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  • 1.000 systèmes planétaires, des extraterrestres pourraient nous voir

    Xavier Demeersman Futura Science 1.000 systèmes planétaires d'où des extraterrestres pourraient voir que la Terre est " grouillante de vie" « Nous venons de créer la carte des étoiles où nous devrions regarder en premier », lance l'astronome Lisa Kaltenegger qui vient de publier une liste de 1.000 étoiles alignées avec la Terre et le Soleil qui, si elles sont entourées de planètes habitées, sont très bien placées pour remarquer réciproquement notre monde « grouillant de vie ». Dans les meilleures conditions, nous ne pouvons voir depuis la Terre que quelques milliers d'étoiles à l'œil nu. Mais en réalité, elles sont des centaines de milliards, pour la plupart canalisées au sein de l'arche brumeuse que nous appelons Voie lactée. Parmi toutes ces étoiles, il y en a beaucoup qui ressemblent à notre Soleil et qui ne sont pas très loin de la Terre, à l'échelle de la Galaxie, cela s'entend. Deux astronomes ont voulu savoir combien parmi elles, dans un rayon de 300 années-lumière, pourraient posséder au moins une planète qui ressemble à la Terre dans leur zone habitable - la région que l'on pourrait qualifier de tempérée relativement à leur étoile -, et qui, de surcroît, si elles sont habitées, sont idéalement placées pour nous voir. Pour cela, Lisa Kaltenegger, directrice de l'Institut Carl Sagan à l'université de Cornell, en association avec Joshua Pepper, de l'université Lehigh, ont recherché toutes les étoiles candidates de la séquence principale (excluant notamment les dangereuses naines rouges) qui sont alignées avec le plan de l'écliptique de la Terre (le plan de l'orbite de la Terre autour du Soleil). « Peut-être qu’ils nous ont déjà repérés » Dans leur étude, qui vient de paraître dans Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, les chercheurs estiment à quelque 1.004, les étoiles qui correspondent à tous ces critères. « Si des observateurs sont là-bas en train de chercher, ils pourraient voir des signes de biosphère dans l'atmosphère de notre "point bleu pâle" [en anglais, pale blue dot, en référence au nom donné par Carl Sagan en découvrant les images de Voyager 1 il y a 30 ans]. Et nous pouvons même voir certaines des étoiles les plus brillantes de notre ciel nocturne sans jumelles ni télescopes » glisse l'auteure principale de l'étude. Si, donc, parmi toutes ces candidates, des êtres vivants ont les capacités technologiques - et la curiosité - pour scruter les infimes changements de luminosité d'une étoile, qui pourrait être la marque qu'une planète lui passe devant, ils seraient en mesure de remarquer l'existence de notre « oasis ». À l'instar de ce que nous faisons (déjà ?, seulement ?) depuis plus de deux décennies via cette méthode dite de transit planétaire. Une méthode qui nous a permis de débusquer plusieurs milliers d'exoplanètes, notamment grâce au satellite Kepler, et actuellement avec son successeur Tess. Une « pluralité de mondes » souvent différents du nôtre et parfois, très ressemblants, des exoterres potentiellement habitables. Voilà à quoi ressemble la Terre vue par des extraterrestres Alors, où sont-ils ? Lisa Kaltenegger et Joshua Pepper ont publié la liste intégrale de leurs candidates. Du grain à moudre pour les auteures et auteurs de science-fiction et les fans. Il y a de quoi enflammer l'imagination. En fait, « [...]nous venons de créer la carte des étoiles où nous devrions regarder en premier »,  résume Lisa Kaltenegger. « Peut-être qu'il y a de la vie dans l'univers. Peut-être qu'ils nous ont déjà repérés », s'enthousiasme-t-elle. Qui sait, la réalité rejoindra la fiction... Combien de ces mondes sont-ils réellement habités ? Combien, parmi eux, hébergent des êtres vivants à la recherche d'autres formes de vie qu'eux dans l'univers ?

  • Les mutilations et enlèvements étranges

    Yves Herbo, traductions et relais https://www.sciences-faits-histoires.com/ La plupart des articles parlant de ce sujet épineux titrent principalement "les mutilations animales", mais dans la mesure où les recherches des spécialistes ont prouvé des cas de telles mutilations sur des êtres humains, le sujet a traiter est plus vaste évidemment... Je vais, par soucis de gagner du temps et de reconnaissance envers le travail déjà effectué depuis la fin des années 1960, commencer par l'historique connu et documenté sur ce sujet à l'aide d'articles cités, et donc partir des premiers cas avérés signalés en 1967 pour remonter jusqu'à nos jours pour confirmer ou non la constance du phénomène ainsi que son mode opératoire éventuel, et des hypothèses sur des motivations. " Des têtes de bétail sont retrouvées mortes et mutilées principalement aux états unis. Le rapprochement avec le phénomène ovni peut étonner mais il est un fait que nous disposons de pas mal d'éléments et témoignages allant en ce sens. On peut très bien imaginer par exemple qu'une civilisation extraterrestre visitant notre planète cherche un jour à puiser dans nos ressources. C'est justement ce qui semble se passer ici. Les mutilations de bétails sont des "éléments annexes" au phénomène ovni qui méritent toute notre attention. Nous vous proposons de découvrir ces faits troublants dans ce dossier. De 10 à 20 000 têtes de bétail ont été retrouvées mortes et mutilées, essentiellement aux États-Unis, et ce depuis le premier cas signalé, c'était en 1967. Les animaux sont retrouvés dans les champs, certains de leurs organes ayant été prélevés après une découpe avec un instrument tranchant ou au laser, les parties mutilés parfaitement cicatrisés comme s'ils avaient été cautérisées avec une précision diabolique. Les nombreuses enquêtes effectuées par le FBI aux États-Unis, laissent à penser que ces prélèvements d'organes se produit après enlèvement de l’animal par voie aérienne : on ne trouve pas de traces de lutte ni de sang au sol, les animaux sont retrouvés parfois dans des lieux inaccessibles à pied. Devant l'inexplicable, plusieurs hypothèses ont été avancées : animaux prédateurs (qui demeure l'hypothèse officielle), agissements d’une secte satanique, enlèvements d’origine extraterrestre puisque des ovnis sont parfois repérés à proximité, ou encore opération secrète de l’armée du fait que des hélicoptères non immatriculés évoluent souvent sur les lieux des mutilations. La difficulté à attribuer ce phénomène à une origine humaine réside dans son ampleur : quelle organisation pourrait en effet réussir à mutiler plus de 10.000 têtes de bétail sans être jamais découverte par un témoin ou par les enquêteurs de police ? Les médias ne proposent aucune solution et les autorités des pays touchés par ce phénomène cherchent très nettement, de part leur attitude ambigue à étouffer l’affaire. Des chèvres, des moutons, des chevaux, des vaches, des cerfs, des lapins et toutes sortes d'animaux domestiques sont pris pour cible par ces mutilations. Les bovins en général représente la plupart des animaux mutilés. Enquête et compilation de données ci-dessous : Un cas typique de mutilation animale peut se caractériser par une oreille "enlevée", un œil "ôté" de son orbite, ou bien encore toute une série d'organes "retirés" avec une précision chirurgicale, comme si un faisceau laser aurait découpé et cautérisé en même temps une partie du corps de l'animal. Le plus souvent visé sont les organes génitaux, que ce soit sur des mâles ou des femelles. Mais le plus troublant dans cette affaire, c'est qu'il n'y a aucune trace de lutte ni de sang sur le sol où est retrouvé l'animal. Cela laisse entrevoir deux choses : soit l'animal à été transporté d'un endroit à un autre, impliquant que l'ablation des organes manquants n'ait pas eu lieu sur ces mêmes lieux, soit les mutilations ont été faites par une technique et des instruments qui permettent ne laisser aucune traces, ce qui est difficilement imaginable de nos jours lorsque l'on est en pleine campagne ! Histoire Le mystère a commencé en septembre 1967 lorsqu'une jument Appaloosa nommée Lady a été trouvée morte et dépouillée jusqu'aux os de la tête au cou dans la vallée de San Luis du Colorado méridional. La tête et le cou squelettique sur le corps de la jument étaient mystérieux. Des objets volants non identifiés et des lumières mobiles avaient été vus dans le secteur, et les journaux dans le monde entier ont rapportés qu'il pourrait y avoir un raccordement entre la mort du cheval et la présence d'OVNI. Un journaliste a incorrectement mélangé le nom de la jument avec un autre cheval masculin appelé "Snippy" et ce nom resta dans les rapports de médias. 'Toutes les organes internes à l'intérieur de la poitrine de Lady avaient également été enlevées "chirurgicalement avec de la chaleur," a déclaré le docteur John Altshuler de Denver...Il n'y avait aucune trace de sang et les coupes avaient une précision chirurgicale. Lorsqu'il a ramené des échantillons de tissu provenant des excisions à son microscope de laboratoire hospitalier, il a découvert que l'hémoglobine avait été cuite, indiquant que de la chaleur élevée avait été employée pour couper le tissu.' " Les lasers n'ont pas été utilisés pour la chirurgie chez les animaux ou les humains avant les années 70. En 1974, le docteur Joseph Bellina, prof. de l'obstétrique et de la gynécologie à l'université de l'État de la Louisiane, fut le premier à essayer un laser dans la chirurgie gynécologique. " (YH : je faits juste remarquer ici que le laser a été utilisé bien avant par les militaires (comme toute invention technique) et services secrets - cette affirmation "historique" officielle n'est pas obligatoirement la réalité... ensuite, une autre autopsie aurait révélé par la suite des traces d'impact de balles... des doutes sur ce 1er cas à noter). Des similitudes avec les Crop Circles ? L'animal mutilé est examiné, mais son environnement également. L'herbe autour des animaux présente des modifications dans son métabolisme cellulaire, très semblable à celles constatées lors de la présence d'un Crop Circles. Le seul moyen de provoquer de telles modifications impliquerait la présence de micro-ondes et d'un fort tourbillon. On le voit dans les faits exposés, l'hypothèse humaine semble peu probable même si l'utilisation d'une nouvelle arme militaire du type à micro-ondes pourrait être testée sur ces animaux. Les observations d'ovnis à proximité d'animaux mutilés et les caractéristiques des sites dans lesquels ils sont retrouvés laissent à supposer l'intervention d'un ou plusieurs humanoïdes et par voie aérienne. Cette conclusion peut paraître hâtive, mais c'est à ce jour la plus plausible ! Une énergie concentrée de façon aussi intense relève d'une certaine technologie, et si l'on tient compte des témoins qui disent avoir vu des engins dans les pâturages où l'on a retrouvé certains de ces animaux, on peut soupçonner une cause extra-naturelle, pour ne pas dire extraterrestre. On peut également supposer que le gouvernement américain (puisque c'est majoritairement le pays où est déclaré le plus grand nombre de cas de mutilations) est au courant du problème. Origine extraterrestre inéluctable ? Certains pensent encore que les lésions sont le fait de prédateurs naturels tels que les loups, les coyotes ou les oiseaux mais le tissu des animaux mutilés est sec, cautérisé et aucune trace à proximité de la dépouille. Donc, comment peut-on expliquer qu'un taureau originaire du Colorado pesant près de 900 kg se retrouve sur le dos, ses cornes enfoncées de 15cm dans le sol, la langue arrachée, les organes génitaux sectionnés et le rectum découpé ? Dans de nombreux cas, le tissu animal à été exposé à des températures élevées. Tout indique l'utilisation d'une technologie que nous ne comprenons pas. C'est pour cette raison que les services d'investigations avaient déjà pensé au début à une intervention d'origine aérienne. De plus, les quelques témoins oculaires rapportent avoir vu des faisceaux lumineux dirigés depuis le ciel sur les animaux. Dans deux cas, ils virent même les animaux monter le long du faisceau. Le problème, c'est que ce genre de témoignages sont rares, les témoins craignent en effet le ridicule... Dans de nombreux pays, le folklore local ou régional décrit une constante dans le comportement des créatures parahumaines : il semblerait que le vol de bétail soit une pratique courante, d’ailleurs elle arrive en troisième position derrière les vols d’enfants et de jeunes gens (surtout de jeunes filles). Pour ne prendre qu’un exemple, en Suisse, les nains locaux (les Kobolds, les Servants, etc., selon les cantons) exigeaient une contrepartie en produits laitiers pour permettre au bétail des éleveurs de paître en des lieux réputés dangereux pour les bêtes. Il semblerait donc que le bétail, dès lors son exploitation par les humains, devienne la cible d’attaques par des forces surnaturelles et occultes. C’est ainsi que la première vague de mutilation de bétail touche les Etats de Pennsylvanie, du Colorado et du Kansas en 1967. Le 1er cas rapporté est celui d’un cheval étalon âgé de 3 ans d’Alamosa, Colorado retrouvé mutilé le 9 septembre 1967 près du ranch de Harry King, le frère de la propriétaire du dit animal, Nellie Lewis. Le cheval, élevé au rang de martyr et initialement appelé «Lady», est rebaptisé «Snippy» par les passionnés de ce genre d’affaire, surnom qui donne une idée de l’état de l’animal au moment de sa découverte. Le mari de Nellie, Berle, commente l’augmentation soudaine de l’activité OVNI qui a accompagné la mutilation de son cheval : « On voit quelque chose – je ne dirai pas ce que c’est – chaque nuit ». Ce n’est que six années plus tard que la presse se fait l’écho de forfaits du même type : C’est à partir du deuxième semestre de 1973 que l’on entend reparler pour la première fois des mutilations animales. Le Minnesota, le Missouri et le Kansas sont les premiers États touchés. A Houston, Texas, en mai 1973, Judy Doraty subit un enlèvement à bord d’OVNI. En 1980, le Dr. Léo Sprinkle, de l’Université du Wyoming, avec l’accord de Doraty, entreprend une régression hypnotique. Voici une extrait de la transcription de la séance d’hypnose : Dr. Sprinkle : «Pouvez-vous me décrire ce que voyez ?» J. Doraty : « Je m’élève…Je peux voir un animal enlevé à bord (de l’OVNI)…on l’amène dans une sorte de chambre et ça me donne des nausées en voyant comment il l’excise. C’est fait très rapidement, mais le veau ne meurt pas immédiatement. Son cœur n’est pas retiré…et je vois le veau redescendre à terre…et il ne bouge plus…» Dr. Sprinkle : « Comment s’est coupé ? » J. Doraty : « …avec des instruments…c’est comme un couteau…et il y a comme des aiguilles attachés aux tissus (du veau) ou des sondes avec des tubes connectées à celles-ci. Ils font la même chose avec les organes génitaux et les yeux ». En 1974, c’est au tour de l’Oklahoma, du Texas, du Sud-Dakota et du Nebraska de constater les dégâts. Dans ce dernier État, plus précisément dans le conté de Madison, au moins 5 bovins furent mutilés. Dans chaque cas, les parties génitales sont excisées et des OVNIs rapportés dans la région. Un témoin, Harold Kester, décrit un objet volant comme celui-ci : « il était muni de lumières vertes de chaque côté avec une luminescence par dessus ». Par la suite, une trentaine d’États sont concernés, principalement du Midwest. Pendant une période de deux ans (1975-77) dans deux comtés du Colorado, on ne dénombre pas moins de 200 rapports. Alors que l’affaire est encore au stade embryonnaire, éleveurs et policiers pensent avoir affaire à des maniaques sexuels ou encore à des sectes sataniques. Mais l’absence de traces de pas ou de roues de véhicules remet sérieusement en question cette explication bien trop simpliste vu la complexité des circonstances. Dans plus d’une douzaine d’États, les éleveurs de l’Ouest américain crurent à l’intervention d’extraterrestres. En effet, on signala à maintes reprises la présence d’ovnis dans les régions concernées. Ainsi, au début de 1975, près de Copperas Cove au Texas, on vit planer dans la campagne une lumière orange, la nuit où un veau fut mutilé. Des fonctionnaires du Service public de sécurité du Texas vinrent inspecter les lieux. Ils constatèrent qu’autour du veau mort, la végétation était bizarrement aplatie, comme écrasée par un souffle puissant, dessinant des motifs de feuilles en cercles concentriques. A 40 mètres du veau mort, des motifs identiques apparaissaient sur un espace d’un diamètre de 9 mètres environ. Il est impossible de citer tous les cas tant ils sont nombreux. Toujours au Texas en 1975, une génisse fut retrouvée morte sur une aire de végétation écrasée. L’animal avait le cou tordu et la tête pointée vers le ciel. On avait prélevé sa langue, ses organes externes et découpé son nombril. Il n’y avait aucune trace de sang à côté du cadavre. Quelques jours plus tôt, un bouvillon mutilé avait été découvert dans un cercle de blé jeune roussi. Des experts de la base aérienne de Reese firent des analyses qui révélèrent une radioactivité de 0,5 pour 100 plus élevée que la normale. Une différence faible mais restée inexpliquée. Une intervention aérienne ? Parmi les nombreux cas de mutilations, certains laissent penser à l’intervention d’un engin aérien quelconque. En effet, de nombreux animaux morts semblent s’être « écrasés » au sol. En août 1975, le shérif W.L McDonald déclara avoir examiné une génisse mutilée, apparemment tombée d’une hauteur de quelques mètres dans une mare. Au Colorado, on trouva deux vaches mutilées dans un pré dont la barrière était cadenassée. Le shérif Norman Howey déclara : « elles n’auraient pu s’y trouver à moins d’avoir été larguées d’un engin volant ». En 1979, une série de 16 mutilations au Nouveau-Mexique fut reliée à l’apparition d’engins volants dont certains furent identifiés comme étant des hélicoptères. Un éleveur subit d’ailleurs le tir d’un de ces engins qui ne fut jamais retrouvé. Deux policiers d’une tribu Apache virent également non loin de Dulce un engin « planant à une quinzaine de mètres du sol et braquant un puissant projecteur sur le bétail ». Le 20 avril 1979, une conférence organisée par le FBI donne l’occasion à David Perkins, Directeur du Département de Recherche à la Libre School de Farasita, Colorado de présenter ses recherches sur un sujet pour lequel « il n’a jamais rencontré un tel défi» note le rapport du FBI. Il termine son exposé par la phrase suivante : « La seule chose qui est sensée dans cette affaire,  c’est qu’elle est complètement insensée ». Un cas daté du 6 octobre 2001, toujours dans le comté de Pondera, révèle quant à lui que l'animal fut retrouvé dans un espace en jachère où normalement il n'aurait pas dû s'y trouver. L'emplacement où gisait l'animal mutilé montre une forme de cratère, comme si celui-ci avait été jeté verticalement d'une grande hauteur. Les black hélicoptères Les hélicoptères peints en noir et sans marques d’identification ont souvent été observés à proximité des sites de mutilations animales. Ces engins appelés « black helicopters » outre-atlantique seraient la propriété du gouvernement américain et s’engageraient dans des missions clandestines. Les apparitions de Black Helicopters ont commencé en 1971. Surtout rapportés aux Etats-Unis, ils ont également été signalés évoluant au-dessus des crop-circles en Europe, durant la guerre du Golf ou dans la région sud de Denver, Colorado en 1995. Dans ce dernier cas, ils survolaient la ville à 23h00, à 01h00 et encore à 03h00 du matin à raison de trois à quatre fois par semaine. Pour les officiels – à en croire, par exemple, le Major Shawn Flora de Buckley AFB, interviewé par des journalistes de Channel 4 lors d’une émission du 14 février 1995, ces hélicoptères n’existent pas ! Ainsi, de 1971 à 1985, les hélicoptères sont régulièrement signalés à proximité des sites de mutilations – avant, pendant ou après que ces crimes soient commis. Durant les années 90, les manifestations des blacks helicopters se sont multipliées. Ces dernières années, ils ont même survolé les agglomérations importantes, telle Denver, Colorado. Dans certains cas, les témoins ont rapporté qu’ils pulvérisaient les zones rurales et urbaines d’agents chimiques qui décimèrent cultures et bétail. Dans le cadre des mutilations qui touchèrent Albertville en février 1993, Jole Strawn, un rancher, affirme avoir aperçu des hélicoptères atterrirent sur le plancher des vaches une nuit. Il a organisé un réseau de victimes et affirme qu’il est en mesure d’identifier trois types d’hélicoptères impliqués dans les mutilations, dont le UH-60 Blackhawk et le Agusta Bell 212. De nombreux mammifères mutilés ont été retrouvés avec des peintures fluorescentes afin d’aider à l’identification dans le noir. Il est probable que le bétail soit repéré à l’avance, puis marqué d’une quelconque manière, afin que les mutilateurs opérant de nuit la plupart du temps, puissent repérer leurs proies. Les bêtes mutilées présentent toutes des marques corporelles ressemblant à celles qu’aurait pu faire un filin qui aurait servi à soulever les bestiaux, dont une meurtrissure particulière faite autour d’une patte. De plus, le poil est comme attaché sur le corps par bandes verticales bien précises, et la même patte est généralement brisée. Il y a donc des indicateurs que l’animal, après avoir été soulevé à une hauteur considérable, avait été relâché. Et ce n’est pas Ted Oliphant qui dirait le contraire ! Policier de Fyffe, Alabama, il a enquêté sur les mutilations de plus de 35 animaux sur une période de 8 mois (d’octobre 1992 à mai 1993). Il rapporte que dans des cas se rapportant aux Etats d’Alabama (1993 et 1994), Californie (1996) et Floride (1997), des produits pharmaceutiques furent localisés dans le sang des bovins : de la barbiturique, des anti-coagulants, des amphétamines synthétiques et encore d’autres substances. Ces drogues ne sont pas destinées aux vétérinaires, mais aux humains. Cet enquêteur explique également qu’en 1993, il eut la possibilité d’espionner des hélicoptères Chinook dans la région (Sand Mountain) menant, semblerait-il, des opérations clandestines. Ces engins se dirigeaient vers la base de Fort Campbell, Kentucky. Selon lui, il y a de fortes chances que la 101st Airborne Division de Maxwell AFB, Alabama soit impliquée dans les mutilations de bétail. Une note interne du FBI du 16 février 1979, de Forrest S. Putman, un agent spécial du FBI basé à Albuquerque à l’attention de Washington, corrobore ces allégations : «…les animaux ont été injectés d’une drogue paralysante et le sang a été vidé de l’animal après l’injection d’un anti-coagulant. Il semble que dans certains cas les jambes de l’animal ont été cassées et que des hélicoptères sans marques d’identifications furent signalés dans les environs de ces mutilations…» Putman poursuit : « Valdez (NdA : un policier chargé d’enquête au Nouveau-Mexique et précurseur en la matière) est absolument convaincu que ces mutilations sont l’œuvre du gouvernement américain et qu’une opération clandestine de la CIA ou du Département de l’Energie est liée à des recherches de guerre biologique. Il justifie son opinion par le fait que le Los Alamos Scientific Laboratory a tout fait pour camoufler certains faits ». Bien que toutes ces données vont dans le sens de la confirmation de l’hypothèse du projet secret, il y a des données qui la mette rudement à l’épreuve. Premièrement, l’absence de sang dans l’animal souvent rapportée (une vache contient environ 12 à 16 litres de sang) complique singulièrement la question : afin de vider le sang d’une vache complètement, il faudrait lui couper la gorge, la retourner pendant que le cœur soit toujours entrain de pomper (désolé pour nos amis défenseurs des animaux…). Une opération qui prend du temps… Deuxièmement, les animaux mutilés sont apparemment balancés depuis les airs (ce qui explique également l’absence de traces). On mentionne des cas où le mammifère est retrouvé sur le sommet d’une mont quasiment inaccessible. L’animal est apparemment capturé, mutilé et balancé par dessus bord, pas nécessairement du point où il a été capturée. Il semblerait que les mutilateurs ne prêtent pas attention à l’endroit où est déposée la carcasse. C’est tout simplement impensable pour une agence gouvernementale qui souhaite opérer dans la clandestinité ! Pourquoi ne pas embarquer la carcasse et s’en débarrasser à un endroit plus discret ? Pourquoi l’agence ne se procure-t-elle pas ses propres bovins au lieu de prendre tous ces risques inutiles ? De plus, depuis 1988, l’homme peut produire des clones de bovidés ! Troisièmement, le phénomène des mutilations datant de 1967 au minimum, comment concevoir un projet s’étalant sur plus de 30 ans avec autant de moyens et de risques entrepris ? Quatrièmement, bien que les lasers aient été produits au début des années 60, ceux-ci n’étaient pas capable de produire une telle précision dans les excisions rapportées, par exemple, en 1967 (cf. le cas de Lady). Cette remarque nous renvoie à l’hypothèse extraterrestre que nous évaluerons plus loin. Là encore, cette hypothèse du projet secret peine à convaincre… L'hypothèse de l'hystérie collective Cette supposition part du principe que quelques cas de mutilations sont rapportés chaque année pour être montés en épingle par les journalistes avides de sensationnel, créant ainsi une psychose pour des éleveurs possédant des bêtes qui ne sont pas assurées et dont la valeur unitaire est estimée à environ 1000 US$. Les défenseurs de cette thèse font preuve d’une totale méconnaissance du dossier. On l’a vu : quand ce ne sont pas les ranchers qui se montrent peu enclins à faire état des pertes de bétail, ce sont les enquêteurs officiels qui étouffent l’affaire. Sans compter les vétérinaires, qui , soucieux de leur image de marque, n’osent pas aborder le sujet, du moins en public… Si l’est vraiment question d’hystérie, elle ne se cantonne pas uniquement aux USA car, je le rappelle, le phénomène est mondial et l’Europe n’est pas épargnée. Sachant que les médias font une impasse quasi totale sur le sujet (à quelques exceptions près, voir ci-après) en Europe, on est donc en présence d’une hystérie se propageant d’une manière très originale ! Concernant les mutilations en Europe, j’en veux pour preuve : Août 1994, à Bodmin Moor près de Launceston, Angleterre, un veau est retrouvé sans trace de sang, avec la gorge coupée, le museau enlevé de «manière chirurgicale» selon Malcom Delaida, qui rapporte le cas dans le périodique « Farmers Weekly » du 14 Octobre 1994. Le 10 Octobre 1994, l’incontournable BILD se penche sur les mutilations de bétail en rapportant les centaines de chevaux retrouvés avec des excisions en Allemagne, Angleterre, Norvège, Suède et Finlande. De nombreuses bêtes ont survécu à ces attaques mais certaines sont décédées. Le magasine rapporte le cas de quatre chevaux qui ont survécu aux mutilateurs près de Bahrenbostel-Holzhausen, une communauté paysanne à Diepholz, Allemagne. D’ailleurs, n’importe quel sociologue sait très bien que de telles hystéries ne peuvent pas durer 30 ans. C’est quelques mois à tout casser. L’hypothèse extraterrestre Comme je l’ai fait remarquer plus haut, les mutilations sont souvent accompagnées d’observations d’OVNIs. Dans certains cas, d’étranges traces au sol près du cadavre de l’animal sont signalées dans les enquêtes de police (par exemple, le cas du 24 mai 1978 du policier Valdez). Dans d’autres cas, les Aliens sont carrément observés en train d’enlever le bétail : dans son documentaire datant de 1989 « Alien Life Forms », Linda Howe interviewe les membres d’une communauté qui affirme avoir aperçu des Aliens s’engager dans une activité d’enlèvement d’animaux. Le compte-rendu le plus impressionnant émane de Ron et Paula Watson de Mount Vernon, Missouri. En juillet 1993, alors qu’ils se relaxent sur la véranda, ils remarquent quelque chose d’anormal dans le pré. Se munissant de jumelles, ils voient d’abord une vache couchée sur le côté, comme paralysée. A proximité s’agitent deux êtres vêtus de gris avec de grosses têtes blanches. Une des entités lève les bras, ce qui fait instantanément monter le mammifère dans les airs qui s’engouffre alors dans un OVNI en forme de cône. Puis, l’engin se propulse et disparaît. Le 13 décembre 1993 à 22h00, Christopher O’Brien, journaliste dans le Colorado du Sud, reçoit un coup de fil d’une résidente de Crestone qui rapporte l’observation d’un « objet blanc brillant » ayant chuté sur le sol vers Baca, au nord de Hooper. Le lendemain, un taureau est retrouvé mutilé sur la propriété de Dale et Clarence Vigil dans le comté de Costilla. En plus de la précision chirurgicale, est rapportée la présence de branches cassés au sol qui appartiennent à l’arbre situé au-dessus de la carcasse. Sur les branches de l’arbre (à 4 mètres de haut), on signale des poils ainsi que du sang comme si l’animal avait été balancé depuis les airs. Quel serait la motivation des Extraterrestres pour ce genre d’exercice macabre ? John Lear affirmait que les extraterrestres (EBE), responsables des mutilations animales, ont un dysfonctionnement génétique détruisant leur système digestif. Ainsi, afin de s’alimenter, ils ont recours aux enzymes récupérés sur les bovins ou encore, sur les…humains. Sur les humains ? Eh oui, il semblerait que les mutilateurs font également subir leurs sévices à de malheureux êtres humains. Un rapport très bien documenté et à la crédibilité irréprochable nous vient du Brésil : Près du lac artificiel de Guarapiranga non loin de Sao Paulo, Brésil où l’on rapporte de nombreuses apparitions d’OVNIs, est retrouvé le 29 septembre 1988 le corps nu et affreusement mutilé d’un homme d’une quarantaine d’années. Ce cadavre est identifié mais la famille demanda que son anonymat soit préservé. En 1994, l’ufologue Encarnacion Garcia, enquêteur sur les mutilations de bétail au Brésil, prend connaissance des clichés, du dossier de l’enquête policière ainsi que du rapport d’autopsie établi par le docteur Cuenca. Et les similitudes entre les blessures infligées à cet homme et celles du bétail dépecé sautent aux yeux de l’ufologue. Retrouvé 48 heures après la mort, le corps ne présente aucun signe de putréfaction ou d’attaques par les prédateurs et ne dégage aucune odeur. Les joues et les lèvres ont été précisément découpées, la langue sectionnée, les yeux et les oreilles enlevés. L’absence de toute trace de sang semble indiquer qu’on a opéré à l’aide d’un instrument cautérisant par la chaleur, du genre laser. On note également la présence de perforations circulaires, d’un diamètre variant entre 3 et 4,5 centimètres visibles sur les bras, les épaules et les jambes. Se trouve également un trou net de 4,5 centimètres à l’emplacement du nombril. Les testicules ont été extraits avec la même précision chirurgicale. Quant à l’anus, il a été excisé suivant une large ellipse de 8,5 centimètres sur 17. On relève aussi l’ablation de quasiment tous les organes internes, sans doute extraits par les orifices pratiqués. Le rapport d’autopsie déclare : « On constate l’ablation de tissus sur une grande partie de la face et du cou de la victime… Il y a aussi l’extraction des tissus oculaires, des yeux, des organes auditifs internes et externes. La langue et plusieurs autres muscles ont également été extraits ». Par exemple, une des photos montre clairement les trous symétriques dans le bras par lequel les muscles ont été extirpés. Même constat pour la poitrine où un trou a permis de retirer des organes. D’ailleurs, la police a immédiatement fait remarquer que les perforations n’ont pas été produites par des balles tirées d’une arme à feu. Les similitudes avec les mutilations sont frappantes : même technique précise, mêmes organes découpés et même mépris pour le cadavre. Existe-t-il des précédents ? Malheureusement. La police brésilienne affirme qu’au moins une douzaine de cas similaires à celui de Guarapiranga se sont produits dans le passé. Aux Etats-Unis, un bon exemple est le cas du Sergent Jonathan Louette stationné à White Sands Missile Test Range en 1956. Son corps mutilé a été retrouvé trois jours plus tard, après qu’un Major de l’Air Force ait aperçu l’enlèvement de son collègue par un objet «en forme de disque». Là encore, les similitudes avec le cadavre de Guarapiranga sont frappantes : les parties génitales, les yeux et le rectum de Louette ont été excisées avec la même précision chirurgicale. De nombreux éleveurs de bétail, policiers, enquêteurs privés ou encore spécialistes de la question sont convaincus que les OVNIs sont responsables de cette boucherie. Un autre argument vient soutenir leur thèse : bien que les lasers aient été produits au début des années 60, ils n’étaient pas capable de produire une telle précision dans les excisions rapportées, par exemple, en 1967 (cf. le cas de Lady). Si l’on reconnaît que l’incapacité des autres hypothèses à expliquer le phénomène rend la thèse E.T. séduisante et la renforce, on avoue qu’elle demeure la seule à pouvoir rendre compte de ces incidents. Le paranormal intervient dès lors que le rationnel ne suffit plus à expliquer. Pourtant, certaines constatations sont considérées comme acquises: Oui, des OVNIs sont repérés lors des massacres Oui, des substances pharmaceutiques sont localisées dans les dépouilles Oui, les mutilateurs n’ont aucun égard pour la vie et exposent les carcasses comme des trophées Des trophées qui ont l’allure d’une énigme posée par les mutilateurs. Une étude de deux experts en animaux prédateurs, financée notamment par le Texas Agricultural Extension Service, confirme qu’« il n’existe aucun animal prédateur au monde ayant la capacité de faire des lésions aussi rectilignes ni aussi lisses que celles pouvant être réalisées avec un instrument tranchant très affûté tel que : couteau, ciseau, scalpel, rasoir, etc. Les animaux prédateurs n’ont ni les moyens physiques, ni l’intelligence pour agir de cette manière. Quand un animal prédateur se nourrit sur une carcasse de gros mammifère mort de maladie ou tué de main humaine, il commence par déchirer l’abdomen pour avoir accès aux viscères puis entame les masses musculaires. Il n’a aucune attraction particulière pour les organes sexuels, la zone rectale, les oreilles, les babines. …Selon les cas, une carcasse est généralement dévorée dans les 12 à 48 heures après la mort de la victime. Cela dépend de nombreux facteurs : abondance des espèces, distance de présences humaines, climat et température, etc…» Jean Sider, dans son excellent ouvrage «Ultra Top-Secret», donne son avis sur le travail et les conclusions de Rommel : « Il en résume la plus grande partie dans un style acerbe, constitué d’affirmations péremptoires, de jugements définitifs, voire nuancés quand la dépouille a été vue par trop de monde. Il se fie essentiellement aux vétérinaires d’Etat ayant prêté leur concours à son « investigation » lorsqu’il y a un problème relevant des sciences vétérinaires». Howe commente : « Je crois qu’il a été payé pour étouffer les causes réelles de ces mutilations ». Espérant réduire l’inquiétude et la panique dans la population et jonglant entre la réduction et la simplification, l’enquête a également permis de clore définitivement le dossier…en tout cas du côté des autorités. Février 1998, une vache est retrouvée morte et mutilée à la ferme de George Giersch près de Dawson Creek, British Columbia, Canada. Giersch trouve le mammifère « baignant dans son sang avec sa langue en moins ». Il ajoute que l’incision est « trop précise pour être l’œuvre d’un prédateur ». Aucune trace de pas ou de véhicules n’est remarquée dans la neige. A la suite de suggestions de l’enquêteur local, Giersch laisse la carcasse de la vache in situ. « Aucun animal ne s’approcha de celle-ci jusqu’au cinquième jour, lorsque des oiseaux commencèrent à s’y attaquer. C’est louche. C’est bourré de coyotes ici ». Nuit du 5 avril 1998, Boyce, Louisiane, USA : Une vache de 3 ans est retrouvée mutilée. Ses parties génitales ont été découpées et – étonnamment – il n’y a nulle trace de sang autour de la carcasse. Selon les indices, l’animal ne s’est pas débattu. Cet incident, bien qu’insolite, n’est pas isolé : les chiffres font  état de 2000 cas de ce genre par année aux Etats-Unis. Le dimanche 3 mai 1998, une vache mutilée est recouvrée à 16 kilomètres au sud-est de Questa, Nouveau Mexique. L’animal, duquel manquent les yeux et la langue, est déjà décédé depuis plusieurs jours . Le lundi 20 Juillet 1998, quatre bovins mutilés sont retrouvés près de St. Johns, Arizona (3'294 habitants), une ville se situant à 216 kilomètres à l’est de Flagstaff. Les bovins sont retrouvés exsangues, manquant les yeux et les langues des quatre mammifères. Les coyotes et les vautours n’ont pas approché les cadavres. Dans la nuit du 8 février 1999, plus d’une douzaine de black helicopters ont survolé Kingsville, Texas, une petite ville située à environ 80 kilomètres au sud-est de Corpus Christi. Les appareils se sont ensuite posés afin que des soldats en tenue de combat puissent mener à bien un exercice d’infiltration ordonné par l’U.S. Army Special Operations Command dont le nom de code est Operation Last Dance. Les rapports de mutilations animales émanent du globe entier, les pays les plus touchés étant le Mexique, Panama, Puerto Rico, le Brésil, l’Angleterre, la France, l’Allemagne, la Suède, l’Australie, le Japon, les îles Canaries, le Canada et – principalement - les Etats-Unis. Une mutilation classique se présente ainsi : un mammifère est retrouvé avec des organes manquants  (langue, parties génitales, anus, yeux) ayant été enlevés « d’une manière chirurgicale » (dans certains cas, on nota une précision à l’échelle cellulaire, c’est-à-dire qu’aucun dommage n’a été occasionné aux tissus organiques au cours du prélèvement) ; de plus, le corps est vidé de son sang et les organes internes sont retrouvés en bouillie (3). Une précision importante : dans 90 % des cas, les parties sexuelles sont enlevées. D’autres éléments étranges viennent se greffer sur cette étrange mosaïque : les découpages sont symétriques, le bord des plaies est lisse et on signale une absence totale d’enlèvement de chairs. Encore plus énigmatique : les cadavres des animaux mutilés sont ignorés de la faune locale qui ne vient pas se nourrir dessus. Normalement, lorsqu’un bovin meurt dans un pâturage de cause naturelle, sa carcasse est nettoyée jusqu’aux os dans un laps de temps situé entre 1 à 3 jours selon les lieux, les activités humaines environnantes, le climat, etc… Dans la plupart des cas, aucune trace au sol (empreintes de pas, traces de pneus) n’est relevée. De plus, les témoins, quand ils ne sont pas inexistants, sont extrêmement rares. Quant aux suspects, s’il existait de fortes présomptions, cet article n’existerait pas ! Confrontés à ces événements, la police locale, les experts (vétérinaires d’Etat et privés) ainsi que les paysans affichent une grande perplexité devant l’étrangeté de ces crimes, les motifs et les moyens employés par les mutilateurs. Concernant les vétérinaires, nombre d’entre eux ont décidé de ne pas parler des mutilations en public : le sujet – comme nous allons le voir - est à controverse et à interprétations subjectives. Le corollaire étant la peur du ridicule vis-à-vis des collègues de la branche. Ce mutisme s’explique, d’une part, par le fait que des apparitions d’OVNIs et/ou de mystérieux hélicoptères soient rapportées juste avant, pendant ou après l’acte de mutilation et que, d’autre part, les vétérinaires se trouvent face à des crimes pour lesquels les explications rationnellement et scientifiquement acceptables font cruellement défaut. * A noter que dans de nombreux cas, les mutilations ne sont pas rapportées en raison des coûts financiers directs des autopsies, les examens en laboratoire, la peur des paysans d’être ridiculisés par la communauté, et la mentalité de celle-ci qui cultive l’indépendance et le fait de n’avoir aucun compte à rendre à personne. Notons encore tous ceux qui ne désirent pas attirer l’attention sur leur cas. La distribution statistique des types d’organes excisés par les mutilateurs de même que le silence des vétérinaires sont révélateurs de la singularité du phénomène. Le sondage suivant en est l’illustration : Une enquête menée en 1996 par NIDS (National Institute for Discovery Science), afin d’établir l’incidence et la prévalence des mutilations animales aux Etats-Unis, a consisté en l’envoi de 3'849 lettres accompagnées de questionnaires à des vétérinaires spécialisés dans l’espèce bovine. Seuls 199 questionnaires ont été retournés, soit 4,91 %, ce qui est très faible. Illustration du nombre de cas d’animaux mutilés rapportés par Etat (cf. tableau ci-dessus) Sur les 92 cas de mutilations rapportées (cf. tableau), dans seulement 11 cas (11,95 %), une autopsie et une interprétation des découvertes pathologiques furent menées. Là encore, les résultats penchent pour un investissement minimal des vétérinaires pour élucider les causes des mutilations animales. Les examens en laboratoires ont été réalisés lors de 7 cas (7,60 %). Ici, ce sont les considérations financières qui entrent en jeu. Enfin, les enquêtes officielles ont été menées dans 28 cas (30,43 %). Donc, les 2/3 des cas de mutilations ne font pas l’objet d’enquêtes officielles !  Toujours selon cette enquête, la distribution des organes manquants est la suivante : Organes/tissus excisés  Nbre de cas  Pourcentage Muscles mâchoire infér.    21           22.82% Langue                             39           42.39% Yeux                                 54           58.69% Oreilles                            13           14.13% Tétines                            45           48.91% Mamelles                         48           52.17% Vagins                             70           76.08% Rectum                            70           76.08% Pénis/testicules                8            8.69% Lèvres                              6            6.52% Ongles                             1            1.08% Autres organes                4            4.34% Étonnamment, la fameuse précision chirurgicale n’a été rapportée que dans 4 cas (4,34 %). Et la disparition d’animaux dans 5 cas (5,43%). Mutilations au Canada et aux États-Unis entre 1967 et 1993 Pour en finir avec ce tour d’horizon des particularités de l’approche officielle du phénomène et de celles qui lui sont intrinsèques, j’aimerais ajouter que les incidents ne touchent pas de fermes particulières et que les animaux concernés par cette boucherie sont surtout des vaches âgées de quatre à cinq ans d’une part et des génisses de moins d’un an, d’autre part, avec une prépondérance pour les races Hereford ou Charlee. On remarquera encore que les mystérieux chirurgiens, qui sont capables de faire des découpes sur de gros bétail aussi lisses et nettes que celles faites avec un instrument chirurgical, ne le font pas sur des moutons. Cela semblerait indiquer qu’ils ont jeté leur dévolu sur un type d’animal bien précis : la race bovine. En ce qui concerne les procès de sectes sataniques, au moins un au Brésil a fait références à des mutilations et sacrifices d'animaux... et d'enfants : La secte de satanistes théistes considérée comme la plus dangereuse par la MIVILUDE (Mission Interministérielle de Vigilance et de Lutte contre les Dérives Sectaires) est la secte de l'Ordre des Neuf Angles, pour cause celle-ci pratiquerai le sacrifice humain, c'est en tous cas les informations que récoltèrent certaines agences de renseignements. Comme la plupart des sectes de théistes, l'Ordre Des Neuf Angles possède ses propres règles, ses propres dogmes. Cette secte est dirigée par un gourou se nommant Anton Long et qui serait un activiste d'extrême droite qui partagerait avec les autres membres de la secte des idées néo-nazies comme une grande partie des sectes sataniques. Une autre secte de satanistes théistes très connue aux Etats Unis est la secte de Joy Of Satan dont les idéologies et les pratiques sont assez proches de celles de l'Ordre des Neuf Anges. Ces types de sectes sont développés principalement dans les pays d'Amérique du Nord et du Sud, ainsi qu'en Europe. L'une des sectes satanistes ayant fait parler d'elle ces dernières années est la secte des "Bêtes de Satan". Cette secte italienne regroupant plusieurs dizaines de membres est à l'origine du meurtre de Fabio Tollis 16 ans et de Chiara Marino 19 ans. Ils ont étés vus pour la dernière fois en janvier 1998 à Milan à la sortie d'un bar vers 2h du matin, ils ont étés retrouvés 6 ans plus tard, enterrés dans un bois. Ils avaient d'après les analyses été torturés, certainement dans le cadre d'un rituel satanique. Le principal accusé nommé Andrea Volpe, 27 ans, avait pour réputation d'être un homme très renfermé, socialement exclu, il ne s'habillait que de noir et ne portait que des bijoux à l'effigie du diable. Il avait déjà eu à faire à la justice, suite à l'assassinat de sa propre femme, mais il avait été innocenté, elle aussi aurait été tuée dans le cadre d'un rituel sataniste. Andrea Volpe et ses complices furent jugés en janvier 2005, Volpe fut écroué de trente ans de prison tandis que deux de ses six complices écopèrent de 16 et 19 ans de prison. Les autres prévenus furent relaxés, faute de preuves. Le Brésil fût également touché par ces dérives satanistes. En 2003 un procès eut lieu inculpant cinq individus, membres d'une secte brésilienne, pour la torture et l'assassinat de dix- neuf enfants âgés de 8 à 13ans, dans le cadre de rituels satanistes entre 1989 et 1993. Un des enfants ayant survécut aux mutilations de ses agresseurs témoigna de son calvaire reconnu l'un de ses bourreaux lors du procès. C'est en partie grâce à ce témoignage que les prévenus furent condamnés. Parmi les coupables, on compte deux médecins, un commerçant et un policier ainsi que la dirigeante de la secte, âgée de 75 ans. Les sectes satanistes sont quasiment toutes des sectes de satanistes théistes. En revanche le satanisme théiste n'est pas forcément pratiqué au sein d'une secte, il peut être pratiqué seul ou en très petit groupe. C'est le cas du couple sataniste arrêté en 2002 pour avoir torturé puis tué un de leur collègue en prétendant avoir agis sur ordre du diable. C'est aussi le cas du prêtre ayant été accusé de l'assassinat d'une religieuse, dans le cadre d'un rituel sataniste dans les années 80. Celui-ci fût relaxé par manque de preuves, mais il fût finalement condamné en 2004, suite à la découverte de nouveaux éléments, a la prison à perpétuité. Les sectes ont été accusées d’être responsables de ces mutilations. Dans certains cas, l’intervention humaine ne fait aucun doute ce qui a renforcé cette conviction de nombreux éleveurs. En 1975, un éleveur trouva sur sa propriété une valise bleue. Elle renfermait une oreille, une langue de vache et un scalpel. Ce fut le premier indice corroborant l’intervention d’un culte satanique. De nombreux animaux morts ont été envoyés à l’Ecole vétérinaire. A cette époque, un rapport fut rédigé sur 6 cas qui avaient pu être autopsiés. Les animaux étaient morts de cause naturelle (? épidémie ?) et cinq d’entre eux semblaient avoir été, ensuite, mutilés par des mains humaines. En 1975, un pis de vache dont le contenu naturel avait été remplacé par du sable fut retrouvé. En février 1976, un veau mutilé avait la bouche remplie de clinquant métallique, du type de celui que les avions militaires larguent afin de brouiller les radars. Dans tous ces cas, l’intervention humaine est évidente. Les agents de la police montée canadienne de Calgary (Alberta) acquirent la certitude en 1980 qu’une secte mutilait le bétail dans le secteur. Ils n’en dirent pas d’avantage sur les circonstances des mutilations. Des enquêtes ont été menées aux Etats-Unis pour identifier les adeptes de ces sectes mais les recherches sont restées vaines. Note de Janny Charrueau : nous avons à faire à un phénomène étrange et/ou d'un abject motif. En France le spécialiste sur le sujet est : Mikerynos Touraine Insolite que vous pouvez retrouver sur sa page facebook et qui fait un travail remarquable. Voici un autre lien dont sont tirées les planches explicatives https://www.four-paws.org/campaigns-topics/topics/farm-animals/mutilation-of-cattle

  • MYSTÈRE DU GARD: Une boule dans le ciel observée à Saint-Gilles

    (Photo d'illustration) Texte par Baptiste Manzinali Le Gard a son lot d'étrangeté, de contes et de légendes qui traversent les époques sans que l'on parvienne à les rationaliser. La rédaction d'Objectif Gard est allé fouillé dans les archives, et vous livre quelques perles dont il vous appartient de croire....ou pas. Le 10 octobre 1974 à 17h 55, quelques élèves du collège Jean Vilar de Saint-Gilles sont encore dans la cours de récréation quand ils aperçoivent un phénomène tout particulier dans le ciel. Immédiatement, ils avertissent une surveillante qui s'empresse de venir observer à l'extérieur de l'établissement ce qu'elle définira comme une boule de couleur argentée ainsi que deux autres petites boules. Ces dernières sembleraient être reliées à la première par un fil. Dans la précipitation, elle décide d'avertir son mari mais lorsqu'elle revient sur les lieux, il est trop tard. Plus aucune trace du phénomène qui s'est volatilisé. Elle perd de vue l'ensemble, mais le lendemain, les élèves restaient sur place rapportent que les deux petites boules seraient remontées dans la plus importante avant de repartir à vive allure.

  • LES OBSERVATIONS D’OVNIS : Augmentation + 50 %

    LYDIE, 7 octobre, 2020 LES OBSERVATIONS D’OVNIS ONT AUGMENTÉ DE PLUS DE 50 % Depuis son apparition, le Covid-19 a eu un grand nombre de répercussions sur la vie quotidienne de beaucoup de personnes. La pandémie a en effet contraint de nombreux pays à opter pour le confinement afin de limiter la propagation du virus. Si les lieux publics tels que les centres commerciaux et les parcs d’attractions étaient alors déserts, il s’est avéré que le ciel lui, était plutôt animé durant le lock-down. Ayant plus de temps libre à la maison, les gens ont semblé être de plus en plus intéressés par l’observation des étoiles. Il n’est donc pas étonnant que le nombre de personnes ayant déclaré avoir vu des objets volants non identifiés (OVNIS) ait beaucoup augmenté au cours de cette année. D’après un article paru dans The Wall Street Journal le 1er septembre dernier, plusieurs personnes auraient été les témoins de vols d’OVNIS dans le ciel au cours de ces derniers mois, bien plus qu’en 2019. Une hausse de 51 % en 2020 Le National UFO Reporting Center ou NUFORC est une organisation à but non lucratif basée aux États-Unis ayant pour mission d’enquêter sur les observations d’objets volants non identifiés et les contacts extra-terrestres. Selon le NUFORC, par rapport à l’année dernière, le nombre d’observations d’OVNIS aurait augmenté de 51 % en 2020, et ce, sur une même période. L’organisation a ainsi enregistré plus de 5000 incidents cette année dont 20 % se sont passés en avril, période durant laquelle plusieurs villes des États-Unis étaient en plein confinement. Des organisations qui s’occupent des OVNIS Peter Davenport dirige le NUFORC depuis 1994. Chez lui à Harrington, dans l’Etat de Washington, il reçoit jusqu’à 50 appels téléphoniques par jour et il peut ainsi publier toutes sortes d’histoires sur l’observation d’OVNIS sur son site web. Selon Davenport, beaucoup d’observations supposées d’OVNIS sont liées à des drones, à des satellites ou encore à des avions. Il a cependant déclaré qu’il existe quand même certains cas inexplicables dont on ignore l’origine. Parmi les récentes observations d’OVNIS rapportées, on peut citer celles faites par des pilotes de la Navy qui a partagé des images montrant trois OVNIS d’origine inexpliquée. En tout cas, la prolongation du confinement et des quarantaines pourrait contribuer à enrichir les données sur les OVNIS. Ces informations pourraient également servir au Pentagone, notamment à dans le cas où ce seraient des avions extraterrestres qui nous surveillent de là-haut.

  • 9 observations d’OVNIS inexpliquées

    Krista Carothers De nombreux objets volants non identifiés se révèlent être des ballons météorologiques, des nuages ​​ou des avions. Mais certaines observations d’ovnis ne peuvent pas être expliquées si facilement. Observations d’ovnis expliquées… Les observations d’ovnis se révèlent souvent avoir une explication simple «un avion, un objet astronomique, un lancement de fusée, un ballon (qui s’échappe notamment d’une grappe de fête au coucher du soleil !), un oiseau, des insectes, une lanterne de pêcheurs de calmar au Japon», commente Seth Shostak, astronome émérite et fellow de l’Institut Seti. Cet institut a pour mission d’explorer les origines de l’humanité et de la connaissance universelle. En 1973, à l’aube de sa présidence, Jimmy Carter a cru voir un ovni, qui a, par la suite, été identifié comme étant la planète Vénus. Les débris trouvés en 1947 au champ d’aviation de l’armée Roswell, au Nouveau-Mexique, se sont avérés provenir d’un ballon-sonde expérimental d’un projet ultrasecret, resté classifié pendant près d’un demi-siècle. Mais pas tous justifiées En décembre 2017, le département de la Défense des États-Unis a admis au New York Times qu’il enquêtait sur l’observation d’ovnis (objets volants non identifiés). Le programme avancé d’identification des menaces aérospatiales (Advanced Aerospace Threat Identification Program) a obtenu près de 22 millions de dollars de financement entre 2007 et sa fermeture, en 2012, selon le Pentagone. Deux vidéos infrarouges présentaient la rencontre d’avions de chasse de la Navy et un ovni, au large des côtes californiennes en 2004. L’un des pilotes, le commandant David Fravor, a raconté qu’après avoir répondu à l’appel d’un opérateur radio le prévenant de la présence d’un mystérieux aéronef, il s’était retrouvé sur les lieux au-dessus des flots bouillonnants. Un objet ovale blanchâtre survolait l’eau. «Il évoluait à une vitesse qui dépassait tout ce que j’avais vu auparavant», affirmait-il au Times, en ajoutant avoir eu «une vraie frousse». Des objets non identifiés pas nécessairement extraterrestres Bien sûr, ce n’est pas parce que l’on ne connaît pas les raisons d’un phénomène que celui-ci dépend d’une intelligence extraterrestre. Il existe une quantité de phénomènes que la science n’arrive pas à expliquer, comme l’aspect glissant de la glace. Seth Shostak confie ne pas savoir exactement ce que révèlent les vidéos du AATIP (même s’il en a une idée), mais n’est pas convaincu qu’ils montrent une visite cosmique: «Près du tiers des meurtres commis à New York sont inexpliqués, souligne-t-il. Cela ne veut pourtant pas dire que quelqu’un ne les a pas perpétrés!» Néanmoins, cela fait des siècles que les humains repèrent des objets célestes mystérieux. Les cas se sont cependant multipliés au milieu du vingtième siècle, avec le développement de l’aviation et pendant la guerre froide: les gens sont devenus plus vigilants par rapport aux phénomènes lumineux inexpliqués dans le ciel. Voici quelques cas parmi les plus célèbres et toujours irrésolus. Chine, au 11e siècle Vers l’an 1088, Shen Kuo, un poète et stratège militaire chinois réputé, a écrit un livre intitulé Essais sur la piscine de rêve (en l’honneur de sa propriété champêtre), qui relatent ses études en astronomie, en mathématiques, en géologie, en zoologie, en botanique et plus encore. Il décrit dans ce livre ce qui pourrait être la première observation d’ovni consignée. Un objet surnommé «la perle» serait apparu de façon récurrente dans le ciel de la province du Jiangsu. Par sa porte ouverte se serait échappée une puissante lumière. «Le spectacle rappelait un lever du soleil éclairant le ciel profond et empourprant les forêts», décrit le texte. Mont Rainier, état de Washington, 1947 L’ère des soucoupes volantes remonte à la première observation d’ovni, qui n’avait pourtant rien d’une soucoupe. Le pilote amateur, Kenneth Arnold, survolait l’état de Washington une nuit claire de juin lorsqu’il a aperçu un éclair de lumière bleue près du mont Rainier. Il a compté neuf éclairs en tout. Selon lui, les lumières tournoyaient comme «la queue d’un cerf-volant chinois», comme le rappelle le livre de Ted Bloecher, publié en 1967. Le pilote croyait avoir discerné des avions, puis des oies, avant de rejeter ces deux hypothèses sans pouvoir pour autant expliquer ce qu’il avait sous les yeux. Plus tard, en racontant les faits aux journalistes, il a précisé que les lumières bougeaient «comme une soucoupe que l’on fait rebondir sur l’eau.» Socorro, Nouveau-Mexique, 1964 Au milieu des années 60, le gouvernement américain pilotait le Projet Livre Bleu sur les ovnis, alors que des complots extraterrestres faisaient l’objet de films et de séries télé, comme Au-delà du réel, en 1963. Lorsque le policier Lonnie Zamora, de Socorro, au Nouveau-Mexique, a entendu un puissant grondement et aperçu une flamme dans le ciel, il a mis fin à une poursuite policière pour voir cela de plus près. Au fond d’un canyon, il a vu une forme ronde entourée de deux silhouettes blanches. L’objet s’est envolé à son approche. Des enquêteurs du Projet Livre Bleu ont semblé croire son histoire sans lui trouver d’explication tangible (et ce, même si elle s’était produite à proximité de la rampe de lancement de missiles de White Sands). Le cas a été classé sous «non identifié». L’observation avait eu lieu près de la tristement célèbre zone 51, un site militaire mythique secret. Finlande, 1969 Un groupe de pilotes de chasse exécutaient un vol de navigation lorsqu’ils ont aperçu sept objets en forme de soucoupe ou de ballon, qui planaient à environ 5000 pieds au-dessus d’un champ. À leur approche, ces objets se sont envolés à une vitesse qualifiée d’extraordinaire, selon un article du magazine des forces armées finlandaises, Ruotuväki. Ce sera le seul cas d’ovnis répertorié par l’armée de l’air de ce pays. France, 1981 Lorsque le Groupe d’études et d’information sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEIPAN) français a rendu publics ses dossiers en 2007, son site internet a surchauffé. Un de leurs cas inexpliqués les plus célèbres se passe dans le jardin d’un résident de Trans-en-Provence, où un engin de 8 pieds, de forme ovale, aurait atterri et redécollé aussitôt. Le GEIPAN a fait l’étude des traces matérielles de ce qui pourrait être un engin colossal. Autoroute du New Jersey, 2001 Un grand nombre de conducteurs se sont arrêtés au bord de l’autoroute (pour mieux voir ce qu’ils ont décrit comme une gerbe de lumières orange doré se déplaçant lentement dans le ciel, près du canal Arthur Kill. Le lieutenant du poste de police voisin de Carteret était l’un des témoins. Les contrôleurs aériens, ainsi que le service de météo local, n’ont pu expliquer ce phénomène. Aéroport international O’Hare de Chicago, 2006 Par un après-midi frisquet de novembre, les pilotes, agents de piste, mécaniciens et employés de la United Airlines, qui travaillaient dans le hall C de l’aéroport O’Hare, ou à côté, ont aperçu un aéronef très bizarre qui survolait l’aéroport. Ils l’ont tous décrit comme un disque gris brillant, rapporte le Chicago Tribune. Certains l’auraient vu faire des vrilles. Quelques minutes plus tard, il est monté en flèche et a percé un trou dans les nuages. Personne n’avait malheureusement d’appareil photo ni de vidéo, et la Federal Aviation Administration n’a rien capté sur ses systèmes radars. Arizona, 2018 Deux pilotes de vols commerciaux, l’un en Learjet et l’autre dans un avion de la compagnie American Airlines, ont tous deux déclaré avoir aperçu un objet qui volait à deux ou trois mille pieds au-dessus d’eux dans l’espace aérien de l’Arizona, en février. La Federal Aviation Administration a publié les échanges radio entre les pilotes et la tour de contrôle, et confirmé qu’aucun autre avion n’était attendu dans la zone à ce moment précis, selon le magazine Fortune.

  • TEMOIGNAGE d'un PILOTE sur trois observations

    TEMOIGNAGE d'un PILOTE sur trois observations faites dans le ciel de Nouvelle-Aquitaine, France Monsieur Michel, 75 ans, revient sur trois observations faites à plusieurs moments de sa vie. Pilote de petit avion et instructeur d'ULM, notre sympathique témoin a rencontré, cet automne (2020), l'enquêteur de MUFON-France Éric Barrouillet. Si vous aussi, désirez témoigner dans un climat de confiance, joignez-nous par mail et poursuivez votre aventure en nous rejoignant sur : www.mufonfrance.fr Vous êtes confronté à une observation d'un phénomène étrange ou insolite, vous pouvez nous faire part de votre témoignage.

  • Trump peut-il secouer l'élection en révélant ENFIN ce que le Pentagone sait?

    Nick Pope, Former head of MoD's UFO project, 30 Oct 2020, 10:38 Traduction MUFON France Les observations d'OVNIS prennent d'assaut les États-Unis - Trump peut-il secouer l'élection en révélant ENFIN ce que le Pentagone sait ? Ils l'appellent une surprise d'octobre - une révélation soudaine et inattendue qui peut changer le cours d'une élection présidentielle américaine. Dans les derniers jours de l'élection américaine la plus âprement disputée de l'histoire, certains pensent que le président Trump pourrait être sur le point de déclencher l'ultime Surprise d'octobre: les extraterrestres. La spéculation croissante sur une divulgation imminente d'OVNI n'est pas motivée par des ragots sur Internet, mais par des indices laissés par le président Trump lui-même. Plus tôt ce mois-ci, lors d'une émission de Fox News, le président a promis de jeter un "bon et fort regard" sur les ovnis, avant de se lancer dans une déclaration sur la formidable puissance de l'armée américaine, et des armes qu'il espérait ne jamais devoir être utilisées. Compte tenu de la théorie du complot selon laquelle la Force spatiale a été créée pour contrer une menace extraterrestre, les commentaires optimistes du président ne feront qu'alimenter les rumeurs sur une guerre des mondes réelle. Interrogé sur Roswell - où les chasseurs d'OVNIS croient qu'un vaisseau spatial extraterrestre s'est écrasé en 1947 - il a répondu de manière cryptique: "Je ne vous parlerai pas de ce que j'en sais, mais c'est très intéressant", ajoutant "Je vais devoir réfléchir celui-là »lorsqu'on lui a demandé s'il envisagerait de le déclassifier. Ce qui rend ces citations encore plus extraordinaires, c'est le fait qu'il y a moins de trois ans, la position officielle du gouvernement américain était que personne ne s'intéressait aux ovnis et que personne n'enquêtait. Les passionnés d'OVNI ne croyaient pas aux dénégations et cette fois ils avaient raison. UNE une série de révélations de bombes a révélé la vérité choquante sur les secrets des OVNIS américains. Cela a commencé en décembre 2017 avec une exclusivité du New York Times, révélant l'existence d'un projet ténébreux du Pentagone appelé AATIP - Advanced Aerospace Threat Identification Program - mis en place des années plus tôt par l'ancien chef de la majorité au Sénat, Harry Reid. L'AATIP est toujours enveloppé de mystère, mais dans une lettre au Congrès, la Defense Intelligence Agency super-secrète a confirmé que ce programme de plusieurs millions de dollars avait mené des recherches sur le type de physique théorique qui serait nécessaire pour les voyages interstellaires, y compris l'anti-gravité, chaîne lecteurs et vortex. Le ministère de la Défense a affirmé que l'AATIP se concentrait sur les «menaces aérospatiales de nouvelle génération» et il est vrai que des choses comme les missiles hypersoniques et les essaims de drones contrôlés par l'intelligence artificielle sont très préoccupantes. Mais l'un des documents de recherche de l'AATIP était lié à l'équation de Drake - utilisée par les astronomes pour estimer le nombre de civilisations extraterrestres dans notre galaxie. L'implication était claire: si l'AATIP concernait des menaces aérospatiales avancées, il ne s'agissait pas de menaces de la Russie ou de la Chine, mais de quelque part beaucoup plus loin. La prochaine bombe fut la sortie de trois vidéos montrant des avions de l'US Navy chassant des OVNIS. Plusieurs des pilotes ont parlé publiquement de ces observations et, interrogé sur ces rencontres en vol, le président Trump a félicité les pilotes, en disant: "Certains d'entre eux voient vraiment des choses un peu différentes que par le passé, alors nous vous allez voir, mais nous allons le regarder ". Dans une autre interview, il a déclaré: "C'est une sacrée vidéo", ajoutant: "Je me demande simplement si c'est réel." C'était réel. Le 27 avril, le Pentagone a publié un communiqué de presse confirmant que les trois films "étaient bien des vidéos de la Marine", ajoutant que les phénomènes observés restent "non identifiés". Aliens désactivant les armes nucléaires : Il s'est avéré qu'il y avait - et il y a eu depuis de nombreuses années - une série continue d'incursions dans l'espace aérien militaire restreint et sur des installations militaires sensibles. On prétend même que les OVNIS ont plané au-dessus des bases nucléaires et désactivé les armes, ce que les chasseurs d’ovnis croient être un effrayant avertissement à la race humaine. En réponse à tout cela, l'US Navy a donné des instructions à ses pilotes, leur disant quoi faire s'ils rencontraient un OVNI. Mais ils refusent de révéler ce que disent ces instructions -elles sont classées. Des personnalités politiques de haut niveau ont exigé une action. Deux puissants organes du Sénat, le Comité des services armés et le Comité du renseignement, ont manifesté un intérêt particulier et des séances d'information classifiées ont eu lieu, bien que les sénateurs impliqués soient restés discrets. "Je ne vais pas entrer dans le contenu du briefing. C'était un briefing confidentiel", a tout dit Mark Warner, vice-président du Comité sénatorial du renseignement, interrogé par un journaliste. Jeanne Shaheen, membre du Comité sénatorial des forces armées, est allée un peu plus loin en admettant: «Nous avons été informés. C'était un briefing confidentiel, donc je ne suis pas autorisé à en parler. "Mais si vous me demandez personnellement est-ce que je crois qu'il y a des OVNIS, je pense qu'il y a des événements qui se sont produits qui n'ont pas été expliqués de manière adéquate". Le Royaume-Uni est resté dans le noir Tout ce que ces sénateurs ont appris sur les OVNIS par les briefings du renseignement militaire doit les avoir effrayés. Lorsque la commission du renseignement du Sénat a publié la loi d’autorisation pour l’exercice 2021, une section avait été insérée sous le titre «Menaces aériennes avancées», dans laquelle ils exigeaient un rapport sur le phénomène du directeur du renseignement national. En réponse à la demande du comité que les chefs d'espionnage et les militaires découvrent le mystère des OVNIS, le secrétaire adjoint à la Défense David L. Norquist a autorisé la création d'un nouveau groupe appelé le Groupe de travail sur les phénomènes aériens non identifiés. Dirigée par la marine et avec la participation du sous-secrétaire à la défense pour le renseignement et la sécurité, aucun détail sur cette unité obscure ne sera rendu public, bien qu'un communiqué de presse du Pentagone daté du 14 août ait offert des indices intrigants, quand il a déclaré: "Le Département de Défense établie l'UAPTF pour améliorer sa compréhension et mieux comprendre la nature et les origines des PAN. Que savent les États-Unis sur les OVNIS que le Royaume-Uni ne sait pas? Nick Pope : "La mission du groupe de travail est de détecter, analyser et cataloguer les PAN qui pourraient potentiellement constituer une menace pour la sécurité nationale des États-Unis". Les gens qui ont suivi de près les développements ont remarqué que le mot «menace» revient à plusieurs reprises dans les déclarations officielles et les documents sur les OVNIS. Alors, que savent les États-Unis sur les ovnis que le Royaume-Uni ne sait pas? Toute cette activité de grande puissance suggère que les Américains sont conscients d'une vérité profonde sur les ovnis. Mais il n’est pas partagé avec les alliés. La soi-disant relation spéciale ne semble pas s'étendre aux ovnis, ce qui est malheureux s'il y a une menace. Officiellement du moins, le Royaume-Uni ne fait plus de recherches et d’enquêtes sur les ovnis. Le projet du ministère de la Défense que j'ai mené dans les années 90 a été supprimé à la fin de 2009, bien que nous ayons eu une certaine influence sur la politique américaine: c'est notre changement de nom de «OVNI» en «UAP» dans les années 90 qui a finalement fait adopter le sujet. plus sérieusement, et un attaché de presse américain a récemment reconnu que le terme UAP "avait été emprunté au Royaume-Uni". Mais le Royaume-Uni a désespérément besoin de revenir dans le jeu, de rouvrir les enquêtes et d'échanger des informations avec le groupe de travail UAP du Pentagone. J'appelle officiellement le secrétaire d'État à la Défense, Ben Wallace, à prendre ces mesures, en consultation avec son homologue américain Mark Esper. Trump révélera-t-il la vérité? De retour aux États-Unis, à l'approche des élections, l'intérêt pour les ovnis atteint son paroxysme. Et les célébrités se lancent aussi dans l'acte, avec la princesse de la pop Miley Cyrus révélant qu'elle a eu sa propre rencontre avec un OVNI en Californie, avouant avoir été "pourchassée" puis établissant un "contact visuel" avec un être extraterrestre. Le sien est le dernier d'une longue série d'observations de soucoupes de célébrités, remontant à John Lennon voyant un OVNI à New York en 1974. Robbie Williams - que j'ai rencontré lors d'une conférence sur les OVNIS en 2008 - est allé observer le ciel au tristement célèbre Skinwalker Ranch dans l'Utah, où de nombreuses observations d'OVNIS et événements paranormaux ont été rapportés. Malgré les spéculations intenses, je ne sais pas si le président Trump fera ou non une annonce sur les ovnis à l'approche des élections, ou dans son deuxième mandat, s'il gagne. Et si Trump perd, nous n'avons pas encore appris ce que ferait Joe Biden - bien que curieusement, la candidate démocrate à la vice-présidence Kamala Harris est membre de la commission du renseignement du Sénat, elle a donc peut-être déjà été informée.

  • L'Iran a rencontré des OVNIs Mach 10 ?

    Par David Axe, the National Interest Traduction MUFON France L'Iran a rencontré des OVNI Mach 10 qui fouinaient autour de ses installations nucléaires Ou s'agit-il simplement de drones américains à grande vitesse? Point clé: l'Amérique possède des drones très rapides et de haute technologie. Cependant, pour autant que nous sachions, ils ne dépassent pas Mach 5. L’Iran est le seul autre pays que les États-Unis à exploiter sans doute l’avion d’interception le plus puissant de l’histoire, le F-14 Tomcat. Et la République islamique a travaillé dur avec les chasseurs bimoteurs à voilure pivotante. Les F-14 ont joué un rôle majeur dans la guerre de l’Iran contre l’Irak de 1980 à 1988. Les pilotes iraniens de Tomcat ont été les seuls à utiliser avec succès le missile à longue portée et lourd Phoenix AIM-54 pour abattre les avions ennemis. Dans les décennies qui ont suivi la guerre, Téhéran a réparé et amélioré les F-14 survivants, parcourant le monde à la recherche de pièces au mépris d'un embargo du gouvernement américain. Les Américains ont retiré leurs F-14 en 2006, mais une quarantaine de Tomcats iraniens restent actifs. Leur rôle principal est de défendre les sites nucléaires iraniens. C’est une mission qui a mis les intercepteurs en contact étroit avec des avions très mystérieux, selon un article bizarre et fascinant de 2013 dans le magazine Combat Aircraft du journaliste Babak Taghvaee. Les Iraniens pensaient que les objets étaient des drones d'espionnage appartenant à la Central Intelligence Agency des États-Unis, envoyés pour flairer le programme présumé d'armes atomiques de Téhéran. Mais ils attribuent à ces prétendus véhicules aériens sans pilote des caractéristiques et des capacités de vol bien au-delà de ce que tout drone connu peut réaliser. Et en 2012, l'un des prétendus robots volants aurait également abattu un F-14 tentant de l'intercepter. Ou du moins, certains Iraniens semblent vraiment le croire. Au fil des décennies, Téhéran a construit trois grandes installations nucléaires qui pourraient, en théorie, être utilisées pour assembler des armes atomiques: des réacteurs à Bushehr et Arak et une usine d'enrichissement à Natanz. Cette infrastructure est devenue publique en 2002. Il ne fait aucun doute que la CIA s'y est vivement intéressée, peut-être bien avant cette date. «Un certain nombre de drones de reconnaissance ont été envoyés pour recueillir des renseignements afin de se préparer à une éventuelle attaque» par les forces occidentales, a écrit Taghvaee. Pour protéger les installations nucléaires, l'Iran a déployé en 2004 une force opérationnelle composée de huit chasseurs F-4E et de huit F-14 plus un ancien avion de ligne 707 et un avion cargo C-130 équipé de capteurs et de radios pour le commandement et le contrôle. Le groupe de travail a rencontré ce qu'il croyait être des drones de la CIA aux «caractéristiques de vol étonnantes». Les drones pourraient brouiller les radars et perturber les systèmes de navigation des intercepteurs. Ils volaient «hors de l'atmosphère» à des vitesses allant jusqu'à Mach 10. Ils pouvaient planer. Volant de nuit, ils ont émis une lumière bleue révélatrice qui a conduit à leur surnom: «objets lumineux». «Dans plusieurs cas… les F-14 les ont affrontés mais n'ont pas pu faire fonctionner correctement leurs systèmes d'armement», a écrit Taghvaee. Un Tomcat décollant pour intercepter un objet lumineux le 26 janvier 2012 a mystérieusement explosé, tuant les deux membres d'équipage. Taghvaee laisse entendre que le présumé UAV était en quelque sorte responsable, car le F-14 en question était «l'un des plus aptes» des quelque 40 Tomcats alors en service. Il va sans dire que la CIA et le Pentagone volent très probablement des avions de reconnaissance à proximité - et même au-dessus - des sites nucléaires iraniens. En 2012 et 2013, des combattants iraniens ont tenté d'intercepter des drones américains Predator à l'extérieur de l'espace aérien de Téhéran. Lors de l'incident de 2013, un chasseur furtif F-22 de l'US Air Force a bloqué l'interception avec des théâtres de style Top Gun. En 2009, l'armée de l'air a découvert l'existence d'un nouveau drone, auparavant secret, exploité en collaboration avec l'agence de renseignement. Le RQ-170 Sentinel était basé dans le sud de l'Afghanistan à une courte distance de vol de l'Iran. En décembre 2011, un Sentinel s'est écrasé à la frontière entre l'Afghanistan et l'Iran et a été capturé par les troupes iraniennes. Ni le Predator ni le Sentinel ne volent particulièrement haut et ne peuvent pas planer ou briller en bleu. Et ni n'a la puissance électrique pour brouiller les radars et le matériel de navigation. Les rumeurs abondent selon lesquelles l'Armée de l'air et la CIA exploitent un nouveau drone furtif qui n'a pas été divulgué au public. Même s’ils le font, il est peu probable que le nouvel UAV soit capable de voler hypersonique Mach-10 - le Pentagone a encore du mal à atteindre Mach cinq. Donc, si les F-14 iraniens recherchent vraiment des OVNI ultra-rapides, super-volants et mortels, que sont-ils exactement? Qui sait.

  • Base lunaire : transformer la roche en oxygène et matériaux de constructioN

    Jonathan Paiano, 9 novembre 2020 / Trust my Science. Crédit photo ESA. Base lunaire : une entreprise privée transformera la roche en oxygène et en matériaux de construction. Dans le cadre du programme spatial Artemis de la NASA, le prochain vol habité pour la Lune devrait avoir lieu en 2024, avec comme objectif d’établir à terme une présence humaine permanente sur notre satellite naturel. Un défi de taille, qui nécessitera une collaboration internationale et multitechnologique, et qui impliquera un grand nombre d’entreprises privées. Dans cet élan, une société britannique a remporté un contrat de l’Agence spatiale européenne (ESA) pour développer une technologie permettant de transformer la poussière et les roches lunaires en oxygène. La nouvelle technologie d’extraction et de transformation, développée par l’entreprise Metalysis, permettra d’obtenir d’une part de l’oxygène, nécessaire à la survie des astronautes, et d’une autre, de l’aluminium, du fer et d’autres composés métalliques. Ces matières pourront directement être utilisées par les futurs ouvriers lunaires pour construire et étendre les infrastructures. Si le processus fait ses preuves, il ouvrira la voie à des installations d’extraction lunaires qui produiront de l’oxygène et des matériaux précieux à la surface, plutôt que de devoir les transporter de la Terre jusqu’à la Lune, ce qui représente un coût énorme. « Tout ce que nous emmenons de la Terre à la Lune est un poids supplémentaire que nous voulons éviter, donc si nous pouvons fabriquer ces matériaux in situ, cela fait gagner beaucoup de temps, d’efforts et d’argent », a déclaré Ian Mellor, directeur général de Metalysis, basée à Sheffield (Angleterre). Oxygène : présente en grande quantité dans la roche lunaire Des analyses effectuées sur des échantillons de roches lunaires ont par le passé révélé que l’oxygène représente en moyenne environ 45% de leur poids. Le reste est constitué en grande partie de fer, d’aluminium et de silicium. Dans une étude publiée cette année, les chercheurs de Metalysis et de l’université de Glasgow ont découvert qu’ils pouvaient extraire 96% de l’oxygène du sol lunaire simulé, produisant au passage des poudres d’alliages métalliques utiles à la construction. La NASA et d’autres agences spatiales sont en phase de préparation avancée pour retourner sur la Lune, cette fois pour y établir une base lunaire permanente (village lunaire), où les nations opéreront aux côtés d’entreprises privées sur des technologies essentielles telles que le maintien de la vie, la construction d’habitats, la production d’énergie et la production de nourriture et de matériaux. Le contrat de l’ESA financera Metalysis pendant neuf mois afin de perfectionner un processus électrochimique qui libère l’oxygène de la poussière (le régolithe) et des roches lunaires en envoyant un courant électrique à travers le matériau. Ce procédé est déjà utilisé sur Terre, mais l’oxygène est libéré comme un sous-produit indésirable de l’extraction. Pour que ce procédé fonctionne sur la Lune, l’oxygène doit être capturé et stocké. Dans le cadre du contrat, la société tentera d’augmenter le rendement et la pureté de l’oxygène et des métaux de la roche tout en réduisant la quantité d’énergie consommée par le processus. Si la technologie fait ses preuves, l’étape suivante consistera à faire la démonstration de l’extraction de l’oxygène directement sur la Lune. Une « station service » spatiale L’oxygène libéré de la surface lunaire peut être combiné avec d’autres gaz pour produire de l’air respirable, mais il est aussi un composant essentiel du propergol de fusée, qui pourrait donc être fabriqué sur le satellite et utilisé pour ravitailler les vaisseaux d’exploration de l’espace lointain. « Si vous voulez aller plus loin dans l’espace, c’est ici littéralement une station-service lunaire, pour ensuite aller dans l’espace plus profond », a déclaré Mellor. Mark Symes, qui travaille sur ce processus à l’Université de Glasgow, a déclaré que la roche lunaire représente « une énorme source potentielle d’oxygène » pour soutenir l’exploration humaine du satellite terrestre et du système solaire au sens large. « L’oxygène est utile non seulement pour la respiration des astronautes, mais aussi comme oxydant dans les systèmes de propulsion des fusées », a-t-il déclaré. « Il n’y a pas d’oxygène directement exploitable sur la Lune, donc les astronautes devraient emporter tout leur oxygène avec eux, pour leur besoin sur place et pour permettre leur voyage de retour, ce qui augmente considérablement le poids et donc les dépenses des lancements de fusées en direction de la Lune ». « À l’avenir, si nous voulons voyager davantage dans l’espace et établir des bases sur la Lune et sur Mars, nous devrons fabriquer ou trouver les éléments nécessaires au maintien de la vie : de la nourriture, de l’eau et de l’air respirable », a déclaré Sue Horne, responsable de l’exploration spatiale à l’Agence spatiale britannique. Pendant plus de quatre décennies, l’exploration spatiale humaine a été limitée à des missions vers la Station spatiale internationale, un avant-poste en orbite à environ 400 kilomètres au-dessus du sol terrestre. Au cours des prochaines années, l’accent sera mis sur la construction d’une nouvelle station en orbite autour de la Lune, qui servira de point d’arrêt pour que les humains puissent établir une présence sur la surface lunaire, et éventuellement une base à partir de laquelle les futurs explorateurs pourront embarquer en direction de Mars. Le programme Lunar Gateway s’est fixé l’objectif ambitieux de ramener des humains sur la Lune dès 2024, avec des équipages transportés à bord du vaisseau spatial Orion de la NASA. La fusée devrait effectuer son premier vol sans équipage l’année prochaine. L’ESA a fourni les unités de puissance et de propulsion pour le premier vol d’Orion et a conclu des contrats pour la construction du module d’équipage principal de la station lunaire.

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