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- Un météorologue à la retraite partage son récit d'observations d'OVNI de l'ouest du Michigan en 1994
Traduit par le MUFON France, écrit par le météorologue Will Haenni "Ils se déplaçaient si rapidement que deux autres ont commencé à entrer en jeu. J'ai eu peu de temps pour décrire où ils se trouvaient avant qu'ils ne se déplacent et sautent à nouveau", a déclaré Jack Bushong, météorologue à la retraite, en décrivant ce qu'il a vu sur le radar dans la nuit du 8 mars 1994. M. Bushong a passé sa carrière à travailler pour le National Weather Service. La nuit du 8 mars 1994, il était seul au bureau du National Weather Service à Muskegon, par une nuit froide mais routinière. Le NWS n'a plus de bureau ni de radar à Muskegon depuis que l'agence gouvernementale de prévision a été modernisée et réorganisée au milieu des années 90. Le téléphone a sonné et M. Bushong a répondu pour trouver au bout du fil un répartiteur du comté d'Ottawa qui avait reçu des rapports sur d'étranges lumières dans le ciel. Ils ont appelé le National Weather Service pour voir si quelque chose apparaissait sur les radars météorologiques. Il s'avère que plus de 100 personnes ont signalé avoir été témoins de ces étranges lumières dans le ciel. Cindy Pravda, qui vit à Grand Haven, a partagé son récit avec News Channel 3 en mars 2019, à l'occasion du 25e anniversaire de l'une des observations d'OVNI les plus célèbres du Michigan. C'est à ce moment-là que Bushong a pris le contrôle manuel du radar de Muskegon, et a commencé à agiter son faisceau d'avant en arrière à travers le comté d'Ottawa, à la recherche d'objets. La conversation entre M. Bushong et le dispatcheur a été enregistrée, et le chapitre du Michigan du Mutual UFO Network (MUFON) l'a mise en ligne. Cette nuit-là, il n'y avait pas d'orages à suivre sur le radar, mais plutôt quelque chose d'autre. "Vous pouviez l'utiliser comme un projecteur", a déclaré M. Bushong en décrivant le fonctionnement du radar à l'époque. "J'avais deux manivelles pour le faire monter ou descendre, ou l'orienter d'un côté à l'autre. On l'envoyait à la recherche des conditions météorologiques : tout type de pluie, de neige fondue ou de grêle, c'est ce qu'on recherchait habituellement quand on le sortait du mode automatique". M. Bushong raconte que l'objet est d'abord apparu seul sur les échos radar. "Au début, il n'y avait qu'un seul objet", a-t-il déclaré. "L'objet se déplaçait en roue libre à environ 100 miles par heure. Alors qu'il observait l'objet, celui-ci s'est arrêté et a commencé à planer. "Puis il s'est élevé, à environ 5 000 pieds, puis 10 000 pieds, tout droit ", a déclaré M. Bushong. "À ce moment-là, l'officier de police a dit qu'il voyait la même chose avec le même objet. C'était presque comme si l'objet me disait : "Hé, je sais que tu peux me voir"", a ajouté M. Bushong. "Jusqu'à ce que cet objet monte à environ 30 ou 40 000 pieds, et je l'ai enfin vu. Il a ensuite décrit avoir vu un triangle d'objets sur le radar, orientés verticalement, avant qu'ils ne s'étendent finalement à l'horizontale. "L'un d'entre eux était le plus proche du radar, de sorte qu'il paraissait plus gros, puis il y en a eu deux autres", a-t-il déclaré. "L'un sur la rive du lac Michigan, l'autre un peu plus à l'intérieur des terres. Ils étaient tous séparés par une distance d'environ 20 miles". Selon lui, l'un des objets s'éloignait d'une vingtaine de kilomètres avant que les autres ne le suivent selon un schéma géométrique. "Je les ai vus planer ou sauter à grande vitesse vers l'endroit suivant. Ensuite, il y avait deux autres points qui sautaient pour revenir dans le même triangle, et ils continuaient ainsi", a déclaré M. Bushong. Selon M. Bushong, ils ont même parfois atteint des hauteurs proches de 60 000 pieds. Cela disqualifie, selon lui, une théorie utilisée par certains pour tenter de discréditer ses observations, à savoir celle des échos parasites. L'encombrement du sol, causé par un phénomène radar connu sous le nom de propagation anormale, se produit lorsque les faisceaux radar s'inclinent vers la surface de la terre, renvoyant des échos d'objets proches du sol. Selon M. Bushong, ce phénomène s'est poursuivi jusqu'à ce que les trois, voire quatre objets, survolent le sud du lac Michigan, où M. Bushong a déclaré en avoir observé des dizaines d'autres. Pendant environ deux heures, il a vu un groupe plus important d'objets stationnaires, certains se déplaçant lentement entre eux. Par coïncidence, il s'agissait d'une zone d'eau libre sur le lac Michigan, une année où le lac était presque entièrement recouvert de glace. Bushong a ensuite appelé la tour de contrôle de la FAA à l'aéroport du comté de Muskegon pour savoir s'ils avaient observé quelque chose. Il dit avoir parlé à un contrôleur aérien qui avait observé trois avions en formation au loin, mais qui n'avaient pas de code transpondeur. Le premier emploi de M. Bushong, après avoir obtenu son diplôme de l'État de Floride, était à Grand Rapids, au sein du service météorologique national. Il a ensuite été transféré au bureau du NWS de Muskegon jusqu'en 1994, coïncidant avec l'année où les observations ont eu lieu. Plus tard dans l'année, il a été transféré au bureau du NWS d'Atlanta, où il a pris sa retraite. Il a déclaré que cela n'avait rien à voir avec l'incident du 8 mars, mais qu'il s'agissait plutôt d'une promotion et d'un transfert qu'il attendait. M. Bushong explique qu'il n'a pas été autorisé à parler aux médias au départ, car on ne voulait pas que le public reçoive un message erroné. "Le NWS ne voulait pas devenir le centre de signalement des OVNIs pour les États-Unis, c'est pourquoi il a dû s'esquiver et se couvrir pour cette affaire", a déclaré M. Bushong. Il a expliqué qu'il avait été ridiculisé pour son récit au fil des ans, mais qu'il se sentait plus à l'aise pour en parler depuis que le ministère américain de la défense avait publié des vidéos confirmant ce qu'il appelle des "phénomènes aériens non identifiés". Les observations du 8 mars 1994 sont toujours qualifiées d'"inexpliquées" selon le chapitre du Michigan du MUFON (Mutual UFO Network), la plus grande organisation civile de recherche sur les OVNI au monde. Si vous avez des informations ou une histoire à partager sur cette nuit-là, vous pouvez envoyer un courriel à wchaenni@sbgtv.com. M. Bushong a déclaré qu'il espérait publier un jour son récit et les documents qui s'y rapportent dans une sorte de format ouvert. Note du MUFON France : Vous pouvez retrouver ce témoignage dans un épisode de la série NETFLIX "Les Enquêtes extraordinaires" saison 3 épisode 2 : https://www.netflix.com/fr/title/81026055 Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous Pour commander notre livre cliquez sur l'image : #ovni #ufo #pan #uap #mufon
- Rapport statistique mensuel du MUFON pour juin 2023
Rapport statistique mensuel du MUFON pour juin 2023 : Le CMS continue d'accumuler des rapports d'observations provenant du monde entier. En juin 2023, 715 observations ont été rapportées au MUFON par l'intermédiaire de la CMS, en provenance des pays suivants : Pays Nombre de rapports ÉTATS-UNIS 559 ROYAUME-UNI 31 CANADA 30 FRANCE 28 AUSTRALIE 14 HONGRIE 8 ALLEMAGNE 6 PORTUGAL 3 NOUVELLE ZÉLANDE 3 BRÉSIL 3 IRLANDE 3 MEXIQUE 2 ESPAGNE 2 AFRIQUE DU SUD 2 AFGHANISTAN 1 SUISSE 1 TRINITÉ-ET-TOBAGO 1 IRAN 1 COSTA RICA 1 CROATIE 1 ROUMANIE 1 BAHAMAS 1 COLOMBIE 1 ISRAËL 1 CHINE 1 CORÉE, (Sud) 1 SERBIE ET MONTENEGRO 1 GUADELOUPE 1 MAROC 1 THAILANDE 1 CHILI 1 INDE 1 AUTRICHE 1 TOTAL : 713 D'autres points de données intéressants dans le CMS au cours du mois de juin 2023 sont la forme des OVNIs signalés, qui sont les suivants : Forme de l'objet Nombre de rapports Cercle 103 Sphère 100 Inconnu 62 Autre 60 Triangle 47 Disque 40 Ovale 38 Cigare 35 Cylindre 24 Étoile 24 Carré/Rectangulaire 24 Tic Tac 18 Boule de feu 11 Diamant 10 Boomerang 10 N/A 9 Balle/missile 9 Ballon dirigeable 7 Goutte d'eau 4 Éclair 4 Cône 4 Croix 4 Chevron 4 Œuf 3 Saturnien 2 Forme de l'objet pour la France : Cercle 5 Sphère 5 Inconnu 5 Rectangle 3 Triangle 2 Cigare 2 Boomerang 2 Tic-Tac 2 Autre 2 Le plus impressionnant est que 21 atterrissages, vols stationnaires ou décollages ont été signalés et que 25 entités ont été observées. Le nombre de cas d'enlèvement (ERT) s'élève à 28. Le nombre de questionnaires d'expérience soumis est de 0. Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous Pour commander notre livre cliquez sur l'image : #ovni #ufo #pan #uap #mufon
- DES RESPONSABLES DU RENSEIGNEMENT AFFIRMENT QUE LES USA ONT RÉCUPÉRÉ DES ENGINS NON HUMAINS
Traduit par le MUFON France, écrit par Leslie Kean et Ralph Blumenthal Un ancien agent des services de renseignement devenu lanceur d'alerte a communiqué au Congrès et à l'inspecteur général de la communauté du renseignement de nombreuses informations classifiées sur des programmes très secrets qui, selon lui, possèdent des engins d'origine non humaine, intacts ou partiellement intacts, récupérés. Selon lui, ces informations ont été illégalement cachées au Congrès et il a déposé une plainte alléguant qu'il avait subi des représailles illégales pour ses révélations confidentielles, rapportées ici pour la première fois. D'autres responsables des services de renseignement, en activité ou à la retraite, ayant eu connaissance de ces programmes dans le cadre de leur travail au sein de diverses agences, ont fourni de manière indépendante des informations similaires et concordantes, tant à titre confidentiel qu'officieux. Le lanceur d'alerte, David Charles Grusch, 36 ans, ancien officier de combat décoré en Afghanistan, est un vétéran de la National Geospatial-Intelligence Agency (NGA) et du National Reconnaissance Office (NRO). Il a été le représentant du bureau de reconnaissance au sein du groupe de travail sur les phénomènes aériens non identifiés de 2019 à 2021. De fin 2021 à juillet 2022, il a été le co-responsable de la NGA pour l'analyse des PAN et son représentant au sein du groupe de travail. La task force a été créée pour enquêter sur ce que l'on appelait autrefois les "objets volants non identifiés" (OVNI) et que l'on appelle aujourd'hui officiellement les "phénomènes aerospatiaux non identifiés" (PAN). Le groupe de travail était dirigé par le département de la marine, sous l'égide du bureau du sous-secrétaire à la défense chargé du renseignement et de la sécurité. Elle a depuis été réorganisée et élargie pour devenir le Bureau de résolution des anomalies tous domaines, afin d'inclure les enquêtes sur les objets opérant sous l'eau. M. Grusch a indiqué que le gouvernement, ses alliés et les entreprises de défense ont récupéré des fragments partiels et des véhicules intacts pendant des décennies et jusqu'à aujourd'hui. Les analyses ont permis de déterminer que les objets récupérés sont "d'origine exotique (intelligence non humaine, extraterrestre ou d'origine inconnue) sur la base de la morphologie des véhicules et des tests de science des matériaux, ainsi que de la possession d'arrangements atomiques et de signatures radiologiques uniques", a-t-il déclaré. En déposant sa plainte, Grusch est représenté par un avocat qui a été le premier inspecteur général de la communauté du renseignement (ICIG). "Nous ne parlons pas d'origines ou d'identités prosaïques", a déclaré M. Grusch, faisant référence aux informations qu'il a fournies au Congrès et à l'actuel ICIG. "Le matériel comprend des véhicules intacts et partiellement intacts. Conformément aux protocoles, M. Grusch a fourni au Defense Office of Prepublication and Security Review du ministère de la défense les informations qu'il avait l'intention de nous divulguer. Ses déclarations ont toutes été "autorisées à la publication" les 4 et 6 avril 2023, selon des documents qui nous ont été fournis. Les révélations de M. Grusch, ainsi que celles de témoins non publics, en vertu des nouvelles dispositions de protection du dernier projet de loi sur les crédits de la défense, témoignent de la détermination croissante de certains membres du gouvernement à élucider une énigme colossale ayant des répercussions sur la sécurité nationale, qui a tourmenté l'armée et séduit le public depuis la Seconde Guerre mondiale et même au-delà. Pendant de nombreuses décennies, l'armée de l'air a mené une campagne de désinformation pour discréditer les observations d'objets inexpliqués. Aujourd'hui, après deux auditions publiques et de nombreuses réunions d'information confidentielles, le Congrès fait pression pour obtenir des réponses. Karl E. Nell, colonel de l'armée récemment retraité et cadre dans l'aérospatiale, qui a assuré la liaison entre l'armée et l'UAP Task Force de 2021 à 2022 et a travaillé avec M. Grusch, qualifie ce dernier d'"irréprochable". Christopher Mellon, qui a passé près de vingt ans au sein de la communauté du renseignement américain et a occupé le poste de secrétaire adjoint à la défense pour le renseignement, travaille depuis des années avec le Congrès sur les phénomènes aériens non identifiés. "Un certain nombre d'anciens et d'actuels responsables bien placés ont partagé avec moi des informations détaillées concernant ce programme présumé, y compris des aperçus de l'histoire, des documents directeurs et de l'endroit où un engin aurait été abandonné et récupéré", a déclaré M. Mellon. "Cependant, il est délicat de faire parvenir ces informations potentiellement explosives aux bonnes mains pour qu'elles soient validées. La tâche est d'autant plus ardue que, à tort ou à raison, un certain nombre de sources potentielles ne font pas confiance aux dirigeants du Bureau de résolution des anomalies de tous les domaines, créé par le Congrès. Mais certains initiés sont désormais prêts à prendre le risque de révéler pour la première fois leur connaissance de ces programmes de récupération. Jonathan Grey est un officier générationnel de la communauté du renseignement des États-Unis, doté d'une habilitation Top-Secret, qui travaille actuellement pour le National Air and Space Intelligence Center (NASIC), où il s'occupe principalement de l'analyse des UAP. Auparavant, il a travaillé pour le secteur privé de l'aérospatiale et pour les groupes de travail sur les directives spéciales du ministère de la défense. "Le phénomène de l'intelligence non humaine est réel. Nous ne sommes pas seuls", a déclaré M. Grey. "Les récupérations de ce type ne se limitent pas aux États-Unis. Il s'agit d'un phénomène mondial, et pourtant une solution mondiale continue de nous échapper. Au sein de la National Geospatial-Intelligence Agency, M. Grusch a occupé le poste d'officier supérieur chargé de l'intégration des capacités de renseignement, avec une habilitation au niveau "Top Secret/Secret Compartmented Information", et a été conseiller technique principal de l'agence pour l'analyse des phénomènes aériens non identifiés et les questions relatives au trans-médium. De 2016 à 2021, il a travaillé au National Reconnaissance Office en tant que Senior Intelligence Officer et a dirigé la production du briefing quotidien du directeur du NRO. Grusch était un civil GS-15, l'équivalent militaire d'un colonel. M. Grusch est officier de renseignement depuis plus de quatorze ans. Vétéran de l'armée de l'air, il a reçu de nombreux prix et décorations pour sa participation à des opérations secrètes et clandestines visant à renforcer la sécurité des États-Unis. Selon un rapport de performance du NRO datant de 2021, David Grusch était un stratège du renseignement aux responsabilités multiples qui "analysait les rapports sur les phénomènes aériens non identifiés" et "aidait les dirigeants du Congrès à mieux comprendre les lacunes en matière de renseignements". Le directeur adjoint du centre d'opérations du bureau de reconnaissance l'a qualifié d'"officier d'état-major et stratège compétent" et d'"intégrateur de la force totale avec des solutions innovantes et des résultats exploitables". M. Grusch a préparé de nombreuses notes d'information sur les phénomènes aériens non identifiés pour le Congrès lorsqu'il était au gouvernement et a participé à la rédaction du texte sur les UAP pour la loi d'autorisation de la défense nationale pour l'exercice 2023, dirigée par les sénateurs Kirsten Gillibrand et Marco Rubio et promulguée par le président Biden en décembre 2022. La disposition stipule que toute personne détenant des informations pertinentes sur l'UAP peut informer le Congrès sans représailles, indépendamment de tout accord de non-divulgation antérieur. Dans ses déclarations autorisées à la publication par le Pentagone en avril, Grusch a affirmé que les "programmes hérités" d'OVNI ont longtemps été dissimulés au sein de "multiples agences imbriquant des activités UAP dans des programmes d'accès secret conventionnels sans rapport approprié aux diverses autorités de surveillance". Il a déclaré avoir fait rapport au Congrès sur l'existence d'une "guerre froide inconnue du public pour le matériel physique récupéré et exploité - une compétition avec des adversaires proches au fil des ans pour identifier les crashs/atterrissages d'UAP et récupérer le matériel pour l'exploiter/la rétro-ingénierie afin d'obtenir des avantages asymétriques en matière de défense nationale". À partir de 2022, Grusch a fourni au Congrès des heures d'enregistrement d'informations classifiées transcrites sur des centaines de pages, qui comprenaient des données spécifiques sur le programme de récupération des matériaux. Le Congrès n'a reçu aucun matériel physique lié à l'épave ou à d'autres objets non humains. L'enquête de M. Grusch s'est articulée autour d'entretiens approfondis avec de hauts responsables des services de renseignement, dont certains sont directement impliqués dans le programme. Il affirme que l'opération a été illégalement soustraite au contrôle du Congrès et qu'il a été pris pour cible et harcelé en raison de son enquête. M. Grusch a déclaré que les opérations de récupération d'artisanat se poursuivent à différents niveaux d'activité et qu'il connaît les personnes spécifiques, actuelles et anciennes, qui sont impliquées. "Des personnes participant à ces programmes de l'UAP m'ont contacté en ma qualité officielle et m'ont fait part de leurs préoccupations concernant une multitude d'actes répréhensibles, tels que la passation illégale de contrats en violation des Federal Acquisition Regulations et d'autres actes criminels, ainsi que la suppression d'informations au sein d'une base industrielle qualifiée et du monde universitaire", a-t-il déclaré. Les associés qui se sont portés garants de Grusch ont déclaré que ses informations étaient très sensibles et qu'elles prouvaient que des matériaux provenant d'objets d'origine non humaine étaient en possession de programmes noirs très secrets. Bien que les lieux, les noms des programmes et d'autres données spécifiques restent classifiés, l'inspecteur général et le personnel de la commission du renseignement ont reçu ces détails. Plusieurs membres actuels du programme de récupération se sont adressés au bureau de l'inspecteur général et ont corroboré les informations que Grusch avait fournies dans le cadre de la plainte classée. M. Grusch a quitté le gouvernement le 7 avril 2023 afin, dit-il, de promouvoir la responsabilité du gouvernement par la sensibilisation du public. Il jouit toujours d'un grand soutien dans les milieux du renseignement et de nombreuses sources se sont portées garantes de sa crédibilité. "Son affirmation concernant l'existence d'une course à l'armement terrestre se déroulant sub-rosa au cours des quatre-vingts dernières années et axée sur la rétro-ingénierie de technologies d'origine inconnue est fondamentalement correcte, tout comme la constatation indiscutable qu'au moins certaines de ces technologies d'origine inconnue proviennent d'une intelligence non humaine", a déclaré Karl Nell, colonel de l'armée à la retraite qui a travaillé avec Grusch au sein du groupe de travail sur l'UAP. Dans une évaluation de 2022, Laura A. Potter, chef d'état-major adjoint pour le renseignement au quartier général du département de l'armée, a décrit Nell comme "un officier doté de la plus grande force morale possible". Grusch est représenté par Charles McCullough III, associé principal du Compass Rose Legal Group à Washington et premier inspecteur général de la communauté du renseignement, confirmé par le Sénat américain en 2011. À l'époque, M. McCullough rendait compte directement au directeur du renseignement national, James R. Clapper, et supervisait les agents du renseignement chargés des audits, des inspections et des enquêtes. En mai 2022, McCullough a déposé une divulgation de préoccupation(s) urgente(s) ; plainte de représailles au nom de Grusch auprès de l'ICIG au sujet d'informations détaillées que Grusch avait recueillies à partir de 2019 alors qu'il travaillait pour l'UAP Task Force. Une version non classifiée de la plainte qui nous a été fournie indique que Grusch a une connaissance directe du fait que des informations classifiées liées à l'UAP ont été retenues et/ou dissimulées au Congrès par des "éléments" de la communauté du renseignement "pour contrecarrer délibérément et intentionnellement la surveillance légitime du Congrès sur le programme UAP." Tous les témoignages de Grusch dans le cadre de la plainte classifiée ont été faits sous serment. Selon la plainte non classifiée, en juillet 2021, Grusch a fourni de manière confidentielle des informations classifiées à l'inspecteur général du ministère de la défense concernant la dissimulation au Congrès d'informations relatives à l'UAP. Il estime que son identité et le fait qu'il ait témoigné ont été divulgués "à des personnes et/ou des entités" du ministère de la défense et de la communauté du renseignement en dehors du bureau de l'inspecteur général. Il n'a pas allégué que ces informations avaient été divulguées de manière inappropriée par un membre de ce bureau. En conséquence, Grusch a subi des mois de représailles liées à ces divulgations à partir de 2021. Il a demandé que les détails de ces représailles ne soient pas divulgués afin de protéger l'intégrité de l'enquête en cours. L'inspecteur général de l'Intelligence Community a jugé sa plainte "crédible et urgente" en juillet 2022. Selon Grusch, un résumé a été immédiatement soumis au directeur du renseignement national, Avril Haines, à la commission sénatoriale du renseignement et à la commission permanente du renseignement de la Chambre des représentants. La plainte a été rédigée et signée par McCullough et son associé. Elle se termine par la signature de Grusch, jointe à sa déclaration : "J'affirme solennellement, sous peine de parjure, que le contenu du document qui précède est, à ma connaissance, véridique et correct". Une enquête de représailles a été lancée et Grusch a commencé à communiquer avec le personnel des commissions du renseignement du Congrès lors de séances privées à huis clos. Selon Grusch, certaines informations qu'il a obtenues dans le cadre de son enquête n'ont pas pu être communiquées aux membres du personnel du Congrès parce qu'ils ne disposaient pas des autorisations nécessaires ou de l'autorité d'enquête appropriée. Un représentant de la commission permanente du renseignement de la Chambre des représentants nous a indiqué en mars que les membres de la commission n'étaient pas en mesure de commenter le contenu d'une plainte ou de confirmer l'identité d'un plaignant. "Lorsque plusieurs agences intègrent des activités UAP dans les programmes SAP/CAP conventionnels, à la fois en tant que destinataires d'informations liées à l'exploitation et pour des raisons opérationnelles, sans rendre compte de manière appropriée aux différentes autorités de contrôle, il y a un problème", a déclaré M. Grusch, faisant référence aux programmes d'accès spécial et d'accès contrôlé, qui sont hautement secrets. La volonté de M. Grusch de prendre des risques et de s'exprimer semble enhardir d'autres personnes ayant des connaissances similaires et qui croient en une plus grande transparence. Jonathan Grey, l'officier de renseignement spécialisé dans l'analyse des UAP au National Air and Space Intelligence Center, s'exprime publiquement pour la première fois, sous l'identité qu'il utilise au sein de l'agence. Le NASIC, dont le siège se trouve à la base aérienne de Wright Patterson, est la principale source du ministère de la défense pour l'analyse des menaces aériennes et spatiales étrangères. Sa mission consiste à "découvrir et caractériser les menaces aériennes, spatiales, de missiles et cybernétiques", selon le site web de l'agence. "L'équipe d'experts en la matière du centre fournit des capacités de collecte, d'exploitation et d'analyse uniques que l'on ne trouve nulle part ailleurs", peut-on lire sur le site web. Selon M. Grey, ces immenses capacités ne sont pas simplement reléguées à l'étude du prosaïque. "L'existence de programmes historiques complexes impliquant la récupération et l'étude coordonnées de matériaux exotiques, remontant au début du XXe siècle, ne devrait plus rester secrète", a-t-il déclaré. "La majorité des matériaux exotiques étrangers récupérés ont une explication et une origine terrestres prosaïques - mais pas tous, et tout chiffre supérieur à zéro dans cette catégorie représente un pourcentage statistique indéniablement significatif." Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon
- Rapport statistique mensuel du MUFON pour Mai 2023
La CMS continue d'accumuler des rapports d'observation en provenance du monde entier. En mai 2023, 623 observations ont été signalées au MUFON par l'intermédiaire de la CMS dans les pays suivants ; Pays Nombre de rapports ÉTATS-UNIS 474 ROYAUME-UNI 37 CANADA 31 FRANCE 22 AUSTRALIE 13 AFRIQUE DU SUD 4 ALLEMAGNE 4 HONGRIE 3 PORTUGAL 3 HONDURAS 3 MEXIQUE 3 BRESIL 3 NORVÈGE 3 ESPAGNE 2 ISRAËL 2 SUÈDE 2 BELGIQUE 2 CHINE 1 ARABIE SAOUDITE 1 SAINT VINCENT ET LES GRENADINES 1 COLOMBIE 1 GUATEMALA 1 SLOVÉNIE 1 TURQUIE 1 MAURICE 1 IRLANDE 1 AUTRICHE 1 POLYNÉSIE FRANÇAISE 1 VENEZUELA 1 TOTAL : 623 D'autres points de données intéressants dans la CMS au cours du mois de mai 2023 sont la forme des OVNIs signalés qui étaient comme suit ; Forme de l'objet Nombre de rapports Cercle 106 Sphère 94 Autre 53 Inconnu 44 Triangle 43 Disque 37 Ovale 35 Étoilé 25 SANS OBJET 24 Carré/Rectangulaire 21 Cylindre 19 Cigare 15 Diamant 15 Tic Tac 8 Boule de feu 7 Œuf 6 Flash 6 Saturnien 5 Boomerang 4 Balle/missile 4 Chevron 4 Cône 4 Diablotin 3 Croix 2 Goutte d'eau 2 Haltère 1 Forme de l'objet pour la France : Sphère 8 Triangle 6 Cercle 2 Cylindre 2 Disque 2 Cigare 1 Autre 1 Forme de l'objet pour la Belgique : Triangle 1 Cercle 1 Forme de l'objet pour la Polynésie Française ! Cercle 1 Le plus impressionnant est que 18 atterrissages, vols stationnaires ou décollages ont été signalés et que 36 entités ont été observées. Le nombre de cas d'enlèvement (ERT) s'élève à 34. Le nombre de questionnaires d'expérience soumis est de 0. Pour vous abonner à notre magazine qui sortira bientôt cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon #france
- Rapport statistique mensuel du MUFON pour Avril 2023
Rapport statistique mensuel du MUFON pour avril 2023 : Le CMS continue d'accumuler des rapports d'observations provenant du monde entier. En avril 2023, 584 observations ont été rapportées au MUFON par l'intermédiaire de la CMS, en provenance des pays suivants : Pays Nombre de rapports ÉTATS-UNIS 441 CANADA 36 ROYAUME-UNI 23 AUSTRALIE 16 FRANCE 13 NOUVELLE ZÉLANDE 6 ALLEMAGNE 4 SUÈDE 4 IRAN 3 CHINE 3 ESPAGNE 2 INDONESIE 2 INDE 2 TAIWAN 1 MEXIQUE 1 LITUANIE 1 PHILIPPINES 1 AFRIQUE DU SUD 1 BOTSWANA 1 MALAWI 1 BELGIQUE 1 AFGHANISTAN 1 LIBAN 1 BRESIL 1 IRAQ 1 EGYPTE 1 HONGRIE 1 TRINITÉ-ET-TOBAGO 1 COLOMBIE 1 ITALIE 1 MAROC 1 ARABIE SAOUDITE 1 RÉPUBLIQUE DOMINICAINE 1 SRI LANKA 1 COSTA RICA 1 PUERTO RICO 1 PAKISTAN 1 THAILANDE 1 BAHAMAS 1 CROATIE 1 CORÉE, (Sud) 1 TOTAL : 583 D'autres points de données intéressants dans le CMS au cours du mois d'avril 2023 sont la forme des OVNIs signalés, qui sont les suivants ; Forme de l'objet Nombre de rapports Cercle 108 Sphère 70 Inconnu 43 Triangle 41 Autre 41 Disque 35 Ovale 34 Étoilé 25 Cigare 17 Cylindre 13 SANS OBJET 12 Carré/Rectangulaire 12 Boule de feu 12 Diamant 11 Tic Tac 10 Œuf 9 Boomerang 7 Goutte d'eau 6 Flash 5 Ballon dirigeable 5 Saturé 4 Chevron 4 Cône 3 Balle/missile 2 Croix 2 Forme de l'objet Nombre de rapports en France : Cercle 5 Sphère 3 Triangle 3 Disque 1 Inconnu 1 Forme de l'objet Nombre de rapports en Belgique : Comme une étoile 1 Le plus impressionnant est que 14 atterrissages, vols stationnaires ou décollages ont été signalés et que 27 entités ont été observées. Le nombre de cas d'enlèvement (ERT) s'élève à 41. Le nombre de questionnaires d'expérience soumis est de 0. Pour vous abonner à notre magazine qui sortira bientôt cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon #france
- Le Premier livre de MUFON France et Belgique disponible en précommande !
Le travail de MUFON France et Belgique ne se limite pas à la simple collecte de témoignages. Nous nous attachons également à diffuser des connaissances et à informer le public aux questions ufologiques. C'est dans cet esprit que nous sommes heureux de vous annoncer la sortie prochaine d’un livre co-écrit par 9 enquêteurs de notre équipe et qui parlera de témoignages, d’enquêtes mais aussi où certains d’entre eux se livreront pour la première fois. "OVNI Enquêtes et Témoignages" est un livre de 240 pages écrit par 9 enquêteurs de MUFON France et Belgique. Préfacé par David Mac Donald (directeur exécutif du MUFON) et Marc Saint Germain (ancien directeur de MUFON Canada). Le livre est disponible à la précommande via ce lien : https://www.helloasso.com/associations/mufon-france-et-territoires-ultramarins/boutiques/precommande-livre-ovni-enquetes-et-temoignages?fbclid=IwAR1LldlhQnSHqBZKWPi_ECzCQ3Nh4OxlQYz8HmBpHnVxfTzGDblVqQl7T8E ou en téléchargeant le bon ci-dessous :
- Rapport statistique mensuel du MUFON pour mars 2023
Rapport statistique mensuel du MUFON - pour mars 2023 : Le CMS continue d'accumuler des rapports d'observations provenant du monde entier. En mars 2023, 773 observations ont été rapportées au MUFON par l'intermédiaire de la CMS, en provenance des pays suivants : Pays Nombre de rapports ÉTATS-UNIS 639 ROYAUME-UNI 37 CANADA 26 FRANCE 11 AUSTRALIE 7 MEXIQUE 5 CHYPRE 3 BRÉSIL 3 IRLANDE 2 NOUVELLE ZÉLANDE 2 BAHAMAS 2 ALLEMAGNE 2 IRAN 2 AFRIQUE DU SUD 2 COLOMBIE 2 SLOVAQUIE 2 GRECE 2 ARMÉNIE 1 ARABIE SAOUDITE 1 ESPAGNE 1 DANEMARK 1 AUTRICHE 1 ÉMIRATS ARABES UNIS 1 FÉDÉRATION DE RUSSIE 1 INDONESIE 1 PORTUGAL 1 INDE 1 RÉPUBLIQUE TCHÈQUE 1 HONGRIE 1 POLOGNE 1 URUGUAY 1 TURQUIE 1 BULGARIE 1 CHINE 1 CHILI 1 AFGHANISTAN 1 BAHREIN 1 ITALIE 1 CROATIE 1 TOTAL : 771 D'autres points de données intéressants dans la CMS pendant le mois de mars 2023 sont la forme des OVNIs rapportés qui étaient comme suit : Forme de l'objet Nombre de rapports : Cercle 131 Sphère 84 Inconnu 63 En forme d'étoile 55 Triangle 53 Disque 52 Ovale 47 Autre 47 Carré/rectangulaire 27 Boule de feu 22 Cylindre 20 Cigare 18 Boomerang 15 Flash 11 Diamant 9 Tic Tac 9 Saturnien 9 N/A 8 Œuf 6 Ballon dirigeable 4 Balle/missile 4 Chevron 3 Goutte d'eau 2 Cône 1 Croix 1 Forme de l'objet Nombre de rapports en France : Disque 5 Cercle 2 Triangle 1 Rectangle 1 Sphère 1 Autre 1 Le plus impressionnant dans le monde est que 28 atterrissages, vols stationnaires ou décollages ont été signalés et que 39 entités ont été observées. Le nombre de cas d'enlèvement (ERT) s'élève à 41. Le nombre de questionnaires d'expérience soumis est de 0. Pour vous abonner à notre magazine qui sortira bientôt cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon #france
- Harry Truman et les OVNIs de 1952 au-dessus de Washington
Traduit par le MUFON France, écrit par kensmind La dernière année de la présidence d'Harry Truman a été très difficile. Malgré sa victoire miraculeuse en 1948, il savait qu'il n'allait pas réussir cet exploit à l'élection suivante. En juillet 1952, Truman a choisi de ne pas se représenter à la présidence, alors qu'il aurait pu le faire. Sa cote de popularité était presque au plus bas, et la campagne électorale était lancée, dans laquelle il était presque acquis que le populaire général Dwight Eisenhower battrait le candidat démocrate Adlai Stevenson. En plus de tous ses autres problèmes, la dernière chose dont Truman avait besoin était d'avoir des OVNIs bourdonnant autour du Capitole. Que de véritables ovnis aient survolé Washington DC ou qu'il y ait eu une autre explication plus rationnelle, il ressort clairement des reportages contemporains que le 19 juillet 1952, de nombreux citoyens de Washington DC ont vu quelque chose qui ressemblait beaucoup à des ovnis survoler le Capitole. Cinq ans auparavant, lors d'une conférence de presse tenue le 10 juillet 1947, Truman s'était moqué de l'idée de "soucoupes volantes". Il a eu cet échange avec un journaliste : Q. M. le Président, avez-vous vu des soucoupes volantes ? LE PRÉSIDENT. Seulement dans les journaux. (Rires) Q. Vous en avez vu de là-bas ? LE PRÉSIDENT. Seulement les explications que j'ai vues dans les journaux. Avez-vous jamais entendu parler du canular de la lune ? C'est durant les derniers jours du mandat de Truman que le capitole de la nation a été le théâtre d'un incident bien documenté impliquant des objets volants non identifiés. À 23 h 40 le samedi 19 juillet 1952, Edward Nugent, contrôleur aérien à l'aéroport national de Washington (aujourd'hui connu sous le nom d'aéroport national de Washington Ronald Reagan), a repéré sur son radar sept objets qu'il ne pouvait pas identifier. Les objets étaient situés à 15 miles au sud-sud-ouest de la ville, dans une partie du ciel où il n'y avait aucun avion connu dans la région. Les objets ne suivaient aucune trajectoire de vol établie. Le supérieur de Nugent, Harry Barnes, contrôleur aérien principal à l'aéroport, a observé les objets sur le radarscope de Nugent. Nugent a décrit ce qu'il voyait ainsi : "Nous avons immédiatement su qu'il existait une situation très étrange, leurs mouvements étaient complètement radicaux par rapport à ceux d'un avion ordinaire." Barnes a demandé à deux contrôleurs de vérifier le radar de Nugent et ils ont constaté qu'il fonctionnait normalement. Barnes a ensuite appelé la tour de contrôle équipée d'un radar de l'aéroport national et il a appris que les contrôleurs de cette tour avaient également des points non identifiés sur leur écran radar. L'un des contrôleurs a déclaré avoir vu "une lumière brillante planant dans le ciel" qui "a décollé, s'éloignant à une vitesse incroyable". Les objets se sont déplacés au-dessus de la Maison Blanche et du Capitole des États-Unis. À ce moment-là, Barnes a appelé la base aérienne d'Andrews, qui est située à 15 km de l'aéroport national. Andrews a signalé qu'ils n'avaient aucun objet inhabituel sur leur radar, mais quelques instants plus tard, un aviateur a appelé la tour de contrôle de la base pour signaler l'observation d'un objet étrange. L'aviateur William Brady, qui se trouvait dans la tour, a déclaré avoir vu un "objet qui ressemblait à une boule de feu orange, avec une queue, comme je n'en avais jamais vu auparavant". Brady a essayé d'alerter les autres membres du personnel de la tour, mais alors qu'il le faisait, il a signalé que l'objet étrange "a décollé à une vitesse incroyable". Ailleurs dans le District, sur l'une des pistes de l'aéroport national, un pilote de Capital Airlines nommé S.C. Pierman attendait dans le cockpit de son DC-4 la permission de décoller. Il a repéré ce qu'il a d'abord cru être un météore. Apprenant que le radar de la tour de contrôle avait détecté des objets inconnus se rapprochant de sa position, Pierman a alors observé six objets, qu'il a décrits comme des "lumières blanches, sans queue, se déplaçant rapidement". Il les a observés pendant une période de 14 minutes alors qu'il était en contact radio avec Harry Barnes. Selon Barnes, "chaque observation a coïncidé avec un pépin que nous pouvions voir près de son avion. Lorsqu'il a signalé que la lumière s'est éloignée à grande vitesse, elle a disparu sur notre écran." Pendant ce temps, à la base aérienne d'Andrews, la tour de contrôle suivait ce qui était des objets inconnus. Certains ont supposé qu'il s'agissait simplement d'étoiles ou de météores, mais le sergent Charles Davenport a observé une lumière rouge-orange au sud. Selon le sergent Davenport, la lumière "semblait rester immobile, puis changeait brusquement de direction et d'altitude". Il a dit que cela s'est produit plusieurs fois. Les deux centres radar de l'aéroport National et le radar de la base aérienne d'Andrews suivaient un objet planant au-dessus d'une balise radio, et l'objet a disparu dans les trois centres radar au même moment. À 3 heures du matin, deux chasseurs à réaction F-94 Starfire de l'armée de l'air américaine, en provenance de la base aérienne de New Castle, dans le Delaware, sont arrivés au-dessus de Washington. C'est à ce moment-là que tous les objets ont disparu du radar de l'aéroport national. Étrangement, lorsque les jets ont manqué de carburant et sont partis, les objets sont revenus. Barnes a émis l'hypothèse que "les OVNIs surveillaient le trafic radio et se comportaient en conséquence." Les objets ont été détectés pour la dernière fois par le radar à 5h30 du matin. Ces observations ont fait la une des journaux dans tout le pays. L'un des titres de la Cedar Rapids Gazette était "SAUCERS SWARM OVER CAPITAL". À l'époque, le capitaine Edward J. Ruppelt de l'USAF était le superviseur du projet Blue Book de l'armée de l'air, chargé d'enquêter sur les observations d'ovnis. Ruppelt se trouvait à Washington à ce moment-là, mais n'a appris l'existence de ces observations que le lundi 21 juillet, lorsqu'il a lu les gros titres d'un journal local. Ses efforts pour se rendre au Pentagone afin de recueillir des informations ont été contrariés par l'impossibilité d'obtenir une voiture de fonction afin de pouvoir se déplacer dans Washington pour enquêter sur les observations. On lui a dit qu'il pouvait louer un taxi avec son propre argent, mais il a été frustré par le manque de coopération des hauts gradés. Il a quitté Washington et est retourné en avion au siège du Blue Book à la base aérienne de Wright-Patterson à Dayton, dans l'Ohio. À 20 h 15 le samedi 26 juillet 1952, un pilote et une hôtesse de l'air d'un vol National Airlines à destination de Washington ont observé des lumières au-dessus de leur avion. En quelques minutes, les deux centres radar de l'aéroport national et le radar de la base aérienne d'Andrews ont repéré d'autres objets inconnus. Le sergent-chef de l'USAF Charles E. Cummings a vu les objets à Andrews, et a déclaré plus tard que "ces lumières n'avaient pas les caractéristiques des étoiles filantes", ajoutant qu'"elles se déplaçaient plus vite que n'importe quelle étoile filante que j'ai jamais vue". À 21 h 30, le centre radar détectait des objets inconnus dans tous les secteurs. Certains objets se déplaçaient lentement, d'autres inversaient leur direction et traversaient le radarscope à des vitesses estimées à 7 000 mph. À 23 h 30, deux chasseurs à réaction F-94 Starfire de l'armée de l'air américaine, en provenance de la base aérienne de New Castle, dans le Delaware, sont arrivés au-dessus de Washington. Le capitaine John McHugo, le leader du vol, a été dirigé vers les blips radar mais n'a rien vu, malgré des tentatives répétées. Son ailier, le lieutenant William Patterson, a vu quatre "lueurs" blanches et les a poursuivies. Patterson a déclaré : "J'ai essayé d'établir le contact avec les bogies à moins de 1 000 pieds. J'étais à ma vitesse maximale. J'ai cessé de les poursuivre car je ne voyais aucune chance de les dépasser". Pendant l'incident, Patterson a dit au contrôle au sol : "Je les vois maintenant et ils sont tout autour de moi. Que dois-je faire ?" Personne au contrôle au sol n'a pu lui donner de conseils utiles. Après minuit, le 27 juillet, le major Dewey Fournet de l'USAF, agent de liaison du projet Blue Book au Pentagone, et le lieutenant John Holcomb, spécialiste radar de la marine américaine, sont arrivés au centre radar de l'aéroport national. Holcomb avait appris de la station météorologique nationale de Washington qu'une légère inversion de température était présente au-dessus de la ville, mais Holcomb estimait que cette inversion n'était pas "assez forte pour expliquer" ce que l'on voyait sur les écrans radar. Selon Fournet, toutes les personnes présentes dans la salle radar étaient convaincues que les cibles étaient très probablement des objets métalliques solides. Deux autres F-94 de la base aérienne de New Castle ont été envoyés en mission pendant la nuit. L'un des pilotes n'a rien vu d'inhabituel ; l'autre a déclaré avoir vu une lumière blanche qui a "disparu" lorsqu'il s'en est approché. Un certain nombre d'avions non militaires volant vers Washington ont également signalé avoir vu d'étranges objets lumineux à des endroits où le radar recevait des blips. Ces observations et les retours radar inconnus ont pris fin au lever du soleil. Les observations des 26 et 27 juillet font à nouveau la une des journaux. Le président Harry Truman demande à son assistant de l'armée de l'air d'appeler Ruppelt et de lui demander une explication sur les observations et les retours radar inconnus. Truman a écouté la conversation entre les deux hommes sur un téléphone séparé, mais n'a pas posé de questions lui-même. Ruppelt dit à l'assistant du président que les observations pourraient avoir été causées par une inversion de température, dans laquelle une couche d'air chaud et humide recouvre une couche d'air froid et sec plus proche du sol. Cette condition peut faire dévier les signaux radar et donner de faux retours. Mais M. Ruppelt a déclaré qu'il n'avait encore interrogé aucun des témoins ni mené d'enquête officielle. Le nombre d'observations au-dessus des États-Unis en juillet 1952 aurait alarmé l'administration Truman. La CIA a réagi aux observations de 1952 en formant un groupe d'étude spécial au sein de l'Office of Scientific Intelligence (OSI) et de l'Office of Current Intelligence (OCI) pour examiner la situation. Les militaires ont tenté d'expliquer ce qui s'est passé. Les généraux de division de l'armée de l'air John Samford, directeur du renseignement de l'USAF, et Roger Ramey, directeur des opérations de l'USAF, ont tenu une conférence de presse au Pentagone le 29 juillet 1952, au cours de laquelle Samford a déclaré aux personnes présentes que les observations visuelles au-dessus de Washington pouvaient être expliquées comme des phénomènes aériens mal identifiés, tels que des étoiles ou des météores. Il a ajouté que les cibles radar inconnues pouvaient être expliquées par une inversion de température, qui était présente dans l'air au-dessus de Washington les deux nuits où les retours radar ont été signalés. Il a ajouté que les contacts radar inconnus n'étaient pas causés par des objets matériels solides et qu'ils ne représentaient donc aucune menace pour la sécurité nationale. On dit que c'est la plus grande conférence de presse du Pentagone depuis la Seconde Guerre mondiale. À la demande de l'armée de l'air, le centre de développement technique et d'évaluation de la CAA a effectué une analyse des observations radar. Leur conclusion était que "une inversion de température avait été indiquée dans presque tous les cas où des cibles radar ou des objets visuels non identifiés avaient été signalés". Le projet Blue Book a conclu que les blips radar inconnus de Washington étaient des fausses images causées par une inversion de température, et que les observations visuelles étaient des météores, des étoiles et des lumières de ville mal identifiées. En privé, cependant, Edward Ruppelt ne croyait pas à cette explication. Il a écrit plus tard que le personnel du radar et de la tour de contrôle avec lequel il a parlé, ainsi que certains officiers de l'armée de l'air, n'étaient pas d'accord avec l'explication de l'armée de l'air. Howard Cocklin a déclaré à un journaliste du Washington Post en 2002 qu'il était toujours convaincu d'avoir vu un objet au-dessus de Washington. Il a déclaré : "Je l'ai vu sur l'écran et par la fenêtre. C'était un objet d'un bleu blanchâtre. Pas une lumière, une forme solide, un objet en forme de soucoupe." Le nombre extrêmement élevé de rapports d'OVNI en 1952 a perturbé à la fois l'armée de l'air et la Central Intelligence Agency (CIA). Les deux groupes craignaient qu'une nation ennemie puisse délibérément inonder les États-Unis de faux rapports d'OVNI, provoquant une panique générale, créant ainsi les conditions optimales pour une attaque surprise. Le 24 septembre 1952, l'Office of Scientific Intelligence (OSI) de la CIA envoie un mémorandum à Walter Bedell Smith, directeur de la CIA, indiquant que la situation a des implications en matière de sécurité nationale en raison de son potentiel à créer "une hystérie et une panique de masse". En janvier 1953, le "Robertson Panel" est créé en réponse à cette demande. Le Dr Howard P. Robertson, un physicien, préside le groupe, qui se compose d'autres scientifiques éminents. Le groupe passe quatre jours à examiner les "meilleurs" cas d'OVNI recueillis par le projet Blue Book. Le groupe a rejeté presque tous les cas d'OVNI qu'il a examinés et a conclu que l'armée de l'air et le projet Blue Book devaient passer moins de temps à analyser et à étudier les rapports d'OVNI et plus de temps à les démystifier publiquement. Suite à la recommandation du panel, le projet Blue Book a décidé qu'il ne publierait plus aucun cas d'OVNI qu'il n'aurait pas étiqueté comme "résolu". 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- TEMPS, ESPACE ET OVNIS.
Ecrit par Michel Duthé Ce qui paraît magique aujourd'hui ne sera que physique courante demain Ce texte constitue une tentative de contribution à la compréhension du phénomène ovni Les lignes qui suivent ne sont que des propositions. Elle reposent sur le bon sens de l'ingénieur , de la curiosité d'esprit du scientifique et du physicien (quand il n'a pas les mains liées, comme c'est mon cas en tant que retraité libre), et de la lecture attentive d'un certain nombre de témoignages sur les apparitions d’ovnis et les phénomènes associés. J'aborde très brièvement un certain nombre de sujets qui mériteraient chacun un long développement. Mon court texte, un peu provocateur pour les scientifiques établis ou chargés de labos, ouvre la voie à de nombreux sujets de recherche, y compris dans le domaine de la défense. Je ne prétends divulguer aucun secret, mais chacun sait que ce type de recherche est déjà engagé dans divers pays de façon plus ou moins confidentielle. Des responsables tels que Luis Elizondo aux USA ont déjà évoqué l’hypothèse spatio-temporelle. J'entame mon propos par le voyage dans l'espace et la physique avancée à développer qui le sous-tend. Voyage dans l'espace : En réponse au problème des distances énormes à parcourir dans notre galaxie, la Voie Lactée, ou vers d'autres galaxies, des physiciens renommés comme Michio Kaku ont popularisé l'idée des Trous de vers. On a pu lire à son sujet : En 1935, Albert Einstein et Nathan Rosen se sont rendus compte que la relativité générale autorise l'existence de ponts, connus aujourd'hui sous le nom de Trous de vers. Ces sortes de tubes spatio-temporels se présentent comme des raccourcis, reliant des régions de l'espace très éloignées les unes des autres. En voyageant dans un Trou de ver, on pourrait se déplacer plus rapidement entre ces points qu'un faisceau lumineux en ligne droite. Les Trous de vers offrent la possibilité du voyage temporel. Cette théorie, certes élégante, est à la fois trop simple et insatisfaisante (on ne pourrait atteindre qu'un nombre limité de points de notre espace, un seul dans l'exemple illustré et probablement sans intérêt). Cette théorie a cependant l’avantage de nous inciter à sortir de la physique actuelle qui nous est familière . On entend souvent : « ces appareils ont des comportements qui défient la physique ». Ils ne défient absolument pas la physique mais seulement la physique qui nous est familière aujourd’hui. Allons plus loin car nous sommes visités, depuis l’Antiquité et encore plus aujourd’hui notamment depuis l’avènement de l’industrie nucléaire, les neutrinos engendrés par nos expériences et nos explosions ayant rayonné tous azimuts, et donc si nous sommes visités, les lois de la physique actuelle sont largement dépassées par d’autres civilisations. Présentons-nous de l’intérêt pour nos visiteurs ? Nous habitons en périphérie de la galaxie (4,5 milliards d'années d'âge pour notre système solaire, contre 9 milliards au centre de la Voie Lactée), on remarque que tous les systèmes habités sont plus âgés ou considérablement plus âgés et donc avancés que nous, ou même disparus, sauf peut-être quelques voisins eux aussi en périphérie de la galaxie. En tout état de cause les neutrinos voyageant à la vitesse de la lumière l’apparition des ovnis a été quasi immédiate alors que les premiers systèmes habités sont à plusieurs centaines d’années-lumière, preuve que la vitesse de la lumière n’est pas un obstacle pour nos voisins galactiques. Et de plus, comme nos visiteurs, on doit pouvoir se transporter partout. Il existe donc des moyens physiques de voyager dans l’espace bien supérieurs à ceux que nous utilisons. Prenons l'exemple de l'espace vert de la figure qui est à deux dimensions et courbe (notre Albert Einstein nous l’a dit). Supprimons le trou de ver qui ne propose qu'une destination et supposons que le vaisseau qui parcourt le chemin jaune, dépasse la vitesse de la lumière propre à l'espace 2D vert. En quelques fractions de secondes de temps de l'espace 2D, avec du flou et des changements de couleurs (de nombreux ovnis vus ou photographiés proches de la vitesse de la lumière et donc proches de la visibilité dans notre espace apparaissent ainsi) , il disparaît de cet espace et entre dans l'espace blanc à 3D. S'il connaît le raccourci ou si simplement il voit la forme verte et s'il n'est pas gêné par d'autres espaces 2D présents, il peut réapparaître dans son espace d’origine, en ralentissant sa vitesse, dans la zone objectif verte. Idem pour un espace à 3D, le nôtre, lequel est lui aussi courbe d'après Albert (c'est difficile à imaginer comment on nous voit d'un espace 4D, un genre de fleur d'orchidée? ). Notre vaisseau doit atteindre la vitesse de la lumière pour disparaître à nos yeux et de nos radars , prendre le raccourci le plus direct dans le 4D et atteindre n'importe quel point de l'espace 3D qui nous est familier. On voit donc qu’en dépassant la vitesse de la lumière nous quittons notre espace pour y réapparaître beaucoup plus loin peu de temps après. Vitesse de la lumière : Mais comment atteindre la vitesse de la lumière ? On sait que : vitesse = distance parcourue en un temps donné. Jusqu'ici on s'est obstiné à imaginer que pour atteindre C il faut augmenter la vitesse, alors qu'on peut aussi bien jouer sur le dénominateur de la fraction. Il suffit que le vaisseau s'entoure d'une bulle temporelle dans laquelle la vitesse d’écoulement du temps est fortement ralentie, par exemple d’un facteur (10)6. Il ne reste plus qu'à donner une petite accélération acceptable par les organismes et les matériels et s'engouffrer dans le 4D, traverser tous les 3D présents sans encombre (on les voit mais on passe au travers) et revenir dans son 3D d'origine en un autre point de celui-ci. Et même sans passer dans le 4D on peut voyager à de très grandes vitesses, proches de la vitesse de la lumière, dans notre espace. Pour voyager dans l'espace il faut donc maîtriser le temps, et en particulier la vitesse d'écoulement du temps en créant un champ qui ralentit localement les chronons. Un champ magnétique intense semble le mieux adapté comme le pensait Tesla qui a travaillé pour la Marine américaine dans ce sens (expérience de Philadelphie...). Un tel champ ayant aussi une interaction avec le champ gravitationnel. Évidemment ça pose des tas de questions : risque d'un grand nombre d'espaces 3D dans le 4D et donc de ne pas reconnaître le bon au retour, problème de synchronicité spatio-temporelle lors du retour dans le 3D, voyages intempestifs dans d'autres 3D parallèles... Maîtriser le temps : Comment maîtriser le temps? On remarque que de nombreux ovnis sont discoïdes ou sphériques, que surtout un dispositif tourne autour en périphérie de l'appareil (généralement dans le sens des aiguilles d'une montre vu de dessous, une étude statistique des témoignages recueillis serait intéressante pour vérifier cet invariant). D'où l'idée qu'ils créent un champ permettant de ralentir le temps dans leur environnement proche. On constate parallèlement une relation entre gravité et temps. Si ces deux grandeurs sont de nature corpusculaire on pourrait imaginer une relation entre les gravitons et les chronons du type G= m (T)2, G étant l'intensité du champ gravitationnel dans lequel est soumis l'objet de masse m et T étant la vitesse d'écoulement du temps dans ce champ. A noter que ce champ constitue une anomalie de notre espace-temps. Ce serait une loi d'équivalence du même type que la loi d'équivalence masse/énergie. La bulle est aussi anti-gravitationnelle, car si T est suffisamment petit, G l'est encore plus. De même qu'une particule de vitesse nulle a une énergie nulle (selon E=mC2), si G tend vers zéro, T tend aussi vers zéro. Comment fonctionne le moteur anti-gravité ? Diverses idées circulent. Le champ tournant (autour d'un métal, d'un cristal , de l’élément 115 ?) génère des gravitons vers la Terre de sens contraire qui annulent les gravitons de l'attraction planétaire. Quand G diminue, T diminue aussi, selon G=mT2. A noter que cette idée du ralentissement du temps dans le champ proche de l'ovni engendré par un champ magnétique fort explique les perturbations électromagnétiques (de nombreux arrêts de moteurs d'automobilistes, coupures d'électricité, désactivation de l'électronique embarquée dans les têtes nucléaires des silos, avec retour de la réactivation après éloignement de l’ovni, etc), les vitesses de l'ovni élevées, les vitesses stationnaires, la sphère colorée que l'on voit d’abord avant de distinguer l'ovni à l'intérieur, le silence, le contour flou avant que l'ovni ne soit synchrone avec l'espace-temps terrestre...bref la plupart des observations récurrentes du phénomène ovni. En réalité, le moteur ne s'arrête pas il tourne simplement beaucoup plus lentement jusqu’à ce que l’ovni et sa bulle spatio-temporelle s’éloignent, après quoi il redémarre miraculeusement (*). On commence par voir la sphère spatio-temporelle puis l'engin quand le générateur magnétique ralentit, d'où les impressions de transformisme. Quand l'engin est posé le générateur reste opérationnel et maintient une faible gravité autour de lui: les occupants à l'extérieur qui sont surpris ne "volent" pas pour rejoindre l'entrée supérieure de l'engin mais simplement sautent vu leur faible poids apparent. Les occupants sont rarement blessés en cas de crash ou soumis à de fortes accélérations car soumis à l'espace-temps régnant dans l'habitacle, leurs sièges sont enveloppants pour faire face à l'apesanteur interne. Les occupants ne sont pas soumis aux accélérations apparentes vues de l’extérieur, mais aux seules accélérations très faibles de l’intérieur de la bulle spatio-temporelle. (*) On peut se demander pourquoi la conscience du témoin ne ralentit pas à l’instar du moteur et de la radio de sa voiture. Il semblerait que l’homme soit mentalement exonéré du phénomène électromagnétique. Des explications sont possibles, liées à la nature même de la conscience, mais ceci dépasse le cadre du présent article. Cette observation par contre est de nature à nous rendre très optimiste quant à notre capacité à voyager dans l’espace par des moyens futurs... Missing time Le phénomène du "missing time" s'explique facilement dans l'hypothèse de la bulle spatio-temporelle. Si le témoin est assez proche de l'ovni, il peut être sous l'influence du moteur anti-gravitationnel donc dans un champ proche où le temps s'écoule moins vite. Ainsi s'il pense rester 10 minutes, conformément à sa montre, il peut s'être écoulé trois heures en temps terrestre. Quand l'ovni disparaît, sa montre est alors en retard de 2 h 50 min sur le temps terrestre. Un témoin restant une heure en observation dans l'ovni, peut réapparaître avec un retard de plusieurs jours, un témoin partant deux heures en voyage dans l'espace dans l'ovni peut revenir quand plusieurs semaines ou mois se sont écoulés sur Terre. Ce dernier aura vécu un peu moins que son âge civil ! On peut penser raisonnablement que l'impact sur le témoin décroît progressivement depuis le centre du phénomène jusqu'à sa périphérie selon une loi à explorer. Une étude statistique à faire serait de comparer tous les cas où un missing time est rapporté en portant sur un diagramme la distance du témoin au centre du champ anti-gravitationnel en fonction de la valeur du missing time rapportée à une durée de référence, par ex 5 min. On opère ensuite une régression (linéaire, logarithmique...) et si une courbe caractéristique apparaît on aura acquis la conviction que: -le phénomène a la même origine motrice, -une de ses conséquences est décrite selon une loi familière (décroissance en 1/x ou 1/x2, etc.). Un tel résultat constituerait une avancée significative dans l’acquisition de « la preuve ». Inversement on peut imaginer que le générateur magnétique, ovni en stationnaire, augmente le ralentissement du temps dans une distance suffisante pour faire sortir l'abducté de l'espace-temps terrestre et le porter en apesanteur hors de sa chambre...Nul doute qu’un tel réglage de l’extension du champ proche est possible. Défenses réciproques : On voit que les OVNI avant d'entrer carrément dans notre espace-temps, restent un moment dans une situation transitoire et limite. Ils sont flous, colorés, de forme mouvante, à la limite de visibilité. Et ils ont raison de rester dans cette “anomalie” de notre espace-temps. S'ils sont attaqués, une simple accélération minime et ils retournent dans le 4D et notre missile arrive trop tard et se perd car il n'a plus d'accroche radar ni thermique. En revanche ils sont plus vulnérables quand ils sont nettement en dessous de la vitesse de la lumière (même s’ils semblent stables à nos yeux) et donc intégrés et synchrones dans notre espace-temps. La plupart des crashs sont dus à des circonstances accidentelles, notamment des coups de foudre contre lesquels ils n'ont pas le temps de réagir. Pour notre défense un coup de fusil ne sert à rien: la balle mettra des mois à parcourir les premiers centimètres de la sphère spatio-temporelle, laissant largement le temps à l'ovni de s'en aller, pour peu que l'engin ait gardé un minimum d'écart par rapport à notre espace-temps. Les meilleures armes sont sans nul doute les armes laser (vitesse de la lumière). Contre une invasion aliène, le seul bouclier serait une batterie de satellites capables d'effectuer des tirs laser dans toutes les directions et pas seulement vers les SSBS de l'ex-URSS…Mais peut-être les USA y ont-ils pensé… Conclusion d'étape provisoire : Sur le plan de la physique, j'opte (comme d'autres avant moi) pour une relation d'équivalence gravité/vitesse du temps qui peut expliquer beaucoup de témoignages sur les ovnis. Un ovni stationnaire qui part brusquement à grande vitesse, intrusion en milieu a priori hostile pour nous (volcans, océans), etc Cette proposition n'est pas innovante. On a modélisé depuis longtemps la nature corpusculaire de l'atome, de l'énergie, de la lumière… Je ne fais qu'étendre cette proposition à la gravité et au temps. Il reste évidemment à isoler les gravitons et les chronons et à trouver le champ qui les ralentit (probablement un intense champ électromagnétique comme dans les expériences de Tesla, dans un mode de champ tournant qui nous est déjà familier). Les deux sont liés: un champ gravitationnel agit sur la vitesse des chronons et vice-versa. Sur le plan de la défense, parmi la grande diversité de nos visiteurs, certains semblent être hostiles. Il faut donc se préparer et j'opte pour des armes lasers car avec la vitesse de la lumière nous revenons à égalité, du moins dans une circonstance de synchronicité avec notre espace-temps. La manipulation de l'espace-temps est le progrès essentiel qui nous reste à accomplir pour voyager dans la galaxie au même titre que ses autres occupants plus avancés. C’est la prochaine étape majeure en physique. Postface La démarche ici est en contradiction avec la démarche scientifique classique qui consiste à avancer pas à pas du connu vers le nouveau, en fragmentant les phénomènes, en proposant une théorie à peine différente et en voyant un à un si les effets concordent. Confronté à un fort changement de paradigme, il est préférable de prendre le sujet à l’inverse, dans une démarche de méta analyse, à savoir retenir d'abord les effets invariants ou récurrents et trouver une théorie globale qui pourrait les expliquer. Des propositions sont faites dans l’article pour conforter les invariants du phénomène ovni. Ce point peut bien sûr être développé. On en conclut quand même à ce stade que la manipulation locale de notre espace-temps répond à 90% aux effets observés (missing time, silence, arrêts moteurs, lumières floues, disparitions à nos yeux et accélérations brusques, protection des EBE contre les effets de l'accélération, antigravité, extraction de l'énergie du 4D et non de notre 3D (lumières d’Hessdalen?), etc...). Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon #science #physique
- Rapport statistique mensuel du MUFON pour février 2023
Rapport statistique mensuel du MUFON pour février 2023 : Le CMS continue d'accumuler des rapports d'observations provenant du monde entier. En février 2023, 1082 observations ont été signalées à MUFON par le biais du CMS dans les pays suivants : Pays Nombre de rapports ÉTATS-UNIS 942 CANADA 35 ROYAUME-UNI 33 AUSTRALIE 20 FRANCE 15 MEXICO 4 INDE 4 INDONÉSIE 3 ALLEMAGNE 2 PORTUGAL 2 NORVÈGE 2 BELGIQUE 1 ALBANIE 1 OMAN 1 TRINIDAD et TOBAGO 1 BRESIL 1 RÉPUBLIQUE TCHÈQUE 1 ESPAGNE 1 GREENLAND 1 UKRAINE 1 ITALIE 1 SLOVAQUIE 1 VIET NAM 1 TONGA 1 PUERTO RICO 1 CHILI 1 MALAISIE 1 SLOVÉNIE 1 ÉTATS-UNIS ÎLES MINEURES ÉLOIGNÉES 1 TOTAL : 1082 D'autres points de données intéressants dans le CMS au cours du mois de février 2023 sont la forme des OVNIs signalés qui sont les suivants : Forme de l'objet Nombre de rapports Cercle 205 Sphère 125 Autre 84 Triangle 79 Disque 71 Inconnu 63 Ovale 61 En forme d'étoile 55 Cigare 42 Cylindre 33 Carré/Rectangulaire 31 Tic Tac 27 Boule de feu 23 Boomerang 13 Diamant 11 N/A 10 Cône 7 Œuf 7 Balle/Missile 6 Goutte d'eau 6 Dirigeable 5 Flash 4 Chevron 3 Saturn-like 3 Croix 1 Forme de l'objet et nombres pour la France : Cercle 5 Sphère 3 Cylindre 2 Triangle 1 Cigare 1 Ovale 1 Etoile 1 Autre 1 Forme de l'objet et nombres pour la Belgique : Autre 1 Plus impressionnant encore, 43 atterrissages, stationnements ou décollages ont été signalés et 50 entités ont été observées. Le nombre de cas d'enlèvement (ERT) était de 66. Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon #cms
- OVNIs et christianisme : Qu'est-ce que Roswell a à voir avec Jérusalem ?
Traduit par le MUFON France, écrit par Mathew L. Halsted (pasteur ordonné) J'irai droit au but : je pense que les biblistes et les théologiens devraient parler davantage des ovnis. Ça semble fou, non ? Mais je ne plaisante pas. Il est vrai que ce sujet est étrange. On peut difficilement penser aux OVNIs sans entendre la sinistre chanson thème de X-Files traverser sa tête. C'est un sujet souvent associé aux chapeaux en aluminium et aux personnes excentriques avec des comptes YouTube effusifs. Alors pourquoi diable - non, dans la galaxie - voudrais-je que mes collègues universitaires s'aventurent dans ces eaux troubles ? J'ai trois raisons : (1) l'intérêt du public pour le sujet augmente de façon exponentielle ; (2) de nombreux universitaires laïques très respectés ont commencé à s'exprimer sur la question ; et (3) le sujet des ovnis recoupe souvent la religion traditionnelle et les catégories théologiques qui s'y rapportent. Je m'explique. Les OVNIs : de la stigmatisation aux projecteurs Un stigmate social implacable a longtemps été associé au thème des ovnis - depuis les années 1940, au moins. Le facteur ridicule était si important que de nombreuses personnes, bien qu'ayant un intérêt réel pour le sujet, ne pouvaient jamais l'admettre en public. La stigmatisation était particulièrement aiguë pour les pilotes commerciaux et militaires. Pour eux, signaler une observation signifiait risquer non seulement leur réputation mais aussi leur carrière. Les scientifiques et les universitaires étaient particulièrement attentifs à ne pas aborder un sujet aussi étrange, du moins en public. Seuls les menteurs, les fous et les désorientés prétendaient voir des ovnis, après tout. Mais tout a changé en 2017, lorsque le New York Times a publié une histoire sensationnelle qui a révélé l'étude secrète du Pentagone sur le phénomène. Le sujet est depuis devenu grand public. De nos jours, tout le monde parle des ovnis, que l'on appelle aujourd'hui UAP : Unidentified Anomalous Phenomena (phénomènes anormaux non identifiés). Presque du jour au lendemain, le facteur "woo" des UAP s'est transformé en facteur "wow", attirant l'attention non pas des fous mais de certains des plus grands universitaires et scientifiques du monde. Autrefois, le sujet était tapi dans l'ombre ; aujourd'hui, il brille sous les projecteurs de l'attention publique. Il n'est plus marginal. Des médias grand public tels que le New York Times, Politico, le Washington Post, Fox News et CNN (pour n'en citer que quelques-uns) abordent désormais le sujet avec sérieux. Des journalistes primés, tels que Ross Coulthart et George Knapp, travaillent activement sur le sujet. (Knapp fait en fait des reportages sur le sujet depuis des décennies et est considéré comme une légende dans le domaine). En effet, il n'est pas rare aujourd'hui d'entendre des sénateurs influents comme Kirsten Gillibrand (D-New York) ou Marco Rubio (R-Floride) plaider pour une plus grande transparence sur le sujet. Le Congrès a même récemment tenu une audience publique sur le sujet (vous pouvez la regarder ici). Le Congrès et les UAP Récemment, le Congrès a adopté le National Defense and Authorization Act (NDAA), qui a ensuite été signé par le président Biden. La loi exige que le Pentagone "établisse un mécanisme sécurisé" pour que les membres de l'armée puissent signaler "tout événement relatif à des phénomènes anormaux non identifiés" (565). N'importe quel autre jour, ce seul événement mériterait d'être signalé. Mais ce n'est rien comparé à d'autres parties de la loi, qui semblent tout droit sorties de la science-fiction. Par exemple, cette loi exige que le Pentagone permette le signalement de toute activité ou programme d'un département ou d'une agence du gouvernement fédéral ou d'un entrepreneur d'un tel département ou d'une telle agence concernant des phénomènes anormaux non identifiés, y compris en ce qui concerne la récupération de matériel, l'analyse de matériel, l'ingénierie inverse, la recherche et le développement, la détection et le suivi, les tests de développement ou opérationnels, et les protections de sécurité et l'application. (566) Vous avez bien lu : La loi exige désormais du Pentagone qu'il autorise la déclaration de la "récupération de matériel" et de l'"ingénierie inverse" des UAP. C'est pour le moins déconcertant. Le Congrès pense-t-il qu'il est possible qu'il existe du matériel récupéré suffisamment pour avoir fait l'objet d'une analyse scientifique et d'une " ingénierie inverse " ? On peut dire qu'il pense que c'est plus que possible. Le fait qu'il s'agisse d'une directive légale adressée au secrétaire à la Défense suggère que le Congrès pense qu'il est plausible que des personnes au sein du gouvernement aient connaissance de la rétro-ingénierie du matériel UAP. Qu'est-ce que le Congrès a vu derrière des portes closes qui rendrait un tel langage un tant soit peu intelligible ? Je n'en suis pas sûr. Mais de nombreuses personnes dans le public y compris des scientifiques et des universitaires de premier plan - en prennent note. Les universitaires et les UAP Les universitaires sont souvent réticents à commenter tout ce qui est para-normal. Étonnamment, les biblistes et les théologiens ne font pas exception à la règle. Dans son livre Encountering Mystery, Dale Allison déplore la façon dont les spécialistes chrétiens traitent souvent les expériences de mort imminente.1 Mais une révolution est en train de se produire dans la communauté universitaire au sens large. Un nombre croissant d'universitaires très respectés étudient désormais activement la PUA. Le Dr Garry Nolan, de l'université de Stanford, en est un excellent exemple. Immunologiste de recherche, le Dr Nolan a publié plus de 300 articles, a reçu des millions de dollars en subventions de recherche et est titulaire de plus de trois douzaines de brevets. C'est un vrai spécialiste. Il n'est donc pas surprenant que, lorsque la CIA a cherché quelqu'un pour mener des recherches médicales sur les personnes exposées aux UAP, elle ait demandé son aide. Au début, il a cru qu'ils plaisantaient, mais il a vite découvert qu'ils ne plaisantaient pas. Aujourd'hui, Nolan parle régulièrement et ouvertement de ce sujet. S'il admet qu'il ne sait pas ce que sont les UAP, il est catégorique : "les données sont réelles". Pour lui, les UAP méritent une étude académique. Et un physicien de Harvard est d'accord. Avi Loeb, ancien président du département d'astronomie de Harvard, a publié de nombreux articles de recherche évalués par des pairs. Outre d'autres reconnaissances et accolades, le Dr Loeb est membre de l'Académie américaine des arts et des sciences et a siégé au Conseil des conseillers en sciences et technologies du président américain. Son curriculum vitae est impressionnant, c'est le moins que l'on puisse dire. Le Dr Loeb a récemment fondé le projet Galileo qui, dit-il, "vise à démêler la nature de l'UAP". L'hypothèse derrière cette déclaration est, bien sûr, que les UAP représentent quelque chose de réel. En fait, lors d'une récente conversation avec le Dr Loeb, il m'a dit que "c'est définitivement réel" et que la seule question est de savoir ce que c'est. Il a l'intention d'utiliser son projet Galileo pour exploiter la puissance de la science moderne afin de "clarifier ce que sont ces objets". Selon lui, le sujet de l'UAP est "intriguant" et mérite une enquête scientifique. La croyance en l'UAP : un nouveau mouvement religieux ? Mais la science n'est pas le seul acteur du jeu. La religion a également droit à un temps de présence sur le terrain. Il est peut-être surprenant de constater à quel point les catégories conceptuelles propres à la religion traditionnelle reviennent souvent dans ces discussions. L'un des exemples vient de Luis Elizondo, un ancien fonctionnaire des services de renseignement du ministère de la Défense qui était chargé d'étudier les phénomènes dans le cadre d'un programme connu sous le nom d'AATIP (Advanced Aerospace Threat Identification Program). Elizondo a affirmé que de hauts responsables du Pentagone ont fait pression contre les enquêtes sur l'UAP parce que, selon eux, cela représentait quelque chose de démoniaque. Le défunt sénateur Harry Reid a dit la même chose, validant les affirmations d'Elizondo. Quelle que soit la nature réelle des UAP, elle est, à bien des égards, sans importance à ce stade. Le fait que la croyance en des êtres spirituels soit discutée dans un cadre public et dans les plus hautes sphères du gouvernement américain - est en soi une invitation ouverte aux chercheurs travaillant dans les domaines concernés à entrer dans la conversation. Plus précisément, on peut affirmer que la relation entre la religion et les UAP est beaucoup plus étroite qu'on ne le pense. C'est ce qu'affirme le Dr Diana Pasulka, professeur d'études religieuses à l'université de Caroline du Nord, à Wilmington. Dans son livre, American Cosmic : UFOs, Religion, Technology, le professeur Pasulka affirme que la croyance dans le phénomène OVNI ressemble souvent à une dévotion religieuse. En effet, il s'agit d'une "nouvelle forme de religion".2 Elle écrit : Une observation ou un événement OVNI a souvent pour effet de changer complètement l'orientation de la vie d'une personne, un peu comme une expérience de conversion religieuse3. La question de savoir si les phénomènes sont réels ou non n'a rien à voir ; le fait qu'il existe une croyance répandue qu'ils sont réels et que cette croyance provoque des effets dans le monde réel est suffisant pour justifier une enquête d'un point de vue sociologique et, certainement, religieux.4 Étant donné que la religion et la théologie sont souvent évoquées dans ces discussions, une réflexion théologique approfondie sur le sujet est nécessaire. Bien qu'il soit sage de rester agnostique quant à l'origine des UAP, il est de plus en plus difficile de nier sa réalité. Dans ce contexte, les chercheurs chrétiens doivent se préparer à répondre aux questions inévitables : Les UAP représentent-elles une autre forme de vie ? Si oui, de quelle sorte ? S'ils sont intelligents, quel statut ontologique auraient-ils dans la création de Dieu ? L'existence d'extraterrestres modifierait-elle la vision judéo-chrétienne selon laquelle les humains sont des porteurs d'image divine uniques ? Pour élaborer des réponses bibliquement et théologiquement cohérentes à ces questions, nous ferions bien de nous inspirer de la sagesse de penseurs chrétiens tels que C. S. Lewis, dont la Trilogie de l'espace et The Discarded Image offrent toutes deux un aperçu de la manière dont nous pouvons réfléchir au sujet de l'UAP. Il est certain que de nombreux universitaires confessionnels se penchent déjà sur ces questions. Paul Thigpen, par exemple, a récemment publié un excellent livre qui aborde le sujet sous l'angle de diverses questions doctrinales. Le regretté Dr Michael Heiser écrit et donne des conférences sur le sujet depuis des années et a même tourné un documentaire sur les ovnis. D'autres personnes pourraient également être mentionnées. Mais une discussion plus approfondie est nécessaire. En tant que chercheurs chrétiens, nous devrions aborder ce sujet par le biais de l'évaluation par les pairs, de présentations de conférences et de forums publics. Nous devrions également chercher à collaborer avec ceux qui travaillent dans le domaine des sciences naturelles afin de faciliter une discussion solide et un dialogue significatif. Cela garantira une approche prudente et réfléchie du sujet une démarche nécessaire, je pense, car les PAN représentent potentiellement une réalité si complexe qu'elle ne nécessitera rien de moins qu'une approche interdisciplinaire rigoureuse. Reconsidérer l'étrange Le fait que ce sujet soit étrange n'est pas une raison suffisante pour l'écarter. En tant que biblistes et théologiens, nous écrivons et enseignons déjà sur les choses étranges, à savoir la croyance en des expériences étranges dans un autre monde. Pour les chercheurs non-confessionnels du christianisme, le sujet reste le même : l'étude d'un mouvement de foi associé à des choses étranges comme la résurrection, l'exorcisme et les êtres d'un autre monde. Pourquoi l'étude académique des UAPs devrait-elle être traitée différemment ? Pour ceux d'entre nous qui travaillent dans des cercles confessionnels, cependant, la question est particulièrement pertinente. En tant que chrétiens, nous croyons déjà à l'existence d'entités non humaines - Dieu, les anges, les démons et autres êtres spirituels. Pour nous, l'idée que des personnes expérimentent des phénomènes étranges ne devrait pas être considérée comme automatiquement marginale. Peut-être pouvons-nous tirer des enseignements du récent livre de Dale Allison, Encountering Mystery (mentionné ci-dessus). Le professeur Allison est un spécialiste du Nouveau Testament au séminaire théologique de Princeton, et lorsqu'il s'agit d'être un universitaire très respecté, il est en tête de liste. Mais il n'a pas peur de parler de ses propres expériences, aussi étranges soient-elles - et certaines d'entre elles étaient très étranges.5 Commentant une anecdote personnelle bizarre impliquant un pot de miel qui disparaissait et réapparaissait mystérieusement, il dit, Cette expérience insolite, à elle seule, me dit qu'il y a plus sur terre que ce que mes professeurs de sciences imaginaient. Le monde doit être bien plus étrange que ce que nous croyons habituellement.6 Je suis sensible à la conclusion d'Allison, car je sais pertinemment que les gens vivent des expériences qui ne cadrent pas bien avec le paradigme matérialiste, j'en ai moi-même vécu une. En partageant ma propre histoire avec des amis et des collègues au fil des ans, j'ai découvert quelque chose de surprenant : beaucoup de mes interlocuteurs, y compris des universitaires, ont vécu leurs propres expériences étranges. Apparemment, des choses extraordinaires arrivent à des gens ordinaires. Les rapports de telles expériences remontent à des milliers d'années. Comme il a dû être étrange pour les bergers de voir des entités non humaines annoncer la naissance du Messie (Luc 2:8-20). Comme il était étrange pour les Mages de voir une étrange lumière dans le ciel, les conduisant à un voyage qui allait changer leur vie (Matthieu 2:1-2). Ce qui est peut-être encore plus étrange, c'est que nous pouvons lire ces histoires intemporelles sans nous rendre compte à quel point elles sont étranges. Les chrétiens sont-ils devenus si familiers avec les histoires bibliques qu'elles sont devenues moins bizarres, moins étranges et, avec le temps, plus dociles ? Je ne suggère pas que les anges du berger ou l'étoile de Bethléem étaient des phénomènes anormaux non identifiés, pas une minute. L'Écriture les identifie bien. Ce que je dis, c'est que, s'il y a des raisons pour lesquelles les biblistes et les théologiens ne devraient pas contribuer à la discussion sur les OVNI/PAN, le fait que ce soit étrange ne devrait pas en faire partie. Dale C. Allison, Jr., Encountering Mystery: Religious Experience in a Secular Age (Grand Rapids: Eerdmans, 2022), 139-140. D. W. Pasulka, American Cosmic: UFOs, Religion, Technology (New York, NY: Oxford University Press, 2019), 216. Pasulka, American Cosmic, 185. See Pasulka, American Cosmic, 215-239, esp 216. See e.g., Allison, Encountering Mystery, 1-7, 165-170. Dale C. Allison Jr., Encountering Mystery: Religious Experience in a Secular Age (Grand Rapids, MI: William B. Eerdmans Publishing Company, 2022), 167 Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon #religion
- La vérité sur les ovnis avec Michio Kaku
Traduit par le MUFON France, écrit par Jesse Edwards Ce qui suit est une transcription légèrement modifiée d'une partie d'une conversation plus large avec le professeur Michio Kaku au cours d'un épisode du Newsweek Radio Podcast sur la communication, l'intelligence artificielle, la fission contre la fusion, les ovnis et le patinage artistique. Jesse Edwards : Que pensez-vous que les OVNIs soient réellement ? S'agit-il d'extraterrestres ? S'agit-il d'êtres interdimensionnels, d'humains nous rendant visite depuis le futur ? Peut-être une combinaison des trois ? A votre avis, qu'est-ce que c'est réellement ? Michio Kaku : Eh bien, tout d'abord, je pense qu'il y a eu un changement dans la donne. Autrefois, la charge de la preuve incombait aux vrais croyants, qui devaient prouver que ce qu'ils avaient vu hier soir était une sorte de soucoupe volante. Maintenant, la charge de la preuve a été déplacée. Maintenant c'est l'armée, l'armée doit prouver que ce ne sont pas des objets extraterrestres. Donc, il y a eu un changement radical. Et pourquoi ? Parce que, voyez-vous, la science n'est pas basée sur des observations uniques par une seule technologie. La science est basée sur de multiples modes utilisant de multiples sources de données. En d'autres termes, il ne s'agit pas d'une seule personne qui dit : "J'ai vu quelque chose la nuit dernière". Mais de nombreuses personnes verrouillant simultanément sur quelque chose, pas seulement avec la vue, mais avec des caméras, avec des capteurs infrarouges, avec des capteurs ultraviolets. Donc des observations multiples par des modes multiples. C'est l'étalon-or. Maintenant, nous n'avions pas ça jusqu'à récemment. Maintenant, nous avons des heures d'images de la Marine qui nous donnent les données brutes grâce auxquelles nous pouvons quantifier beaucoup de ces caractéristiques. Nous savons maintenant, par exemple, que si vous pouvez croire ces vidéos, ces objets peuvent voler entre Mach 5 et Mach 20. C'est-à-dire 20 fois la vitesse du son. Entre Mach 5 et Mach 20, ils zigzaguent, créant ainsi une force G de plusieurs centaines de G. Les os se briseraient, et les corps seraient écrasés dans cette situation. Non seulement cela, mais ils peuvent aussi plonger en piqué sur plusieurs kilomètres en quelques secondes, puis se jeter dans l'océan. Ils peuvent apparemment se déplacer dans les océans aussi bien que voler dans les airs. Donc, nous avons maintenant la quantification de certaines des données. Et puis la question suivante, qu'est-ce que cela signifie si un objet peut voler entre Mach 5 et Mach 20, peut plonger en piqué à des dizaines de milliers de pieds en quelques secondes, créant des forces G de plusieurs centaines de G ? Qu'est-ce que cela signifie ? Eh bien, nous ne pouvons pas faire une conclusion définitive. Nous pouvons avoir deux conclusions partielles. La première est qu'il s'agit bien sûr d'extraterrestres. C'est quelque chose que l'on ne peut pas exclure, et c'est quelque chose que nous devons prendre au sérieux. Et j'aborderai ce point dans une minute. L'autre possibilité, cependant, est qu'il s'agisse d'illusions d'optique. Si vous avez un objet qui passe devant vos yeux, par exemple, très lentement, et que vous pensez que cet objet se trouve à plusieurs kilomètres, vous calculez alors que cet objet se déplace à des centaines de kilomètres par heure. En d'autres termes : la perspective - vous devez connaître la distance entre la caméra et l'objet. Vous regardez la distance qui est très difficile à atteindre avec ces bandes vidéo. Avec ces cassettes vidéo, nous ne savons pas à quelle distance se trouvent ces objets. Donc, en d'autres termes, il est toujours possible qu'il s'agisse d'illusions d'optique de parallaxe. Maintenant, allons jusqu'au bout de la logique de chaque conclusion. Disons qu'ils sont extraterrestres. Alors qu'est-ce que cela signifie pour un physicien ? Eh bien, si vous parlez de ces objets à un physicien, la plupart des physiciens lèveront les yeux au ciel, lèveront les mains et diront "impossible", car il faut des siècles, des siècles pour qu'une fusée aille d'une planète à une autre planète dans un autre système solaire, ce qui est irréalisable. Mais vous voyez, il y a une erreur là. L'erreur est de supposer que les extraterrestres sont quelques centaines d'années plus avancés que nous, c'est l'erreur que la majorité des scientifiques font. C'est pourquoi ils disent "bah-humbug, aucune chance que ces objets puissent nous atteindre. Ils sont trop loin." Mais vous voyez, supposons maintenant qu'ils sont des millions d'années plus avancés que nous. Et bien sûr, l'univers a plus de 13 milliards d'années. Qu'est-ce que quelques millions d'années par rapport à l'âge de l'univers ? Alors nous parlons d'une nouvelle technologie. Nous parlons de civilisations de type 1, 2 ou 3. Une civilisation de type 1 a exploité le pouvoir planétaire. Ils contrôlent la météo. Ils contrôlent les volcans, ils contrôlent les océans. C'est le type 1, un peu comme Buck Rogers. Puis il y a le type 2, qui contrôle la production du soleil. Ils contrôlent les étoiles. C'est la source d'énergie comme dans Star Trek. Star Trek serait une civilisation typique de type 2. Ils ont colonisé une fraction de la surface de la galaxie, mais pas beaucoup plus que ça. Ensuite il y a le type 3 - le type 3 est galactique. Ils ont exploité l'énergie d'une galaxie entière, comme Star Wars. Star Wars serait une civilisation de type 3. Maintenant, si vous voulez construire une soucoupe volante qui peut aller entre les étoiles, vous devez probablement être de type 3. Et pourquoi ça ? Parce que l'échelle d'énergie dont vous avez besoin est l'échelle d'énergie appelée l'énergie de Planck. L'énergie de Planck est l'énergie du big bang, l'énergie d'un trou noir - c'est l'énergie à laquelle l'espace et le temps deviennent instables. Si vous avez, par exemple, un glaçon et que vous le mettez dans un four à micro-ondes, vous l'allumez, eh bien, la glace finit par fondre, se transforme en eau. L'eau finit par se vaporiser et se transformer en vapeur. La vapeur finit par se décomposer et s'ioniser en quarks et en particules subatomiques. Maintenant, faisons bouillir l'espace ! Si je prends un four à micro-ondes et que je le chauffe à l'énergie de Planck, soit un quadrillion de fois l'énergie du grand collisionneur de hadrons situé près de Genève, en Suisse, l'espace finit par devenir instable. Il commence à bouillir et des bulles se forment à l'intérieur de votre four à micro-ondes. Ces bulles sont des trous de ver, ce sont des passerelles vers un autre univers. Bien sûr, nous n'avons jamais fait cela, mais c'est ce que les mathématiques impliquent, que finalement vous faites bouillir l'espace au point que des bulles se forment - ces bulles sont des passerelles vers un autre univers. C'est de là que pourraient provenir les extraterrestres de type 3. En d'autres termes, pour voyager à travers les étoiles, vous avez besoin d'un raccourci. Et ce raccourci serait des trous qui sont générés par l'énergie de Planck. Maintenant, vous avez vu ces trous de ver avant. Pensez à Alice au pays des merveilles, le miroir. Le miroir a été créé par un mathématicien. Charles Dodgson, autrement connu sous le nom de Lewis Carroll, l'auteur d'Alice au pays des merveilles. Le miroir est le trou de ver. Il s'agit d'une passerelle reliant deux univers, de sorte que lorsqu'Alice a passé sa main à travers le miroir, elle est entrée dans un autre univers. C'est ainsi qu'une civilisation de type 3 pourrait passer d'une étoile à l'autre sans avoir à attendre des dizaines de milliers d'années pour qu'une fusée chimique atteigne les étoiles proches. À propos, une fusée Saturn mettrait 70 000 ans pour atteindre les étoiles les plus proches. C'est pourquoi de nombreux scientifiques pensent que les extraterrestres ne viendront pas de sitôt. Les étoiles sont tout simplement trop éloignées, mais cela suppose que les extraterrestres se trouvent à quelques centaines d'années de nous. S'ils sont à un million d'années de nous, l'énergie de Planck est envisageable, auquel cas ils font simplement bouillir l'espace et passent à travers. JE : Est-il vrai que vous avez construit un accélérateur de particules dans votre garage quand vous étiez enfant ? MK : Oui, c'est vrai. Quand j'avais 8 ans, il s'est passé quelque chose qui a complètement changé ma vie. Le journal disait qu'un scientifique venait de mourir, et sur son bureau, ils ont mis une photo, son bureau, avec un livre inachevé. Et le commentaire était que le plus grand scientifique de notre temps n'avait pas pu finir ce livre. Eh bien, j'étais fasciné. Je voulais savoir qui était ce scientifique ? Pourquoi n'a-t-il pas pu finir ce livre ? Eh bien, ce scientifique était Albert Einstein, et ce livre était une théorie du champ unifié, la théorie du tout. Donc, quand j'étais au lycée, je voulais faire partie de cette grande chasse pour trouver la théorie du tout. J'ai donc construit un accélérateur de particules, un accélérateur d'électrons betatron de 2,3 millions de voûtes électroniques dans le garage de ma mère. Il consommait six kilowatts d'énergie et créait un champ magnétique 20 000 fois supérieur au champ magnétique terrestre. Et ma pauvre mère, bien sûr, se demandait ce que son fils faisait, à construire ces choses dans le garage. Eh bien, je recommande à tous les jeunes qui sont également fascinés par la science de relever le défi d'être à la pointe de la science. JE : Que faites-vous pour vous amuser lorsque vous essayez de vous détendre ? MK : Croyez-le ou non, j'aime faire du patinage artistique. En fait, si vous allez sur Internet et que vous cherchez simplement "moi" sur Google, "patinage artistique", vous pouvez me voir faire du patinage artistique au Rockefeller Center. Un jour, j'ai emmené mes enfants à la patinoire et je les ai vus tomber et je me suis dit : "Je paie cher pour voir mes enfants tomber." Et je me suis dit, "Je peux l'apprendre moi-même et l'enseigner à mes enfants gratuitement." Eh bien, apprendre à sauter et à tourner était plus difficile que je ne le pensais. Mais après environ un an, n'importe qui peut devenir compétent et apprendre à faire des sauts et des pirouettes élémentaires. Michio Kaku - physicien théoricien, auteur à succès, conférencier acclamé, futuriste renommé et vulgarisateur scientifique. Cofondateur de la théorie des champs de cordes, le Dr Kaku poursuit la quête d'Einstein visant à réunir les quatre forces fondamentales de la nature en une seule grande théorie unifiée de tout. Pour vous abonner à notre magazine cliquez sur la photo ci-dessous #ovni #ufo #pan #uap #mufon #michiokaku