, astrophysicien. Luc Dini, Luc Dini, ingénieur de construction aéronautique, président de la Commission Sigma 2 qui étudie tous ces cas inexpliqués en France et partout dans le monde . Alain Juillet, est un haut fonctionnaire, dirigeant d’entreprise, conférencier, ancien directeur du renseignement de la DGSE (services secrets français). Après une carrière de 5 ans en tant qu’officierdans le groupe des commandos parachutistes du Service Action du SDECE, il rejoint le monde civil et passe de nombreux diplômes. En 2002,il est nommé à la direction du service renseignement de la DGSE à Paris. Vincent Costes, Responsable du GEIPAN, poste de chef de service au CNES avec une multitude d'interlocuteurs : management de l'équipe technique au CNES, coordination des activités du GEIPAN avec de nombreux institutionnels (Armée de l'air, Gendarmerie et Police Nationale, Direction de l'Aviation Civile, Météo-France, CNRS), organisation du comité de pilotage (Copeipan), animation de l'activité avec nos 20 enquêteurs bénévoles et nos 20 experts, communication et information sur notre site internet du GEIPAN et nombreux contacts médias. Vincent Costes, directeur du GEIPAN - Au CNES depuis 27 ans avec un parcours technique alternant programmes d’observation de la Terre, développements scientifiques et activités technologiques de R&D, ingénieur optique pour les grands projets d’observation de la Terre de très haute résolution HELIOS 2 puis PLEIADES, puis responsable système et performances du télescope d’astronomie COROT développé en maîtrise d’œuvre CNES en équipe intégrée avec plusieurs laboratoires du CNRS, dernièrement responsable des développements optiques permettant de disposer d’un télescope réglable en orbite de façon totalement autonome qui assure une rupture technologique importante pour les grands télescopes spatiaux du futur. Jean-François Clervoy. Jean François Clervoy est diplômé de l’école Polytechnique de Paris en 1981 et de l’école Nationale Supérieure de l'Aéronautique et de l'Espace à Toulouse en 1983. d'Essais et de Réception à Istres en 1987. Jean-François Clervoy est Ingénieur général de l'armement de la DGA (Délégation Générale de l'Armement auprès du CNES (Centre National d’études Spatiales) ). De 2001 à 2008, il est nommé astronaute de marque du projet ESA de ravitailleur spatial ATV (Automated Transfer Vehicle) aux Mureaux. Interview diffusée de Leslie Kean , une journaliste d'investigation et auteur qui est surtout connue pour ses livres sur les ovnis et l'au-delà. On lui doit la publication en 2017 des révélations faites par Luiz Elizondo concernant l’affaire du Nimitz en 2004 et du programme AATIP ( L'Advanced Aerospace Threat Identification Program ou AATIP (en français : programme d'identification des menaces aérospatiales avancées .) Une enquête secrète financée par le gouvernement des États-Unis et visant à étudier des objets volants non identifiés. Le programme a été rendu public le 16 décembre 2017 . Beaucoup de personnes ont écouté en direct ce colloque ( viso-conférence), parmi ces personnes des enquêteurs ufologues, des chercheurs indépendants, des organisations etc. Chaque intervenant a été intéressant avec un haut niveau technique, intellectuel . Des méthodes de travail, des cas d’OVNIS ont été épluchés par certains experts de ce rendez-vous qui fut instructif . Des procédés pour des enquêtes ont même été abordés . Des projets pour certains et de la recherche sans oublier la communication. Pour clore cet événement, une table ronde a été animée par Jean-Pierre Troadec qui posait aux intervenants des questions et notamment des questions posées par les internautes le long de la journée. Les intervenants ayant répondu . Cet événement fût une réussite dans la mesure ou les intervenants ont été respecté ,car ils n’ont pas été coupé par les animateurs lorsqu’ils avaient la parole. Ce fut une grande réunion avec des invités de qualité ,tous des professionnels ( voir leur CV ), ainsi nous avons pu avoir une vision la plus cartésienne possible concernant le sujet OVNI qui est déroutant et qui nous échappe , du moins pour les cas qui résistent à toute interprétation par rapport aux informations et nos connaissances actuelles, notamment en physique et en cosmologie. Des disciplines scientifiques ont été abordées , notamment l’astronomie et la physique très importantes pour ces énigmes, tout autant que la filière de l’aéronautique et leurs instruments. L’ufologie franchit un cap avec ce genre de réunion, celui de s’enrichir de connaissances techniques et de procédés lors d’une observation ou d’un témoignage laissé par un ou plusieurs témoins. En un mot l’ufologie de part son ouverture aux experts se rend crédible, à ces experts de ne pas trahir cette confiance. Ainsi, avec les recueils de témoignages amassés par les ufologues qu’ils auront pris soin d’épurer et les connaissances avec leurs moyens techniques de ces experts nous pourrons avancer. La recherche se doit d’obtenir des résultats. Le citoyen qu’il soit, témoin, enquêteur ou autre est en droit d’être informé sur la suite des événements liés directement ou indirectement aux PAN ( phénomènes Aériens Non-Identifiés, aux OANIS ‘ « Observations Aquatiques Non-Identifiées) et autres... Merci à l’organisation Vertical Project. Pour témoigner auprès du MUFON c'est ici ! Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon

  • Les observations de phénomènes ovnis sur l’île de la réunion

    Par Dominique Chane-Pin IRM pour le MUFON sur l'Ile de la Réunion La première observation remonterait à 1925 selon des sources*, c’est un habitant de la capitale de Saint-Denis qui observa une boule rouge d’un fort diamètre qui survola la ville et disparue dans l’océan. Ce cas ne fut pas reconnu. Mais en 1968 vient l’affaire des babas Michelin. La célèbre affaire des bonhommes Michelin: Le 31 juillet 1968 ; laisse des indices en plus de son observation. Monsieur Luce Fontaine, un agriculteur dit avoir vu un engin extraordinaire avec deux entités en scaphandre. Alors qu’il cueille des plantes pour ses lapins à la plaine des cafres, dans le sud de l’île ; il voit à vingt mètres un engin spatial avec deux entités en scaphandre qui le voit. Aussitôt il se met a courir mais un rayon le frappe. L’engin était bleu et blanc avec à son bord deux personnes qui mesuraient 90 cm. Il précisa bien que ses entités étaient bien dans un scaphandre. L’autre dimension la plus bizarre dans cette affaire est que l’on découvre de la radioactivité sur ses vêtements. Monsieur Luce Fontaine est maintenant décédé, mais des proches connaissent l’histoire et son voisinage également. La rencontre de Petite-Île La Réunion (1975) Cette année-là à la petite île, le 14 février 1975, Antoine Severin collectera plusieurs indices de son observation, mais quatre jours plus tôt sur la capitale de Saint-Denis, des gens observeront aussi une soucoupe volante. De 1975 à 1978, plusieurs observations se font sur l’île de la réunion. Il faut dire que depuis l’affaire des babas Michelin, la presse s’empare de ces observations. En 1977 un engin fit son apparition vers Saint-Gilles, sur la côte ouest de l’île de la réunion puis trois jours plus tard, c’est au large de Saint-Benoît où l’on observera des phénomènes d'ovnis. Un photographe de presse prit une photo d’un Boeing 747 en train de décoller de l’aéroport de Gillot à Saint-Denis et l’on vit sur cette photo un objet au-dessus de l’avion. Cette année 1977 fut, une année, forte en observations. En 1978, cent cinquante personnes, firent l’expérience d’observations d’ovni avec un phénomène qui était d’un bleu-vert très lumineux et c’était au théâtre de Saint-Gilles les hauts. Dans l’ouest de la réunion. 1981, les phénomènes sont encore présents sur l’île avec une boule aux lueurs vives au-dessus de l’hôpital de belle pierre à Saint-Denis. Ce sont des malades et du personnel qui firent cette observation. En 1982 un policier en faction devant la préfecture de Saint-Denis, observe plusieurs objets. À noter qu'à quelques mètres, se trouve l’océan indien. Direction 1984, du côté de l’ouest de la réunion : Plage de l’ermitage, plusieurs personnes observent un objet. Même année, plusieurs personnes observent un objet vers le volcan de la fournaise qui est en éruption. Deux observations bien distinctes. Une à la plaine des sables et l’autre au pas de Bellecombe par deux policiers. 1986 plusieurs observations dans le quartier de la Bretagne à Saint-Denis en juin et juillet. 1997, un livreur de pain de Saint-André dans l’est de l'île est suivis par une soucoupe volante avec un dôme. En 2000, plusieurs automobilistes observent un objet dans l’ouest de l’île vers la route du littoral dans le sens la possession vers Saint-Denis. Cet objet triangulaire tombe à l’eau en plein océan à deux cents mètres au large. En 2001, pendant une éclipse partielle du soleil, plusieurs lumières sont observées et qui ne sont pas des étoiles. 2002, l’affaire de la boule de feu qui tombe à la mer et qui fut observé également par des militaires. De 2002 à aujourd’hui 2022. Plusieurs observations se firent, passant par des boules de feu, des lumières, des ovnis, etc. En passant par l’affaire de Caroline relatée par le MUFON France, sur Saint-Denis ; la capitale de la Réunion. L’île de la Réunion possède tous les atouts pour plaire à ces phénomènes, entre mers, ciel, plaines, caserne militaires, aéroports. *sources : https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/il-y-50-ans-babas-michelin-debarquaient-reunion-612950.html http://ovni-extraterrestre.com/ovni-la-rencontre-de-petite-ile-la-reunion-1975 Pour témoigner auprès du MUFON c'est ici ! Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon

  • Selon un médecin légiste des tissus extraterrestres seraient cachés dans un centre médical militaire

    Traduit par le MUFON France, source Anthony Bragalia crédit photo : US Army Selon les affirmations d'un coroner américain qui travaillait au centre médical militaire national Walter Reed, des spécimens extraterrestres récupérés d'un accident d'OVNI sont stockés dans l'établissement. Selon Anthony Bragalia, l'affirmation a été faite par le Dr Chris Green, un éminent médecin légiste et vice-doyen de la Wayne State Medical School du Michigan, dont la carrière a commencé dans le service fédéral. En tant qu'analyste principal à la CIA, il a travaillé dans la division des neurosciences en 1969. En plus de détenir la Médaille nationale de l'intelligence, il est associé national à vie du Conseil national de la recherche de l'Académie nationale des sciences. De l'avis de Green, le Walter Reed Center est l'un des endroits les plus importants pour trouver des preuves de visites extraterrestres. Cela lui a été révélé directement par le meilleur médecin légiste du gouvernement, le Dr Charles Stahl. Stahl a eu une carrière distinguée s'étendant sur quatre décennies. Médecin légiste, il a été médecin légiste en chef des forces armées de la marine américaine de 1962 à 1964. Dans le domaine de la médecine légale, il est aujourd'hui reconnu comme le "parrain" du domaine, qui traite de l'examen des tissus corporels. Du personnel décédé, y compris les pilotes et autres militaires, à des fins de diagnostic ou médico-légales. Le Dr Green a ensuite été contacté par le chercheur Anthony Bragalia pour plus de détails. Au printemps 1978, Green a visité le centre médical militaire national Walter Reed pour des raisons professionnelles, où Stahl l'a escorté dans l'établissement. Les deux hommes se promenaient sur le campus en discutant de médecine lorsque Stahl se gara sur le parking, leva un bras, pointa le bâtiment de pathologie et marmonna quelque chose de sérieux. Selon l'article de Bragalia, Stahl a regardé Green dans les yeux et a dit : "C'est ici que les échantillons de tissus extraterrestres sont stockés." Green a déclaré que Stahl ne plaisantait pas. Maintenant, il est important à ce stade de mentionner que cet événement, qui semble ahurissant au premier abord, a eu lieu bien avant la publication de livres à la mode sur Roswell et les extraterrestres, et cela signifie qu'il est hautement improbable qu'une forme de complot ait pu se glisser. dans la conversation et dans les déclarations qui ont été faites. Pour Green, le Dr Stahl était très sérieux au sujet des échantillons. Source : Getty Images Dans ses mémoires, il se souvient avoir été silencieusement abasourdi, choqué et s'être senti privilégié. "J'aurais aimé en savoir plus, mais il ne voulait pas parler ", a-t-il déclaré. Le sujet fut repris quelque temps plus tard par Green à Stahl. Stahl a répondu: "J'aimerais entendre ce que vous avez appris sur l'affaire" (vraisemblablement d'autres sources). Compte tenu des antécédents de Stahl, il est compréhensible qu'il aurait été un acteur clé dans l'étude en cours des spécimens s'il avait su où le matériel extraterrestre était stocké. L'analyse des spécimens extraterrestres se serait poursuivie pendant des décennies même s'il n'était pas directement impliqué dans les conséquences de Roswell en 1947, car au moment de "l'événement", il était encore à l'école de médecine. Cependant, au fil des ans, de nouvelles technologies et techniques, qui seraient probablement applicables à des échantillons extraterrestres, lui permettraient de poursuivre les analyses pendant des années, voire des décennies. À l'époque de Stahl à Reed, de nombreux outils et techniques analytiques de pointe ont été développés, permettant d'étudier les molécules, les cellules et les tissus d'une manière jamais possible auparavant. Dans la référence de Stahl au "stockage de biomatériaux extraterrestres à Reed", il a appelé "échantillons de tissus", qui sont des cellules ou des fragments de tissus prélevés sur un organisme pour examen, analyse ou propagation. Le tissu extraterrestre aurait certainement des "anomalies", en supposant que les extraterrestres existent et ont des caractéristiques différentes de celles des humains, selon l'analyse des tissus. Charles Stahl Junior, le fils aîné de Stahl, a été localisé et interviewé par Bragalia dans le cadre de ses recherches sur ce sujet. Stahl Jr. était très réceptif et heureux de parler à l'enquêteur lorsqu'il a été contacté par Bragalia. Il est maintenant directeur adjoint de Johnson City, Tennessee. Même si Stahl Jr. n'a pas avoué être au courant des étrangers, il croit toujours que son père a peut-être été dans une position unique, avec les qualifications et l'autorisation appropriées, pour être impliqué dans l'examen médico-légal des étrangers. Pour témoigner auprès du MUFON c'est ici ! Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon

  • Rapport statistique mensuel du MUFON pour septembre 2022

    Rapport statistique mensuel du MUFON - pour septembre 2022 : Le CMS continue d'accumuler des rapports d'observation provenant du monde entier. En septembre 2022, 786 observations ont été signalées à MUFON par le biais du CMS dans les pays suivants : Pays Nombre de rapports ÉTATS-UNIS 660 ROYAUME-UNI 33 CANADA 33 FRANCE 19 AUSTRALIE 6 NOUVELLE-ZÉLANDE 3 CHINE 3 PAYS-BAS 2 ESPAGNE 2 MEXICO 2 BELGIQUE 1 AFGHANISTAN 1 ÎLES VIERGES, ÉTATS-UNIS 1 UKRAINE 1 SUÈDE 1 CHYPRE 1 BRÉSIL 1 ALLEMAGNE 1 INDONESIE 1 VIET NAM 1 THAILANDE 1 ISRAËL 1 VENEZUELA 1 MAROC 1 IRAN 1 GRECE 1 BAHAMAS 1 AUTRICHE 1 DANEMARK 1 ARGENTINE 1 GUADELOUPE 1 JAMAÏQUE 1 IRELANDE 1 TOTAL : 786 Plus impressionnant encore, 18 atterrissages, stationnements ou décollages ont été signalés et 19 entités ont été observées. Le nombre de cas d'enlèvement (ERT) était de 30. Le nombre de questionnaires d'expérience soumis était de 0. D'autres points de données intéressants dans le CMS au cours du mois de septembre 2022 sont la forme des OVNIs signalés qui sont les suivants : Forme de l'objet Nombre de rapports Cercle 164 Sphère 79 Autre 69 Inconnu 66 Triangle 57 Disque 51 Cigare 46 Ovale 34 En étoile 34 Carré/Rectangulaire 27 Cylindre 24 Tic Tac 18 N/A 15 Boomerang 11 Diamant 10 Flash 6 Cône 6 Chevron 6 Boule de feu 6 Dirigeable 5 Saturne 4 Oeuf 3 Balle/Missile 3 Croix 2 Cloche 1 Forme de l'objet pour la France : Cercle 5 Autre 4 Triangle 3 Carré/rectangle 3 Boomerang 1 Cylindre 1 Sphère 1 Disque 1 Forme de l'objet pour la Belgique : Sphère 1 Pour témoigner auprès du MUFON c'est ici ! Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous fzf

  • Entre rumeurs, désinformation et réalité

    Par Sylvain Matisse enquêteur et chroniqueur de MUFON France Aurora l’arbre qui cache la forêt ? Aurora cet avion a t-il existé au moins temporairement ?.Il aurait pu être le premier d’une série de tests de certains blacks programm américains dont nous savons pertinemment que ces projets noirs existent et qu’un budget leur est alloué. Nick Pope qui a travaillé comme fonctionnaire pour le ministère de la Défense de 1985 à 2006. De 1991 à 1994,au Secrétariat (Air Staff) Sec (AS) 2a plus communément appelé "UFO desk".sa mission principale consistait à examiner des rapports d'enquête d'observations d'OVNI, pour voir si elles avaient une quelconque importance pour la défense, si cela était avéré, hostile pour le Royaume-Uni ou pas a été interviewé sur Sanboxx, un média du web au sujet de l’avion hypersonique Aurora. En résumé le renseignement britannique désirait savoir si les états-unis avaient un programme secret et qu’ils se servaient des bases américaines installées dans le royaume notamment la base aérienne de Machrihanish*. *La RAF Machrihanish était une ancienne station de la Royal Air Force (RAF) située sur le côté ouest de la péninsule de Kintyre, à environ cinq kilomètres à l'ouest de Campbeltown. Désormais connue sous le nom de MoD Machrihanish, la marine américaine a rendu l'aérodrome au MoD le 30 juin 1995, marquant la fin de son service en tant qu'installation de l'OTAN depuis l’année 1960. Alors que l'aérodrome reste la propriété et la responsabilité du MoD, et est entretenue par l'armée britannique, une section à l'extrémité est de la piste est réservée à l' aéroport de Campbeltown, qui utilise la piste de l'aérodrome pour ses opérations commerciales. Depuis ses débuts officiels en 1918, la RAF Machrihanish a existé sous une variété de noms et a fonctionné à la fois comme un aérodrome militaire et civil, elle a joué un certain nombre de rôles supplémentaires, en plus de celui d'un simple aérodrome, aérodrome ou aéroport. D’après Nick Pope les américains ont nié l’existence de Aurora ou d’essais de ce type en territoire britannique, ce qui pour ma part n’a rien de surprenant. Aurora n'a peut-être rien à voir avec le programme hypersonique ou cette supposée enveloppe budgétaire. Il y avait et il y a encore certainement une plate-forme qui a existé et qui existe toujours ? Pourquoi les États-Unis reconnaîtraient-ils un programme top secret vieux de quelques décennies seulement et ses retombées également ? Gardez à l'esprit que si vous confirmez la technologie, vous reconnaissez également la future technologie à nos adversaires et les lancez dans des applications défensives. Les ennemis ne peuvent pas défendre ce qui n'existe pas. un bon exemple serait le F-117/B-2 et ce qui en a découlé, c’est à dire que les rivaux ( Russes et chinois en particulier) ont semble – t-il développé de nouveaux radars et d’autres moyens de détection plus sophistiqués voir même des armes défensives pour venir à bout de ces nouvelles technologies, dès lors que des nations en ont eu connaissance ,comme la Russie et la Chine par exemple et pour ne citer que ces 2 nations . Si les américains admettaient 10 ou 20 ans plus tard certains prototypes, certaines réalisations issus de programmes très spéciaux et sensibles à l’époque ils dévoileraient les projets en cours actuellement d’une certaine manière. Réfléchissons à cela . Après cela certaines rumeurs prennent corps, comme ce qui suit.( information à prendre avec des pincettes certes, mais qui a le mérite de déclencher notre curiosité). Extrait article du SUN ( publié le 17 septembre 2022) Un centre de combat spatial classé de 100 millions de dollars protégera les États-Unis si jamais le monde rencontre des extraterrestres hostiles, alors que l'espace devient "un domaine clé de la guerre", a déclaré un expert en défense et en OVNI. L'Aerospace Corporation, une organisation nationale à but non lucratif, a construit une installation de 8361.27 mètres carrés financée par le gouvernement fédéral dans le Colorado "pour examiner la guerre spatiale et les concepts de systèmes avancés mais également pour éduquer les opérateurs spatiaux et les analystes sur l'évaluation d'une variété de scénarios de menace". Steve Isakowitz, président et chef de la direction de la firme Aerospace, a déclaré dans un communiqué : "Le développement de concepts avancés de combat spatial qui améliorent la résilience et l'agilité de nos systèmes est essentiel pour dépasser les menaces auxquelles nous sommes confrontés dans l'espace." Aerospace n'a pas répondu aux e-mails et aux questions posés. The Sun écrit qu’un membre du service actif aurait déclaré ceci "Dans toute guerre future, l'espace (avec le cyberespace) sera un domaine de combat clé, peut-être plus important que les trois (domaines) traditionnels de la terre, de la mer et de l'air", a déclaré l'expert renommé de la défense. Space Force, le système radar Space Fence et le futur capteur spatial de suivi hypersonique et balistique en font également partie, a-t-il déclaré.» DÉCLARATION OFFICIELLE DE L'AÉROSPATIALE L'aérospatiale exploite le Centre de recherche et de développement financé par le gouvernement fédéral (FFRDC) "répond aux besoins à long terme du gouvernement en tant que conseiller de confiance pour l'espace", a déclaré l'organisation à but non lucratif. "La société s'associe au gouvernement, à l'industrie et au milieu universitaire pour fournir des solutions couvrant la sécurité nationale, les efforts civils, commerciaux et spatiaux internationaux." L'installation du Colorado a embauché 250 ingénieurs, scientifiques et analystes et est présentée comme "le point focal pour fournir une expertise technique à travers l'entreprise spatiale afin de devancer les potentielles menaces liées à la sécurité nationale". Il appartient à chacun d’entre vous de trier , de valider ou non ces allégations. Pour nous enquêteurs et chercheurs il nous appartient de soulever des lièvres et de partager ce que nous découvrons, mais surtout de vérifier si possible par nous même ce qui nous est servi par une source ou une autre. La vérité et sa diffusion est à ce prix. Pour témoigner auprès du MUFON c'est ici ! Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous

  • Franck Milburn un ancien officier du renseignement britannique témoigne sur les UAP

    Traduit par Matisse Sylvain pour le MUFON France Article posté par Ivan Petricevic . Selon un ancien officier du renseignement militaire, des pilotes de chasse ont tiré sur un OVNI.Pourtant, l'objet était entouré par ce qui semblait être un champ de force protecteur, empêchant ainsi l'une des armes de l'impacter. Beaucoup de choses ont été dites sur les ovnis ces derniers mois. Il y a eu un changement de paradigme dans la façon dont les gens, la science, l'armée et le gouvernement perçoivent l'idée que les ovnis ne sont en effet pas de cette planète. La plupart des gens ont vu un OVNI au moins une fois. Certains les ont même vus plus d'une fois, d'autres prétendent avoir eu des rencontres rapprochées, et puis il y a des vidéos de la Marine qui montrent des pilotes de chasse essayant même de les attraper. Certains, cependant, prétendent détenir des informations confidentielles sur les pilotes, même engageant des OVNIS. Cela a été révélé aujourd'hui par un ancien officier du contre-espionnage militaire, qui dit que la Royal Air force a même tenté d'abattre un OVNI. Cependant, malgré un grand nombre de missiles et de tirs, la RAF n'a pas pu abattre l'objet mystérieux. Dans une interview sur la chaîne YouTube Disclosure Team avec Vinnie Adams, Franc Milburn a fait cette déclaration. En tant qu'ancien officier du renseignement de défense britannique et parachutiste de l'armée, Milburn a plus de 23 ans d'expérience dans l'évaluation des menaces et des risques pour les clients opérant dans des environnements hostiles, notamment en Afrique du Nord, au Moyen-Orient, en Amérique latine et au Moyen-Orient. Il a rédigé des articles évalués par des pairs pour plusieurs groupes de réflexion de renommée mondiale, notamment le Middle East Economic Survey, le Counterterrorism Center de West Point et l'Institut d'études sur la sécurité nationale de l'Université de Tel Aviv. De plus, il est chercheur associé au Centre d'études stratégiques Begin-Sadate de l'Université Bar-Illan, ainsi que membre de la Coalition scientifique pour les études UAP (Phénomènes aériens Non-Identifiés). On lui a demandé s'il avait été témoin de phénomènes aériens non identifiés (PAN) au cours de sa longue carrière militaire ou de renseignement sur la base de questions soumises par le public. Et peut-être sans surprise, il a répondu positivement. "Oui, durant ma carrière dans le renseignement, j'ai été en contact avec des pilotes qui effectuaient des interceptions de PAN", a-t-il répondu. Adams a ensuite demandé à l'ancien officier du renseignement d'élaborer à ce sujet. Alors qu'un UAP survolait un espace restreint au Royaume-Uni, il y a eu un effort cinétique pour l'abattre. Milburn dit que la RAF a essayé des missiles à tête chercheuse et des missiles à recherche de chaleur, et quand ils se sont approchés de l'objet, ils ont utilisé le canon interne de l'avion pour le frapper. "Mais ils n'ont pas été en mesure de le détruire", a-t-il déclaré.Il n'a pas été possible de faire tomber l'objet, qui était considéré à l'époque comme une menace. Et c'est làque l'histoire devient vraiment intéressante, avec l'ancien officier racontant une histoire incroyable qui peut rappeler de nombreux films comme Independence Day . Sur la base des déclarations ultérieures des pilotes, Milburn pense qu'un champ de force a entouré l'OVNI qui a effectivement empêché les missiles et l'artillerie de l'impacter. Considérant la réponse de son invité, Adams a noté que l'événement lui rappelait l'incident de 1976 à Téhéran lorsque l'OVNI a directement désactivé les armes des avions qui tentaient de l'intercepter et de l'abattre. Un membre du Congrès américain a déclaré il n'y a pas longtemps qu'il est très probable que certains OVNI écrasés aient été acquis par des gouvernements et que certains aient même pu réaliser de la rétro-ingénierie en ayant récupérer de la technologie ou des matériaux permettant d’en fabriquer . Pour témoigner auprès du MUFON c'est ici ! Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous

  • Rapport statistique mensuel du MUFON pour Août 2022

    Un mois exceptionnel en terme de nombres d'observations rapportées pour le MUFON France et Belgique ! Rapport statistique mensuel du MUFON pour août 2022 : Le CMS continue d'accumuler des rapports d'observation provenant du monde entier. En août 2022, 934 observations ont été signalées à MUFON par le biais du CMS dans les pays suivants : Pays Nombre de rapports ÉTATS-UNIS 744 CANADA 51 FRANCE 43 ROYAUME-UNI 30 BELGIQUE 11 IRAN 5 BRÉSIL 4 IRLANDE 3 ALLEMAGNE 3 ESPAGNE 2 INDE 2 MEXICO 2 PORTUGAL 2 ITALIE 2 TURQUIE 2 SYRIE 1 CHYPRE 1 SUISSE 1 FÉDÉRATION DE RUSSIE 1 CROATIE 1 JAMAÏQUE 1 DANEMARK 1 ÉMIRATS ARABES UNIS 1 JAPON 1 RÉPUBLIQUE DOMINICAINE 1 LITUANIE 1 RÉPUBLIQUE TCHÈQUE 1 ZIMBABWE 1 AFRIQUE DU SUD 1 ÎLES ÅLAND 1 INDONÉSIE 1 CORÉE, (Sud) 1 CHINE 1 PAYS-BAS 1 GRÈCE 1 AUTRICHE 1 NORVÈGE 1 COLOMBIE 1 CHILI 1 MACEDONIE 1 AUSTRALIE 1 COSTA RICA 1 BERMUDA 1 TOTAL : 934 D'autres points de données intéressants dans le CMS au cours du mois d'août 2022 sont la forme des OVNIs signalés qui sont les suivants : Forme de l'objet Nombre de rapports Cercle 171 Sphère 108 Autre 76 Inconnu 67 Ovale 52 Cigarette 48 En étoile 48 Triangle 40 Disque 40 Tic Tac 34 Carré/Rectangulaire 33 Cylindre 29 Boule de feu 18 Balle/Missile 18 Diamant 16 N/A 13 Œuf 13 Flash 10 Boomerang 9 Blimp 7 Larme 6 Etoile 5 Croix 3 Cône 2 Plus impressionnant encore, 16 atterrissages, stationnements ou décollages ont été signalés et 36 entités ont été observées. Le nombre de cas d'enlèvement (ERT) était de 38. Forme de l'objet Nombre de rapports pour la France : Cercle 14 Sphère 3 Triangle 5 Ovale 5 Disque 4 Flash 3 Cigare 2 Autre 2 Etoile 2 Tic Tac 1 Cylindre 1 balle/missile 1 Forme de l'objet Nombre de rapports pour la Belgique : Cercle 8 Cigare 1 Autre 1 Inconnu 1 Pour témoigner auprès du MUFON c'est ici ! Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufonfrance #uso #oani #mufon

  • Compte-rendu de la soirée de surveillance du ciel

    Compte Rendu (CR du 20/08/2022) Sujet : Observation du ciel nocturne organisée par MUFON France et Belgique le vendredi 19 août 2022, de 22H00 à 02 heures du matin heure française (20H TU-00H TU*), unité largement employée en Astronomie. *Le temps universel (TU), est une échelle de temps fondée sur la rotation de la Terre. Il est historiquement calculé à partir de l'observation des étoiles au méridien de la ville de Greenwich en Angleterre - Le Temps Universel sert à déterminer les heures légales et les fuseaux horaires. Ainsi, l’heure légale correspond à UTC + numéro de fuseau horaire. En France, l’heure légale correspond à UTC + 1 heure en hiver et à UTC + 2 heures en été . 355 inscriptions (une inscription était parfois pour plusieurs personnes) Nous ne savons pas réellement le nombre exact de participants car tout le monde n’a pas communiqué sur sa présence et ses observations. Pour cette première tentative d’observation du ciel en groupe, la météorologie n’a pas été favorable sur une grande partie des territoires Français et Belge. Plusieurs observations de PAN (Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés) nous ont été rapportées par un participant en Belgique. (Voir témoignage ci-dessous) Mail reçu le lendemain matin (Samedi 20/08/2022) «Bonjour a tous concernant la soirée d hier nous avons eu la chance de voir 6 pans dans notre ciel demi voilé demi étoile. Deux directions -ouest-est, un direction sud-nord, et un direction est-ouest. Objets ayant une altitude très supérieure aux avions. Environ 50 répertoriés pendant nos heures de vision. Les pans volaient à une vitesse très supérieure aux avions et surtout en faisant des zigzag. Pour le sixième, grosse surprise, en passant dans notre champ de vision, il s est illuminé et ressemblait à un gros cigare. S'est éteint et à continuer sa route direction est-ouest. Altitude et vitesse inférieure aux autres pans. Nous nous trouvons a 20 kilomètres de la frontière française près de tournai. Le premier était a 22h25 il venait de sud (France) vers le nord. Le 2ème était a 22h53 il venait de l'est(de la Belgique) est partait vers l'ouest . Le 3ème était a 23h59 il venait de l'ouest (nord de la France)vers l'est puis visualisation quelques instant puis disparaît. Le 4ème était a 23h il venait de l’ouest vers l’est. Le 5e était à 23h10 idem du 4èmes. Le 6e était a 23h10 il venait de l’est vers l’ouest. Stéphane » (Croquis de la 6e observation envoyée en pièce-jointe du mail) Une enquête est en cours sur ces observations. Il est dommage que le témoin ne nous ait pas contacté en temps réel, cela aurait pu permettre de confirmer ou non son observation et éventuellement de la trianguler. Le temps ne fut pas en notre faveur sur une bonne partie des territoires mais toutefois, la bonne humeur et la motivation des inscrits a compensé cette météo médiocre. Ce n’est que partie remise car nous vous annonçons une autre nuit d’observation durant l’automne, la date et les horaires restant à définir suivant les disponibilités de l’équipe. Nous tenons à vous remercier pour votre implication, votre enthousiasme et votre soutien inconditionnel. Petit récapitulatif du peu d’observation recensé pour cette nuit, là où le ciel était dégagé ou partiellement dégagé durant l’événement. Récapitulatif du ciel observable relaté par les inscrits : La Creuse - La Seine-Maritime- Bretagne (Morbihan et La Loire Atlantique) – Pyrénées Béarn -Les Landes – Aude -Région PACA ( Provence-Alpes-Côte d'Azur )- Pas de Calais Hauts de France) Quelques témoignages de nos veilleurs, que nous remercions chaleureusement : · Passage de deux hélicoptères à Caen (Calvados). · Environs de Niort (Deux-Sèvres) hélicoptère sécurité civile basse altitude · Draguignan 00.12 trafic aérien en haute altitude direction sud /sud est. Suivit par un petit point blanc très fugace 2 à 3 secondes. · A 15 km de Tours (Indre & Loire) -Ciel dégagé pendant 2 bonnes heures. Très belle soirée d'observation, beaucoup d'avions, quelques satellites, de belles étoiles filante. · Gourdon (Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur - 06), rien de rien à part un trafic aérien chargé 3petites étoiles. · De mon côté 5 satellites starlink? · 1 avion 2 étoiles filantes à Calonne sur la lys (Pas-de-Calais en région Hauts-de-France ) Belgique Bien dégagé à Tournai ( près de la frontière française ) · Étoiles filantes, satellites, trafic aérien conventionnel Nous remercions par ailleurs notre ami Thierry Rocher pour le CR détaillé qu’il nous a partagé pour vous. Puisse-t-il vous servir de modèle… ciel astronomique : La lune et planètes ( Jupiter – Mars) Pour témoigner auprès du MUFON c'est ici ! Pour adhérer au MUFON France et Belgique et ainsi recevoir notre magazine c'est ici !

1er réseau mondial d'enquête sur les PAN et OVNI - Chapitre officiel France - Belgique - Suisse Copyright @2025
© MUFON France et Belgique©

enquête

Les enquêteurs de MUFON sont formés et doivent réussir un test avant de pouvoir travailler vos témoignages et enquêter.

notre  role

Enquêter sur les observations de Phénomènes Aérospatiaux Non Identifiés et collecter les données dans la base de données du MUFON pour une utilisation par les chercheurs du monde entier.

MUFON FRANCE-BELGIQUE- SUISSE

communiquer

Discuter avec le public et  ouvrir le débat avec les médias sur le phénomène OVNI et de son impact potentiel sur la société

mission

Promouvoir la recherche ufologique afin de découvrir la vraie nature des phénomènes, tout en étudiant les découvertes scientifiques

bottom of page